Post de Lesieur

Encore une chouette semaine pour l'agence ... 😊 mais surtout pour la visibilité de nos clients qui, tous à leur manière, font bouger les lignes 💣 Morceaux choisis : 🚴♀️ On retiendra #CycloMag qui nous parle de BELLE EN SELLE, la jolie marque rennaise d'accessoires pour vélo. Un article qui tombe bien à propos alors que Laurence Leprince Branly, sa fondatrice sera ce week-end à Vélo in Paris. Avec une gamme élégante et féminine, Belle en Selle permet de vivre sa VELORUTION avec style A lire ici 👉 https://lnkd.in/eEKgvGKq 💡 Parmi les élus de Capital Magazine pour sa rubrique du mois : "Elles/Ils ont eu la bonne idée green ou tech", on aime le choix de Bruno Declairieux pour Damien Cariou, CEO de la start'up angevine SynDev. Engagé pour une agriculture plus respectueuse de l'environnement, il veut transformer les pratiques vers plus d'agroécologie. 🐄 Chez BIOLAIT enfin, difficile de choisir entre les papiers de La France Agricole, de Ouest-France, du Le Télégramme, de web-agri, de Réussir Lait ... qui ont massivement relayé les messages portés par les producteurs de lait bio lors de la conférence de presse que nous avons organisée la semaine dernière. Chez les éleveurs Biolait, le mot d'ordre est "La bio partout et pour tous", et pour eux, pas question de baisser les bras. Message reçu semble-t-il ! 😉 #relationspresse #lifestyle #agriculture #bio #presse #medias

Comment aujourd’hui passer à côté de la démarche Bleu-Blanc-Coeur pour défendre la qualité française, la valeur ajoutée et le pouvoir d’achat ? 💠 Nous donnons de la valeur ajoutée à une agriculture et une alimentation 100% origine #France. Notre démarche apporte aussi des réponses fortes aux enjeux sociétaux que sont la qualité nutritionnelle et environnementale des produits dans une logique de rapport qualité / prix optimisé pour tous. 💠 Nous rassemblons dans un projet collectif de filière agriculteurs, éleveurs, transformateurs, distributeurs, consommateurs ! Ensemble, on construit, on débat, on fixe le cap de nos référentiels de qualité et surtout on s’adosse à la science pour mesurer nos impacts. 💠 La qualité se mesure et se distingue par un pilotage d’obligations de résultats et pas uniquement d’obligations de moyens, d’audits et de contrôles administratifs. La mesure chez Bleu-Blanc-Cœur est un outil d’aide à la décision précieux pour les agriculteurs et un élément fort de réassurance pour les mangeurs. 💠 Nous ne parlons pas de cahiers des charges mais de cahiers des ressources et des engagements ; une approche positive et constructive de la qualité 💠 Nous apportons des solutions concrètes pour lutter contre l’alimentation « low cost » (et notamment celle qui est importée) en redonnant de la valeur aux produits (valeur santé, environnementale et sociétale) 💠 Nous sommes représentatifs de l’agriculture et de l’élevage français avec 5 à 10% de parts de production dans les filières d’élevage. Nous sommes présents dans tous les réseaux : dans les magasins à la ferme, dans les supermarchés, des les cantines scolaires, au Min de Rungis, chez les artisans, dans les restaurants… 💠 Nous ne sommes pas une marque mais un collectif ; nous ne sommes un produit mais une démarche ; nous ne sommes pas élitistes ; nous travaillons pour l’intérêt de tous les agriculteurs et de tous les consommateurs ! 💠 Nous animons le plus grand mouvement citoyen en France autour des enjeux du bien manger : 30.000 ambassadeurs Bleu-Blanc-Cœur dont 24.000 consommateurs, 4.000 professionnels des métiers de la santé et 1.000 professionnels des métiers de bouche. 💠 Nous produisons de la science, des connaissances scientifiques nombreuses autour des enjeux de la santé unique qui met en lumière l’acte du mode de production sur l’amélioration de la qualité du produit. 💠 Nous fonctionnons avec aucune subvention de l’Etat. Notre démarche n’est pas une démarche qui fait le buzz sur les plateaux TV... Pourtant, nul ne peut aujourd’hui ignorer la pertinence de Bleu-Blanc-Cœur ! C'est un outil unique : - pour redonner de la valeur et de la confiance aux mangeurs (plus d’infos ici : https://urlz.fr/puyy). - pour la souveraineté alimentaire car un produit français ne sera compétitif avec un produit importé que s’il apporte une réelle différenciation, que son impact social, santé et environnemental soit supérieur et prouvé ; d’où la mesure !

Parcourons ensemble la nature pour aller à la découverte de l'entreprise AMAVI Créée en 2022, AMAVI ´collecteur d’huile de cuisine usagées, périmées etc..’ est la 𝟏𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐢𝐟𝐢𝐞́𝐞 𝐚𝐮 𝐁𝐞́𝐧𝐢𝐧, 𝐪𝐮𝐢 𝐬'𝐨𝐜𝐜𝐮𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐚𝐥𝐨𝐫𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐡𝐮𝐢𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐮𝐬𝐚𝐠𝐞́𝐞𝐬, 𝐡𝐮𝐢𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞́𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐭𝐬. 𝐕𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞𝐳 𝐬𝐮̂𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞 𝐪𝐮'𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐡𝐮𝐢𝐥𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐮𝐬𝐚𝐠𝐞́𝐞 ? Il s'agit pour faire simple des 𝙝𝙪𝙞𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙛𝙧𝙞𝙩𝙪𝙧𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙤𝙣𝙩 𝙚́𝙩𝙚́ 𝙪𝙩𝙞𝙡𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙𝙚 3 𝙛𝙤𝙞𝙨 𝙤𝙪 𝙦𝙪𝙞 𝙤𝙣𝙩 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙜𝙚́ 𝙙𝙚 𝙘𝙤𝙪𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙙𝙚𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙣𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙤𝙪 𝙢𝙖𝙧𝙧𝙤𝙣, 𝙖̀ 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙙𝙚 𝙘𝙪𝙞𝙨𝙨𝙤𝙣. Dans un soucis donc de préserver la santé de nos concitoyens et de l'environnement, Carmel Mahunakpon Djiha a mis en place cette société. 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐦𝐞́𝐭𝐡𝐨𝐝𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐞 𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐀𝐦𝐚𝐯𝐢 ? Pour venir à bout de son projet, Amavi échange auprès des ménages, restaurants et hôtels, les huiles usagées contre des biens. Pour cela, à chaque fois qu'il y'a collecte, des bordereaux d'enlèvement sont délivrés aux consommateurs. Rappelons que l'entreprise est 𝙘𝙚𝙧𝙩𝙞𝙛𝙞𝙚́𝙚 𝙖𝙪𝙭 𝙣𝙤𝙧𝙢𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡𝙚𝙨 𝙄𝙎𝘾𝘾 𝙀𝙐 𝙚𝙩 𝙖𝙪 𝙣𝙞𝙫𝙚𝙖𝙪 𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡. Une fois à l'entrepôt, ces huiles sont prétraitées afin d'être débarrassées de toutes impuretés. Ceci étant fait, une partie de l'huile sert 𝙖̀ 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙫𝙤𝙣𝙣𝙚𝙧𝙞𝙚 𝙚𝙩 𝙡'𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙚𝙭𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚́𝙚 𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙧𝙖𝙛𝙛𝙞𝙣𝙚𝙧𝙞𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙗𝙞𝙤𝙘𝙖𝙧𝙗𝙪𝙧𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡𝙚𝙨. 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐀𝐦𝐚𝐯𝐢 ? 1- Elargir le réseau de collecte sur toute l'étendue du territoire béninois ; 2- Le lancement des testeurs d'huiles de fritures usagées ; 3- L'installation des bio raffineries au Bénin pour la production du biocarburant à utiliser par des engins utilisant du gas-oil (long terme). Aujourd'hui, Amavi compte 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙𝙚 100 𝙛𝙤𝙪𝙧𝙣𝙞𝙨𝙨𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙'𝙝𝙪𝙞𝙡𝙚𝙨 𝙪𝙨𝙖𝙜𝙚́𝙚𝙨 comme Golden Tulip et plusieurs 𝙩𝙤𝙣𝙣𝙚𝙨 𝙙'𝙝𝙪𝙞𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙛𝙧𝙞𝙩𝙪𝙧𝙚𝙨 𝙪𝙨𝙖𝙜𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚́𝙟𝙖̀ 𝙧𝙚𝙘𝙮𝙘𝙡𝙚́𝙚𝙨. 𝕰𝖓𝖘𝖊𝖒𝖇𝖑𝖊, 𝖑𝖚𝖙𝖙𝖔𝖓𝖘 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖑𝖆 𝖕𝖗𝖔𝖙𝖊𝖈𝖙𝖎𝖔𝖓 𝖉𝖊 𝖑'𝖊𝖓𝖛𝖎𝖗𝖔𝖓𝖓𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖊𝖙 𝖑𝖆 𝖕𝖗𝖊́𝖘𝖊𝖗𝖛𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓 𝖉𝖊 𝖓𝖔𝖙𝖗𝖊 𝖘𝖆𝖓𝖙𝖊́ 𝖊𝖓 𝖘𝖔𝖚𝖙𝖊𝖓𝖆𝖓𝖙 𝖈𝖊𝖙𝖙𝖊 𝖈𝖆𝖚𝖘𝖊 𝖈𝖆𝖗 𝖗𝖆𝖕𝖕𝖊𝖑𝖔𝖓𝖘 𝖓𝖔𝖚𝖘 𝖖𝖚𝖊 𝖑𝖊 𝖈𝖍𝖆𝖓𝖌𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖈𝖔𝖒𝖒𝖊𝖓𝖈𝖊 𝖕𝖆𝖗 𝖓𝖔𝖚𝖘. Vous pouvez les suivre sur : Facebook : https://lnkd.in/gbuSxuRc LinkedIn : https://lnkd.in/gbMhBqfP YouTube : https://lnkd.in/g86eiPPU --------- Je suis Fleurielle Agbo-djagli Social Media Manager / Rédactrice web Responsable Management Qualité HSE Consultante capillaire pour cheveux afro.

Après le lait, les 2 beurres bio solidaires créés par nous les consommateurs confirment leur 1ère place en tête des ventes de leur rayon. Et leur histoire est incroyable ! Comme pour tous les produits que nous avons créés tous ensemble, c’est nous-mêmes les consommateurs qui avons décidé du cahier des charges et du prix « voté conseillé ». Au moment des choix nous avons décidé, qu’en plus d’une juste rémunération pour les producteurs, 11 centimes seraient rajoutés pour aider les plus jeunes à s’installer en bio notamment. « Ça ne marchera pas ! » nous ont alors dit en chœur tous les observateurs et experts du monde agroalimentaire « Ça ne marchera pas car tout le monde cherche à enlever des centimes et vous les consos vous en rajoutez ! » 🥳 18 mois après leur lancement les 2 beurres bio que vous voyiez sur cette photo passaient numéro 1 des ventes devant toutes les grandes marques historiques. Moralité si on sait où va notre argent et à quoi il sert, nous sommes nombreux à acheter des produits vertueux, surtout quand ils aident ceux qui nous nourrissent à vivre dignement de leur travail. Ces fameux 11 centimes ont aidé des centaines de familles d’agriculteurs (voir leurs témoignages sur le site de CQLP) et tous nous disent que ça a changé leur vie. Bravo à tous d’avoir fait reculer via une grande mobilisation solidaire la fatalité 👏💪🙌 Bon we à tous #SoutienAuxProducteurs #LePatronCestLeConso Fonds de Soutien aux Producteurs C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur Romane Billard Audrey Jagot

Transmission réussie ! 🤝 C’est avec un petit pincement au coeur que je transmets les rênes de Biofood Touraine à Dimitri Lebas. 😪 Trois années durant lesquelles nous avons lancé les plats cuisinés, développé la RHF et doublé la taille du site. Malgré la baisse du marché Bio. 🙏 Merci à toute l’équipe, aux fournisseurs aux clients et consos fidèles ! Pour clore ce chapitre entrepreneurial et très terrain, voilà quelques petites fiertés 'hors business', pas forcément visibles, mais qui m’ont marqué : - côté “Achats” : avoir soutenu des acteurs locaux dont un maraîcher bio contre vents et tempêtes. ☔ - côté “Ventes” : avoir gagné un appel d’offre national pour toute l’agglo de Nantes : + de bio dans les ecoles. Un enjeu loin d’être gagné. 🥦 - côté Marketing / RSE : avoir “basculé” nos emballages PET de plats cuisinés vers le carton (malheureusement 2 fois + cher que le PET)….. 🌱 - côté “RH” : avoir embauché en CDI des salariés “qui apportent une différence” : handicapés, sous tutelle, + de 60 ans, ukrainien… et plus largement avoir beaucoup appris sur cette France des bourgs et des villages. Je transmettrai un retour d’expérience sur ce sujet RH dans quelques jours. A suivre !

[Article 📰] Pourquoi soutenir la vision d’une alimentation de qualité accessible à toutes et tous si ce n’est pas pour soutenir des modes de production durables et équitables ? Dans le réseau, depuis 10 ans, le travail et la relation de confiance avec les producteur·rices sont nos priorités, pour proposer les meilleurs produits aux habitant·es des quartiers populaires : 👐 « C'est un choix politique de coopération pour proposer un autre système » selon Martin Mothe, chargé de mission logistique à VRAC Lyon Métropole 🧺 « C’est une satisfaction de pouvoir fournir une alimentation bio et de qualité à des personnes qui ne seraient pas en capacité de les acheter » affirme Nathalie Bedel, éleveuse à LA FERME DE CHASSE NUAGE 🪙 « C’est essentiel d’être très transparent sur les prix et d’associer les paysan·nes » pour lilian PELLEGRINO, directeur adjoint de VRAC Drôme 💬 « Une nécessité pour les producteur·rices d’avoir la possibilité de s’exprimer concernant la gestion de l’accès à l’alimentation pour les personnes en précarité dans la vallée de la Drôme », d'après Tom Galodé, maraîcher et arboriculteur au GAEC Le Jardin des Buis et Président de VRAC Drôme L'article complet à lire sur notre site ⤵️ https://lnkd.in/e6kXkmyB Elsa DUPARAY #AlimentationDurable #DémocratieAlimentaire

🌱 Engagement pour une Alimentation Durable sur la Rive Droite ! Nous prenons conscience de plus en plus que notre alimentation est bien plus qu'une simple nécessité quotidienne. C'est un enjeu majeur qui impacte toutes les dimensions de notre vie, de la santé à l'environnement, de la solidarité à la culture, et de l'économie à notre bien-être général. 🤝Les 4 Villes du GPV Rive Droite Droite (Bassens, Cenon, Floirac, Lormont) ont décidé de s'engager dans un Projet Alimentaire Territorial (PAT). 🔦 Une initiative collaborative Le PAT rassemble les Villes, les services, les particuliers, ainsi que nos partenaires associatifs et institutionnels dans une démarche globale pour aller vers un avenir alimentaire plus sain et plus équitable par plusieurs objectifs : 🌱 Développer la production locale de légumes biologiques : Nous visons à fournir principalement la restauration collective publique avec des produits locaux et respectueux de l'environnement. 🌱 Sensibiliser et accompagner le changement : À travers des actions concrètes telles que la lutte contre le gaspillage alimentaire, le soutien aux jardins partagés, et la formation des cuisiniers et du personnel des cantines scolaires, nous œuvrons pour changer les comportements alimentaires. 🌱 Outils de transformation alimentaire : Nous investissons dans des outils de transformation alimentaire, tels que des légumeries conserves, pour maximiser l'utilisation des produits locaux et réduire notre empreinte écologique. 🌱 Formation, insertion et emploi : Nous nous engageons à développer des opportunités de formation, d'insertion et d'emploi en lien avec la transition alimentaire sur notre territoire. 📍Côté Cenon : > la création de 2 sites pour produire légumes, fruits et aromates… à Labat et au Loret, > des actions de sensibilisation dans les écoles sur : antigaspi, tri des biodéchets, formations des agents, > le Panier des 4 saisons, l’épicerie sociale et solidaire du CCAS est engagée dans une démarche d’accompagnement de ses adhérents pour une alimentation plus saine et durable, > la mise en place d'un frigo ZERO-GASPI du CREPAQ à proximité du self de deux écoles. #Vivreacenon #ProjetAlimentairedeTerritoire Ville de Lormont Ville de Floirac COMMUNE DE BASSENS Romuald Chapuy Carole Zenhaker Isabelle Noailles Marie-Hélène Filleau Justin Dagot

Produire des légumes durablement en Suisse où les règles et les exigences sont les plus strictes du monde, tout en répondant aux attentes diverses et variés de la population, de nos clients et des labels est un véritable challenge. Le message agricole "on marche sur la tête" symbolisé par des panneaux de village retournés à pour but de sensibiliser sur les incohérences des "exigences" actuelles. Le sujet est très large et très varié. On ne peut pas produire de la haute qualité durablement a des prix discount. Ça paraît évident sauf pour l'agriculture et la nourriture.... Si vous en doutez c'est pour cela que le Domaine des Mattines cette année va vous présenter le monde des maraîchers serristes. Chaque semaine une vidéo immersive afin de répondre à vos questions. Nous demandons plus de transparence pour les consommateurs et plus de cohérence. Quoi de mieux que de commencer par montrer l'exemple ? #mattines #umg #grta #comment #pourquoi #onmarchesurlatete

📝 Campagne de télé-déclaration annuelle EGALIM : Dernière ligne droite ! 📌 La loi Egalim en 5 points ? 👉 Assurer le revenu des producteurs 👉 Améliorer les conditions sanitaires et environnementales de production 👉 Renforcer le bien-être animal 👉 Favoriser une alimentation saine, sûre et durable 👉 Réduire l’utilisation du plastique 🗓 La campagne de télé-déclaration annuelle est toujours en cours et s'achèvera le 31 mars. 💡 Pour rappel, ce sont les données d'achats de l'année civile 2023 qui vous sont demandées pour la campagne en cours. Ce qui change en 2024... Il faudra proposer au moins : 👉 50%, en valeur HT des achats sur une année civile, de produits durables ou sous signe d’origine ou de qualité dont au moins 20% de produits bio dans les restaurants d’entreprises privées (la CE2 est éligible aux 50% jusqu’à fin 2026). 👉 60% des produits “viandes et poissons” devront répondre aux critères de qualité des 50% EGALIM, pour tous les restaurants collectifs publics et privés. De plus, il faudra proposer un plan annuel de diversification des protéines, tel que les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots…) associées à des céréales (blé, riz, boulgour…), pour tous les restaurants collectifs de droit privé de plus de 200 couverts/jour. Pour en savoir plus > rdv en 1er commentaire

L'essor des alternatives végétales dans l'industrie alimentaire Dans un monde où la sensibilisation à l'environnement et à la santé est de plus en plus présente, l'industrie alimentaire évolue pour répondre à ces nouvelles attentes. Une tendance majeure qui émerge ces dernières années est l'essor des alternatives végétales. De plus en plus de consommateurs se tournent vers des alternatives végétales pour diverses raisons, notamment pour réduire leur empreinte écologique, préserver leur santé et promouvoir le bien-être animal. Cette évolution a conduit de nombreuses entreprises alimentaires à repenser leurs produits et à proposer des alternatives à base de plantes pour répondre à cette demande croissante. Les substituts végétaux se déclinent désormais dans de nombreux domaines, allant des alternatives à la viande et aux produits laitiers aux alternatives aux œufs et aux fruits de mer. Ces produits offrent non seulement une solution durable et respectueuse de l'environnement, mais ils sont également de plus en plus appréciés pour leur goût et leur texture qui s'améliorent constamment grâce à l'innovation technologique. En tant que professionnel de l'industrie alimentaire, il est important de rester à l'écoute de ces évolutions et de saisir les opportunités qu'elles offrent. En proposant des produits innovants et respectueux de l'environnement, les entreprises peuvent non seulement répondre aux attentes des consommateurs, mais aussi contribuer à façonner un avenir alimentaire plus durable pour tous.