Post de La Machine du Moulin Rouge

Les coulisses des festivals ont un point commun surprenant : Ils manquent souvent de protection adéquate. Des milliers de personnes se rassemblent. La musique bat son plein. Mais la sécurité est parfois négligée. Les organisateurs font face à des défis majeurs. Budget serré, logistique complexe, imprévus constants. Tu te demandes peut-être pourquoi c'est important ? Voici trois raisons importantes : 1- Une bonne protection prévient les accidents et sauve des vies. 2- Elle garantit une expérience agréable pour tous les festivaliers. 3- Elle protège aussi les artistes et le personnel du festival. Imagine-toi profiter d'un concert sans souci, en sachant que tout est sous contrôle. C'est possible avec une organisation bien pensée et sécurisée 🎵 Ne laisse pas la sécurité être une option secondaire. Priorise-la dès maintenant pour garantir le succès de ton événement ✨ Un festival réussi repose sur l'équilibre entre plaisir et sécurité. Prends soin de tes participants comme tu prendrais soin de toi-même lors d'un grand rassemblement. Concentre-toi sur l'action concrète : planifie, anticipe, protège.

BIS 2024 Biennale internationale du spectacle Les festivals en ruralités : spécificités, enjeux et perspectives. Véritables leviers de développement culturel, économique et social, les festivals participent pleinement au dynamisme des territoires ruraux. Ils se heurtent pourtant à de nombreux défis : mobilisation complexe de financements, lien particulier aux habitants, et réponses paradoxales aux enjeux économiques. Comment concilier les ambitions des festivals avec les spécificités de ces territoires ? Merci à France Festivals et Emmanuel Négrier de se saisir de ce sujet.

J'adore ce dessin. Je crois que la réf vient des Marines : « La seule journée facile, c'était hier. » A prendre au second degré bien évidemment car c'est une erreur d'opposer l'exigence et la bienveillance. Un coach veut le bien de son coaché (definition de la bienveillance). Il est également exigeant pour lui donner la capacité d'atteindre ses objectifs. Certains comme Rich Litvin disent que si votre coaché ne vous hait pas à un moment du coaching, c'est que vous ne faites pas bien votre travail. Il n'y a pas de raison pour que cela soit différent dans le management. La dichotomie se situe ailleurs. Si je suis manager et que je pense que l'équipe travaille « pour moi », je suis exigeant pour obtenir des résultats que je vais à mon tour présenter au N+1 « pour lequel je travaille ». Il n'y a aucune bienveillance là dedans. Seulement une équipe qui travaille pour servir une pyramide d'intérêts personnels. Si au contraire je me comporte en leader de l'équipe que je conduis et stimule pour l'atteinte d'objectifs collectifs alignés avec la mission de l'organisation, alors l'exigence et la bienveillance vont de pair. Le laxisme serait même un manque de bienveillance puisqu'il encouragerait l'équipe à ne pas donner le meilleur d'elle-même et à ne pas progresser. D'où les concepts de #ServantLeadership et de #HostLeadership. #biendansonjob

On connait "l'enfant roi" 🧒 , a-t-on déjà théorisé "l'employé roi" ? 💭 En tant que parent il n'est pas toujours facile de trouver le juste équilibre entre la bienveillance et l'exigence. D'un côté, nous voulons donner à nos enfants la liberté de s'épanouir et d'apprendre de leurs erreurs, mais de l'autre, nous voulons les guider, les protéger et leur fixer des limites pour les aider à réussir (Et aussi parfois pour notre confort...). Pour notre informatique se présente un dilemme similaire. D'un côté, nous voulons offrir aux utilisateurs la flexibilité dont ils ont besoin pour être productifs, mais de l'autre, nous devons mettre en place des mesures strictes pour protéger les données et les systèmes contre les menaces cyber (ou simplement des obligations légales ou de nos partenaires). Trouver le bon équilibre entre l'exigence et la liberté est essentiel, que ce soit dans l'éducation, la gestion d'équipe ou la cybersécurité. Car comme dans la vie de tous les jours, un excès de bienveillance peut être tout aussi préjudiciable qu'une approche trop autoritaire. La sécurité informatique nous rappelle que parfois il est nécessaire d'imposer des règles strictes pour protéger ce qui compte le plus, et trouver les moyens d'assouplir là où c'est essentiel. 🛠 Techniquement, c'est apprendre des besoins métiers et de la feuille de route de la direction pour adapter les solutions 🚨 Dans la pratique, charque politique de sécurité doit avoir une porte de sortie : propre et officielle, qui permet de cadrer les exceptions pour ne pas bloquer une prod. 🤝 Sur le fond, bien faire son rôle de responsable sécurité et instaurer une relation de confiance fait toute la différence. Les exigences sont acceptées, les dérogations discutées. That's my job. 🖖 Dites moi si vous voulez qu'on parle de comment mettre cela en place. #Bienveillance #Exigence #CyberSécurité

N'hésitez pas à donner votre avis sur le 5e Lieu grâce à notre enquête des publics 🧐 Votre avis compte pour nous permettre de nous améliorer ou de connaître nos points forts 💪 Retrouvez le lien de l'enquête ci-dessous 👇

🤔 𝗤𝗨𝗘𝗦𝗧𝗜𝗢𝗡𝗡𝗔𝗜𝗥𝗘 → 𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝘀𝘁𝗶𝘃𝗮𝗹𝘀 𝗲𝗻 𝗔𝗨𝗥𝗔 Le groupe 𝙁𝙚𝙨𝙩𝙞𝙫𝙖𝙡𝙨 du 𝗖𝗢𝗥𝗘𝗣𝗦 (𝙘𝙤𝙢𝙞𝙩𝙚́ 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙙𝙪 𝙨𝙥𝙚𝙘𝙩𝙖𝙘𝙡𝙚) 𝗔𝘂𝘃𝗲𝗿𝗴𝗻𝗲-𝗥𝗵𝗼̂𝗻𝗲-𝗔𝗹𝗽𝗲𝘀 met en place, pour la deuxième année consécutive, une enquête à destination des festivals implantés en région AURA. ✹ Cette enquête permettra de poser les bases d’un observatoire des festivals dans la région et de rendre compte de leur état de santé. Equilibre budgétaire, poids des mesures sécuritaires, emploi, programmation, éco-responsabilité, etc. sont autant de thèmes qui sont traités. Les résultats de ce questionnaire feront l'objet d'une publication annuelle. 𝙇'𝙤𝙗𝙟𝙚𝙘𝙩𝙞𝙛 étant d'𝙞𝙙𝙚𝙣𝙩𝙞𝙛𝙞𝙚𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙪𝙡𝙩𝙚́𝙨 rencontrées par les opérateurs des festivals et d'établir des séries de 𝙥𝙧𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 à destination des élus et des acteurs culturels Vous avez jusqu'au 31 mai pour y répondre → https://lnkd.in/drDCKGYK

Voici en complément de l’article de Télérama quelques éléments qui sont indispensables pour analyser la situation du Festival d’Aix. 1. Une maison d’opéra se pilote 3 à 4 ans à l’avance alors que les difficultés se manifestent toujours au dernier moment. La situation actuelle doit se lire à l’aune de décisions prises il y a 3 ou 4 ans. 2. Le monde de l’opéra est extrêmement concurrentiel. Pour attirer les mécènes, il faut en permanence les surprendre, leur en offrir plus, faire appel aux meilleurs artistes… on peut regretter une telle logique mais elle s’impose aux structures comme le Festival d’Aix. L’ambition de Pierre Audi n’est que la réponse à cette logique. 3. Le mécénat dans le budget du festival d’Aix (plus de 25%) en fait le champion de la recherche de fonds privés en France, bien devant tous les autres, y compris l’Opera de Paris, pourtant une référence dans le domaine. 4. Un contrôle de la cour des comptes est une procédure peu contradictoire, basée sur l’analyse de documents écrits par des juges qui ne connaissent rien aux métiers qu’ils auditent. Cette méthode mène parfois à des grosses erreurs factuelles ou d’interprétation. Le Festival a peut être fait des erreurs mais il est injuste de ne pas donner aux lecteurs tous les éléments pour juger par eux mêmes. A bon entendeur!

Les choses avancent drôlement bien du côté du projet de création de "D'avoir pleuré à l'hypermarché" par la Compagnie Branle-Bas de Combat. Un nouveau co-producteur (en plus du Théâtre Transversal d'Avignon) est trouvé : le Théâtre Par Le Bas (Nanterre). Ce qui signifie concrètement que les répétitions vont commencer en décembre qui vient pour Laura Madar et Sébastien Dalloni, les metteurs en scène et comédiens (cinq semaines de résidence jusqu'en avril 2025 - dont une présentation de maquette le 1er février 2025 au Théâtre Par le Bas). Donc, peut-être une ou des dates ici ou là avant la programmation dans le off d'Avignon 2025, au Théâtre Transversal. Cette création a été initiée en 2023 grâce au dispositif Constellations (AF&C et Écrivaines et Écrivains Associés du Théâtre) visant à constituer des trios texte-théâtre-compagnie dans l'objectif de programmations dans les Avignon off. Les textes sont issus des sélections des EAT (parmi lesquels les théâtres qui souhaitent participer au dispositif font "leur marché" avant que soit ensuite lancé un appel à candidature de compagnies). L'écriture de "D'avoir pleuré à l'hypermarché" a été accompagnée par Michèle Enée ainsi que par le collectif A MOTS DECOUVERTS. La présentation du texte sur mon blog : https://lnkd.in/egG6Ez86

Prêt à secouer les conventions ? Avec nous, chaque campagne prend vie comme un véritable spectacle ! Ensemble, vibrons au rythme de la créativité et créons des souvenirs uniques qui bousculent les attentes. 🚀✨ #CréativitéExtraordinaire #ExpériencesInoubliables"

La gratuité à quel prix ?