Post de MEDEF Lille Métropole

La France mauvaise élève en nouvelles technologies ? Sur France Culture, le jeudi 18 Juillet, Stéphanie Villers et Antoine Bouquet évoquaient les raisons de l’écart qui se creuse entre la France et ses partenaires sur le plan économique, parmi celles-ci : Une adoption pas acquise des nouvelles technologies chez les individus … 📉 Des entreprises qui n’investissent pas suffisamment sur ces sujets (NTIC, robotisation et IA) … 💼 Des dépenses R&D plus faibles qu’ailleurs … 💡 … Qui pénalise fortement la productivité de notre économie ! Une analyse très pertinente, qui met en exergue la nécessité d’investir, mais aussi de s’adapter à un environnement technologique en pleine mutation. Si la compétitivité de la France dans les prochaines années tient dans sa capacité à innover dans ces nouvelles technologies, il faut pour cela fournir aux entreprises des solutions pour comprendre et exploiter leur écosystème, afin de dérisquer l’investissement en R&D, et leur redonner le goût de l’innovation. Chez GraphMyTech, nous proposons d’analyser finement les données technologiques à l’aide de l’IA pour construire et optimiser votre stratégie d’innovation : Prenez le virage de l'innovation avec nous ! 🌐 Pour en savoir plus, contactez nous ou visitez notre site : www.graphmytech.fr Un grand merci à France Culture François-Xavier Meunier Cécile Fauconnet Mathias Roos Olivier BOILEAU DESCAMPS Frederic Caillaud Didier Patry Vincent Puyplat #Innovation #Technologie #R&D #Productivité #VeilleTechnologique #IA #France #GraphMyTech

Ça fait partie de notre mission ! La France doit impérativement investir en R&D et dans les nouvelles #technologies pour rester #compétitive sur la scène mondiale ! Chez GraphMyTech, nous sommes déterminés à jouer un rôle clé dans cette remontée en puissance de l'#innovation en France. Nous croyons fermement que la clé réside dans une compréhension approfondie et une exploitation stratégique des #données technologiques grâce à l'#IA. Notre mission est de fournir aux entreprises les outils nécessaires pour dérisquer leurs investissements en R&D et leur redonner confiance en leur capacité à innover. Ensemble, nous pouvons transformer ces défis en opportunités et conduire la France vers un avenir technologique florissant. 🌐 François-Xavier Meunier, CEO de GraphMyTech #Innovation #Technologie #R&D #Productivité #VeilleTechnologique #IA #France #GraphMyTech

Depuis plusieurs années, le marché américain ne cesse de surperformer les marchés du reste du monde, notamment sous l’impulsion de quelques entreprises pionnières en matière d’innovation. Cette différence s’est encore accentuée suite à l’élection de Donald Trump, d’une part, et aux déboires politiques des deux principaux pays d’Europe, la France et l’Allemagne d’autre part. Les Etats-Unis représentent quasiment 75% du MSCI World. La situation économique américaine, avec une croissance robuste, contraste avec celles de l’Europe et de la Chine. De nombreux articles de recherche financière mettent en avant l’écart de valorisation entre les 7 géants américains ( Magnificent 7 : Nvidia, Alphabet, Tesla, Microsoft, Amazon, Apple, Amazon) et les autres. La forte valorisation des marchés actions américains résulte d’une hausse des prix plus rapide que celle des bénéfices des entreprises, ce qui implique donc des attentes de bénéfices futurs très élevés, notamment des entreprises du secteur technologique. Le progrès technologique et son implémentation peuvent être confrontés à des difficultés. Quand les valorisations sont très élevées, les marchés sont alors très vulnérables à ce type de situation. Quand on investit dans un marché dont la valorisation intègre déjà tous les espoirs concernant l’amélioration de l’économie, de la productivité et des résultats des entreprises, alors au mieux, tout cela se réalise et la rentabilité est proche de la moyenne historique, mais très souvent les attentes sont si élevées que les déceptions sont nombreuses. Les Etats-Unis conservent des avantages comme le dollar, monnaie d’échange internationale, la taille de leur marché domestique, l’attrait du pays pour les entrepreneurs et l’innovation. S’il est indéniable que les USA sont en avance dans les domaines technologiques, cet avantage s’est accru au cours des 20 dernières années avec la naissance de sociétés qui sont désormais en situation d’oligopole de par leur taille, leur technologie et leur puissance financière. Les 7 magnifiques génèrent 50% de leurs revenus aux USA ce qui est considérable comparé à leurs homologues européennes. Cependant, un brusque arrêt à leur développement international aurait un effet immédiat sur leur capitalisation boursière. La position monétaire dominante des Etats Unis via le Dollar leur permet entre autres de financer une balance commerciale très déficitaire et un déficit budgétaire plus élevé que les autres pays. Ceci explique en partie le différentiel de croissance entre les Etats Unis et l’Europe mais se traduit désormais par un niveau d’endettement très élevé avec un coût de la dette qui à lui seul représente plus de 3% du PIB chaque année et qui va s’amplifier si la politique fiscale reste en l’état. Or, la politique visant à améliorer la balance commerciale en imposant des droits de douane pourrait avoir des effets secondaires non désirés comme la hausse de l’inflation et des taux d’intérêts.

Diversification ou se concentrer sur un secteur en particulier? On a vu avec la récente montée des entreprises technologiques l’engouement autour de ce secteur. Faut-il croire qu’il va monter sans arrêt encore longtemps? On devrait s'en méfier et plutôt diversifier. Que ce soient les industries ou l’économie nationale, il nous faut un portefeuille prêt à toute intempérie! Il faut savoir se couvrir lorsque les choses vont mal comme en 2022 et savoir trouver des opportunités. On a ici le portefeuille de Michael Burry qui diversifie dans plusieurs secteurs comme la technologie(jd.com), la santé (HCA Health care) et le secteur financier (Citigroup). Il faut savoir que la santé a une demande plutôt inélastique compte tenu du fait que peu importe le prix des médicaments vous allez toujours en acheter donc leur revenus annuel sont plutôt stables! Il y a aussi celui financier qui a pris un gros coup dur en 2022 jusqu’à maintenant à cause de la hausse des taux voyant les banques en difficulté de prêt et leur portefeuille d’investissement obligataire perdre en valeur et donc cela suppose que les titres sont sous-évalués. Enfin, celui technologique est un peu différent car sur les marchés boursiers tous les investisseurs regardent l’avenir et voient qu’il y a une opportunité d’investir dans ces futures mines d’or. C’est d’actualité tout comme l’était la bulle internet en 2000…donc faire attention aux spéculation car tout peut basculer à l’inverse. En conclusion même les grands de ce monde spécialistes en analyse d’entreprise préfèrent répartir leur capital que de mettre tous ces œufs dans le même panier et de repartir avec rien.

"Le budget et les investissements des entreprises diminuent." Vous l’avez entendu dire des centaines de fois. Mais cela signifie-t-il que les entreprises investissent moins ? La data nous démontre le contraire. Plus que jamais, les entreprises en #Belgique s’adaptent à la pression économique en utilisant la technologie pour continuer à croître et rester compétitives. Finalement, la manière dont elles investissent montre clairement qu’elles se préparent à une deuxième #RévolutionNumérique. Le #RapportSortlist 2025 est sorti ! Vous y trouverez une vue claire et riche en données numériques sur : quels services vos concurrents sous-traitent, sur quelles compétences ils se concentrent, et où, en Belgique, vous êtes le plus susceptible de trouver le bon #prestataire pour votre projet. Nous avons analysé plus de 100 000 projets publiés sur notre plateforme et condensé les résultats pour vous 💡 Retrouvez le rapport complet [gratuit] dans les commentaires ci-dessous 👇

Selon #Forrester, l'économie #numérique mondiale passera de 11 800 milliards de dollars en 2023 à 16 500 milliards de dollars en 2028, soit un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 7 %. La vente en ligne et les voyages en ligne sont les principaux moteurs de la croissance de l'économie numérique, et devraient tous deux augmenter leur part de l'économie numérique mondiale entre 2023 et 2028 à un taux de croissance annuel composé de 9 % et de 7 %, respectivement. 

"Tout à fait caractéristique du modèle mental européen, le mot « entrepreneuriat » ne figure pas une seule fois dans le rapport! Or, ce qui fait la force des Etats-Unis, contre qui nous perdons la course, c’est la vigueur de son système entrepreneurial. On touche là à une cause presque psychanalytique du déclin européen: Une Europe qui passe son temps à tirer à boulets rouges contre les entrepreneurs américains, un jour Amazon, un jour Google, un jour Elon Musk, et plus généralement sur le capitalisme américain universellement vomi dans la classe politique, surtout française, se lamente ensuite de ne pas être innovante. Et on s’étonne? Au fond du fond, l’UE voudrait les résultats du capitalisme américain, mais sans le capitalisme américain, seulement avec des plans et des technocrates. Ah et aussi des PME qu’on aide. Comment ne pas penser à cette fameuse citation apocryphe: Dieu se rit des hommes qui se plaignent des effets dont ils chérissent les causes. Ici c’est l’inverse: l’UE souhaite des effets (croissance, productivité, compétitivité) dont elle refuse les causes (marché libre, innovation, déréglementation). C’est la pensée magique. Par ailleurs, la fascination du technocrate pour « l’unification » (ici du marché des capitaux) est étonnante. Historiquement, l’Europe a réussi parce qu’elle était fragmentée. Elle développait une diversité de modèles politiques et économiques. Quand un ne marchait pas, un autre pouvait réussir. On oublie souvent, en vantant la taille des Etats-Unis, que les 50 états sont assez fragmentés en termes de réglementations et de fiscalité. Qu’il faille une cohérence, sans aucun doute, des marchés uniques aussi, mais l’idée d’un modèle unique, monolithique piloté par une UE dirigée par des technocrates pro-croissance est pour le moins dangereuse. La leçon des Etats-Unis, c’est celle de la puissance du modèle de fragmentation entrepreneuriale, qui n’exclut pas une action de l’Etat, mais ce n’est pas celle que tire le rapport Draghi."

La digitalisation 💻des entreprises africaines oscille entre nécessité et obligation, en fonction des perspectives et des enjeux auxquels elles sont confrontées. Cependant, dans le contexte actuel, elle tend de plus en plus à devenir une obligation stratégique pour leur survie et leur compétitivité. Voici pourquoi : 1. Pourquoi la digitalisation est une nécessité ? a) Adapter les entreprises aux évolutions du marché • Augmentation de la connectivité : L’Afrique connaît une forte croissance du nombre d’utilisateurs d’Internet et de smartphones. Être présent en ligne est devenu essentiel pour capter ces nouveaux consommateurs. • Changements dans les habitudes des clients : Les consommateurs préfèrent désormais des solutions pratiques, comme le commerce en ligne et les paiements mobiles. b) Réduire les contraintes structurelles • Manque d’infrastructures physiques : La digitalisation permet de contourner des problèmes tels que l’insuffisance de réseaux de distribution ou d’infrastructures bancaires. • Accès aux financements : Les solutions numériques, comme les fintech, facilitent l’accès au crédit et aux transactions sécurisées. c) Améliorer la compétitivité • Les entreprises digitalisées peuvent mieux répondre à la concurrence internationale, y compris des acteurs extérieurs opérant en Afrique via des plateformes numériques. 2. Pourquoi la digitalisation devient une obligation ? a) Rester compétitif sur le marché • Transformation numérique mondiale : La digitalisation des économies mondiales oblige les entreprises africaines à s’adapter pour ne pas être laissées de côté. • Concurrence locale : Les entreprises qui n’adoptent pas le numérique risquent de perdre face à celles qui le font (notamment les startups innovantes). b) Accroître la résilience face aux crises • Pandémie de COVID-19 : Elle a montré que les entreprises digitalisées (capables de vendre en ligne, de travailler à distance, etc.) sont mieux armées pour surmonter des crises imprévues. • Changements climatiques : Les technologies numériques peuvent aider à gérer les risques liés aux événements climatiques (ex. : alertes météorologiques pour les agriculteurs). c) Respecter les nouvelles exigences réglementaires et sociétales • Exigences des investisseurs : De plus en plus, les investisseurs internationaux favorisent les entreprises transparentes et digitalisées. • Régulations locales : Certains pays africains adoptent des politiques incitant les entreprises à se digitaliser, par exemple via l’e-administration ou des plateformes fiscales numériques. #Tech#

𝟮𝟱 𝗮𝗻𝘀 : 𝘂𝗻 𝗾𝘂𝗮𝗿𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗶è𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗯𝗼𝘂𝗹𝗲𝘃𝗲𝗿𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝘁 𝗱’𝗼𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗶𝘁é𝘀 Dans son édito, Philippe Crevel dresse le bilan des 25 dernières années marquées par des crises économiques, sanitaires et géopolitiques, tout en ouvrant des perspectives pour 2025. Voici les points clés 👇 : 🌍 Un monde en mutation constante De la bulle Internet à la guerre en Ukraine, en passant par le COVID-19, ces 25 années ont rappelé que l’histoire est imprévisible. Les États-Unis font face à la montée en puissance de la Chine et de la Russie, tandis que l’Europe, fragilisée par le Brexit et ses défis industriels, est en quête de résilience. 🇫🇷 France et Europe : l’urgence de l’émancipation économique Face à l’instabilité, la tentation de l’immobilisme en Europe est forte. Philippe Crevel appelle à réduire la dépendance à l’État, en s’inspirant du modèle américain où les acteurs locaux prennent les devants. 📉 2025 : la reprise des investissements comme levier La baisse des taux d’intérêt prévue en 2025 redonne espoir : les entreprises pourront investir plus facilement. L’investissement est le moteur de la croissance, essentiel pour rester compétitif face à une concurrence mondiale exacerbée. 🤖 L’intelligence artificielle : une révolution à saisir L’IA ouvre des perspectives immenses pour les entreprises : automatisation, productivité et innovation. Les chefs d’entreprise doivent capitaliser sur ces opportunités pour transformer leurs modèles. 🚀 Pragmatisme offensif : l’atout clé pour 2025 Plutôt que céder au pessimisme, l’éditorialiste encourage un pragmatisme constructif pour relever les défis économiques. Avec une amélioration attendue de la croissance en Europe et un dynamisme américain toujours solide, 2025 s’annonce comme une année d’opportunités à ne pas manquer. 🔑 Et vous, êtes-vous prêt à investir dans l’avenir ? Pour plus d'informations : https://lnkd.in/d-AVEg3j