Post de Khaled BEN MAAMAR

📣 Équilibre Travail-Vie Privée : Comment le Droit à la Déconnexion est-il devenu une réalité depuis 2017 en France ? 👇 Face à l'essor du télétravail depuis la crise sanitaire, le droit à la déconnexion prend toute sa place (article L2242-8 du Code du travail entré en vigueur au 1er janvier 2017). Ce droit vise à encadrer le respect des obligations de l’employeur, la continuité de l’activité de l’organisation et la préservation de la santé des collaborateurs.   En #télétravail, les délimitations physiques (que l’on pourrait déterminer par le temps de déplacement, le lieu de travail, l’environnement social, l’équipement…) entre la vie professionnelle et la vie personnelle s’estompent. Il est par conséquent plus difficile d’articuler nos différents temps de vie, de préserver notre sphère privée dans le respect des obligations en santé au travail. Cette situation perturbe l’équilibre entre contraintes et ressources et peut générer un état de stress. Selon l’Accord National Interprofessionnel (ANI), l’état de stress survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement, et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face.   Le droit à la déconnexion est à considérer à tous les niveaux ✅L’employeur prend les mesures de prévention : diagnostic des pratiques internes, actions de sensibilisation et rappel des bonnes pratiques. ✅Le collectif que constitue l’organisation participe à l’articulation des temps : définition des plages horaires de déconnexion de référence, mode d’usage des outils numériques, communication interne… ✅Le management relaie et s’applique les bonnes pratiques : souplesse du cas par cas, régularité des échanges, formalisation des règles adaptées à l’équipe… ✅Le collaborateur régule son activité via des principes partagés : partage des plages horaires de disponibilité, déconnexion des accès, planification…   Dans le cadre de vos réflexions sur la mise en place d'accords télétravail et l'accompagnement du droit à la déconnexion, nous accompagnons vos directions et vos managers afin de préserver la performance de votre organisation et garantir la Qualité de Vie et des Conditions de Travail de vos équipes 😉 -- N’hésitez pas à nous contacter : ☎️04 74 09 08 67 // ✉️contact@groupe-jlo.com + d’infos sur notre page dédiée : https://lnkd.in/eXf7kq7X -- #QVT #QVCT #déconnexion

Lorsqu'on parle télétravail, les avis sont très partagés, et même parfois bien tranchés. ✅ Certains salariés n'aiment pas du tout ça. D'autres adorent, et sont même plus performants chez eux, qu'en entreprise. ✅ Les dirigeants et managers, sont eux aussi bien souvent partagés, entre confiance, doute, RPS, mise à disposition du matériel, gestion équitable des salariés, quantum bureau/maison, droit à la déconnexion... 📍 Bien que le télétravail permette une superbe gestion de la QVT, et limite certains RPS liés aux transports, et à l'équilibre vie privée/vie professionnelle,❗ cependant, s'il est imposé à des salariés qui n'en veulent pas, il peut générer également des RPS. 📌 En bref, un accord télétravail est primordial: Se mettre autour de la table et en discuter, pour ne rien laisser au hasard, et penser à tous les cas de figure propres à l'entreprise. 💻 Moi, je suis super fan😁, et je suis vraiment plus productive à la maison qu'au boulot, mais le 100% me serait pénible. Il faut trouver le bon équilibre 😉. ✅ Et, vous, vous en pensez quoi?

Depuis la crise du Covid, les entreprises sont enjointes de devenir hybrides, c’est-à-dire de proposer à leurs salariés un mode d’organisation qui mêle présentiel et distanciel. Mais certaines rechignent à le faire, craignant que le télétravail ne soit un frein à la productivité. Pourtant, les salariés estiment qu’ils sont bien plus efficaces quand ils ne vont pas tous les jours au bureau. 84% des employés disent travailler plus quand ils alternent entre le présentiel et le distanciel, selon une récente enquête mondiale de Zoom*. Les 25-34 ans sont encore plus nombreux à être convaincus des bienfaits du travail hybride sur leur productivité (88%). Leurs aînés ne sont pas en reste puisque 80% des actifs de plus de 55 ans estiment plus productifs quand ils adoptent une organisation de travail hybride. #télétravail #RH #management #job #emploi

Depuis la crise du Covid, les entreprises sont enjointes de devenir hybrides, c’est-à-dire de proposer à leurs salariés un mode d’organisation qui mêle présentiel et distanciel. Mais certaines rechignent à le faire, craignant que le télétravail ne soit un frein à la productivité. Pourtant, les salariés estiment qu’ils sont bien plus efficaces quand ils ne vont pas tous les jours au bureau. 84% des employés disent travailler plus quand ils alternent entre le présentiel et le distanciel, selon une récente enquête mondiale de Zoom*. Les 25-34 ans sont encore plus nombreux à être convaincus des bienfaits du travail hybride sur leur productivité (88%). Leurs aînés ne sont pas en reste puisque 80% des actifs de plus de 55 ans estiment plus productifs quand ils adoptent une organisation de travail hybride. #télétravail #RH #management #job #emploi

ATTENTION AU 100% TELETRAVAIL ! Depuis 2020 et la pandémie de COVID certaines entreprises se sont laissé tenter par une proposition de télétravail à 100% pour certains de leurs employés. Moins de transport, moins d'espace de bureau (et de consommation de services ou d'équipements) soit au total moins de contraintes pour l'employé et moins de coûts pour l'employeur. Le télétravail s'est imposé tellement vite que l'on peut penser que cette nouvelle manière du "travailler ensemble" était mûre et n'attendait que la première occasion pour se déployer. Toutefois, sans en prendre conscience immédiatement, le salarié, de prime abord satisfait de son nouvel état, va entrer dans une modalité de travail qui va révéler peu à peu ses effets très négatifs. Tout d'abord un certain isolement, mis à profit par certain pour vaquer à des préoccupations autres que professionnelles (sortir le chien en journée ?) mais qui au fil du temps va faire entrer la personne dans un appauvrissement relationnel graduel mais constant. Ensuite, le collaborateur va découvrir la "verticalisation" des relations professionnelles : plus de contact informels dans les "tiers-lieux" de l'entreprise : la machine à café, la cafétaria, la cantine, le bar à côté de l'entreprise ou nombres se retrouve pour un "after-work" régulier... Beaucoup moins de rencontres à l'extérieur du service et du département : pour quel motif le financier rencontrerait il le nouveau collègue de la Logistique ou du Marketing ? La disparition ou la forte limitation des liens horizontaux qui ne trouvent plus aucune possibilité de s'étendre en simplicité via des rencontres informelles et des présentations de collègues, aura un impact très négatif sur les amitiés/amours professionnelles et sur le plaisir de "dire du mal du chef" qui est une activité connectante, distrayante et communément pratiquée. La "verticalité" des relations ne nuit pas seulement à la diffusion des informations, à la communication informelle et rapide, elle créé aussi des relations au travail beaucoup plus hiérarchiques bien souvent, et crée une dureté dans les rapports qu'accentue encore la connexion télévisuelle à distance. Le rapport non présentiel mais via un écran rend possible des échanges très durs qui se tiendraient difficilement en présentiel. Les personnes sont à distance, ne sont qu'à un clic de la déconnexion et parfois même le choix est fait de ne pas se montrer du tout à l'écran et du coup de n'échanger que par la voix. Le plaisir au travail va de pair avec la qualité des échanges et des contacts avec ses collègues, pairs, subalternes ou managers, or ceux-ci deviennent essentiellement transactionnels et toujours sous-tendus par un but précis (l'objet de la réunion); l'informel cède le pas et attention, le plaisir au travail va durement en pâtir; tous y perdront mais plus encore les plus jeunes. Un seul remède : réfléchir ensemble comment recréer activement du plaisir au travail !

Depuis la crise du Covid, les entreprises sont enjointes de devenir hybrides, c’est-à-dire de proposer à leurs salariés un mode d’organisation qui mêle présentiel et distanciel. Mais certaines rechignent à le faire, craignant que le télétravail ne soit un frein à la productivité. Pourtant, les salariés estiment qu’ils sont bien plus efficaces quand ils ne vont pas tous les jours au bureau. 84% des employés disent travailler plus quand ils alternent entre le présentiel et le distanciel, selon une récente enquête mondiale de Zoom*. Les 25-34 ans sont encore plus nombreux à être convaincus des bienfaits du travail hybride sur leur productivité (88%). Leurs aînés ne sont pas en reste puisque 80% des actifs de plus de 55 ans estiment plus productifs quand ils adoptent une organisation de travail hybride. #télétravail #RH #management #job #emploi

Gen Z contre Gen X : le choc des générations face au télétravail Par Neïla Beyler Publié le 11 mai 2024 S'il est salvateur pour bon nombre de salariés, le télétravail peut aussi être générateur de tensions dans l'entreprise. Et ces frictions sont exacerbées entre les travailleurs plus ou moins jeunes, selon une étude publiée par Slack et OpinionWay. D'après la plateforme de communication collaborative et l'institut de sondage qui ont interrogé fin 2023 un millier de « travailleurs du savoir » en France, 36 % d'entre eux estiment que le télétravail a détérioré les relations entre nouvelle et ancienne génération. Un sentiment particulièrement présent chez les moins de 35 ans qui sont 43 % à partager cet avis contre 28 % chez les 50 ans et plus. Peur d'être stigmatisé Dans le détail, 24 % des salariés de plus de 50 ans souhaitent ainsi travailler cinq jours par semaine au bureau, contre 10 % des moins de 35 ans et 15 % des 35-49 ans. Dans l'ensemble, 62 % des travailleurs du savoir souhaitent travailler à distance au moins la moitié de la semaine. Si l'enquête n'analyse pas plus finement les raisons de cette discorde, d'autres sondages démontrent que ce fossé générationnel s'explique, pour les plus âgés, par des outils parfois inadaptés pour le travail à distance et le besoin de se montrer physiquement au bureau par crainte d'échapper à des promotions ou, pour les plus jeunes, par le désir d'un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle en s'épargnant notamment du temps de trajet. Gains de productivité Christina Janzer, vice-présidente senior de la recherche et de l'analyse chez Slack, analyse ces tensions : « nous encourageons les entreprises à comprendre le lien entre le travail à distance (et les horaires flexibles) et la productivité. En France, 30 % des travailleurs estiment qu'un retour forcé au bureau réduirait leur productivité, et nous retrouvons des données similaires dans d'autres études. Donner aux employés plus de liberté pour travailler à l'endroit et au moment les plus propices à leur capacité de concentration leur permet d'être plus productifs ». Parmi les autres enseignements de cette étude : près d'un travailleur sur deux (46 %) sent une pression pour un retour en présentiel dans son entreprise, ce qui se traduirait, pour 60 % des répondants, par cinq à quinze minutes de plus passées sur une tâche d'une heure. « Plutôt que de débattre du lieu depuis lequel les gens devraient travailler, nous encourageons les entreprises à se concentrer sur la manière dont nous travaillons. C'est en en donnant aux salariés de nouveaux outils et en améliorant notre façon de travailler que nous obtiendrons des gains de productivité », estime-t-elle.

Depuis la généralisation du télétravail, beaucoup de collaborateurs ont pris goût à cette flexibilité, leur permettant de mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle. Cependant, aujourd’hui, une vague d'employeurs demandent à leurs salariés un retour en présentiel, pour favoriser la cohésion d’équipe et optimiser la collaboration en face-à-face. Alors, comment maintenir un haut niveau de productivité, même en travaillant depuis chez soi, tout en répondant aux attentes des entreprises ? Chez Grafton, nous observons l’évolution de ces nouvelles pratiques et conseillons les professionnels concernés avec 5 astuces à appliquer dès maintenant, afin de conjuguer le meilleur des deux mondes. #Grafton #Télétravail #Emploi

💼🏠 Télétravail vs présentiel : une commodité ou une obligation ? 🧐 Il y a encore quelques années, l'idée même de télétravail semblait être un privilège réservé à quelques secteurs bien spécifiques. 🌍 Aujourd'hui, c'est devenu un mode de travail incontournable pour beaucoup d'entre nous. 🤔 Mais une question persiste... Est-ce vraiment adapté à tout le monde ? 👥 Certaines personnes, notamment celles de moins de 30 ans et de plus de 45 ans, ressentent parfois le besoin de reconnecter avec leur équipe, de retrouver cette dynamique sociale si particulière que l’on ne trouve qu’au bureau. 👶 Pourtant, d’autres – surtout celles qui jonglent avec de jeunes enfants – apprécient grandement la flexibilité du télétravail. ⏳ Gagner 1 à 2 heures de trajet quotidien peut faire toute la différence entre un équilibre de vie sain et l’épuisement. 💡 Dans un monde idéal, la place au bureau ne devrait-elle pas être une commodité, un espace où tu choisis de te rendre pour des raisons bien spécifiques, et non pas une obligation pesante ? 📢 Et toi, quel serait ton modèle de travail idéal ? #Télétravail #Présentiel #Flexibilité #ÉquilibreDeVie #Management #Changement #Innovation #BienÊtreAuTravail #Leadership #ChangingChameleon

Gen Z contre Gen X : le choc des générations face au télétravail. Un salarié de plus de 50 ans sur quatre souhaite travailler cinq jours par semaine au bureau, contre seulement 10 % des moins de 35 ans, selon Slack et OpinionWay. De quoi générer quelques #tensions dans l'entreprise. S'il est salvateur pour bon nombre de salariés, le télétravail peut aussi être générateur de tensions dans l'entreprise. Et ces #frictions sont exacerbées entre les travailleurs plus ou moins jeunes, selon une étude publiée par Slack et OpinionWay . D'après la plateforme de #communication collaborative et l'institut de sondage qui ont interrogé fin 2023 un millier de « travailleurs du savoir » en France, 36 % d'entre eux estiment que le #télétravail a détérioré les relations entre nouvelle et ancienne #génération. Un sentiment particulièrement présent chez les moins de 35 ans qui sont 43 % à partager cet avis contre 28 % chez les 50 ans et plus. Peur d'être stigmatisé Dans le détail, 24 % des salariés de plus de 50 ans souhaitent ainsi travailler cinq jours par semaine au bureau, contre 10 % des moins de 35 ans et 15 % des 35-49 ans. Dans l'ensemble, 62 % des travailleurs du savoir souhaitent travailler à distance au moins la moitié de la semaine. Si l'enquête n'analyse pas plus finement les raisons de cette discorde, d'autres sondages démontrent que ce fossé #générationnel s'explique, pour les plus âgés, par des outils parfois inadaptés pour le travail à distance et le besoin de se montrer physiquement au bureau par crainte d'échapper à des promotions ou, pour les plus jeunes, par le désir d'un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle en s'épargnant notamment du temps de trajet. Gains de productivité Christina Janzer, vice-présidente #senior de la recherche et de l'analyse chez Slack, analyse ces #tensions : « nous encourageons les entreprises à comprendre le lien entre le travail à distance (et les horaires #flexibles) et la productivité. En France, 30 % des travailleurs estiment qu'un retour forcé au #bureau réduirait leur productivité, et nous retrouvons des données similaires dans d'autres études. Donner aux employés plus de #liberté pour travailler à l'endroit et au moment les plus propices à leur capacité de #concentration leur permet d'être plus productifs ». Parmi les autres enseignements de cette étude : près d'un travailleur sur deux (46 %) sent une pression pour un retour en #présentiel dans son entreprise, ce qui se traduirait, pour 60 % des répondants, par cinq à quinze minutes de plus passées sur une tâche d'une heure. « Plutôt que de débattre du lieu depuis lequel les gens devraient #travailler, nous encourageons les entreprises à se concentrer sur la manière dont nous travaillons. C'est en en donnant aux salariés de nouveaux outils et en améliorant notre façon de travailler que nous obtiendrons des gains de #productivité », estime-t-elle. #drh #RH #management #seniors #gpec #qvt #entreprise #mixité #savoirs #transmission