Post de Météo-France

Le dictionnaire du climat (traduit avec DeepL) Apprenez-en plus sur le changement climatique grâce au Dictionnaire du climat. Ce produit gratuit et complet, développé exclusivement par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), fournit des définitions accessibles et précises pour tout le monde. Convivial et entièrement numérique (pas de gaspillage de papier ici !), le Dictionnaire du climat comble le fossé entre le jargon scientifique et le public, en rendant les concepts climatiques compréhensibles et faciles à comprendre. Parfaitement en phase avec les travaux du PNUD sur le climat et les objectifs de développement durable, ce dictionnaire ne se contente pas d'éduquer, il diffuse également le message plus large de la durabilité. === C’est gratuit ! https://lnkd.in/eu5t7WBa

🌍 Imaginons notre avenir 🌍 Les choix que nous faisons aujourd'hui en matière de climat et d'énergie auront un impact profond sur l'avenir de notre planète, influençant l'élévation du niveau de la mer pendant des centaines d'années. Face à ces enjeux, quelle voie choisirons-nous ? 🚨 Sensibiliser sur les impacts du changement climatique à l’aide de rapports et de chiffres atteint parfois ses limites. Parfois, une image vaut mille mots. Les avancées technologiques nous permettent de visualiser de façon saisissante deux futurs possibles : l'un alarmant, basé sur notre trajectoire actuelle, et l'autre, plus optimiste, mais conditionnel à une réduction drastique de nos émissions de carbone. 💡 Projections et réalités scientifiques 💡 Le consensus scientifique est sans équivoque : nous fonçons droit vers une catastrophe climatique. Les dernières recherches prédisent des seuils de température critiques franchis dans la prochaine décennie si nous ne changeons pas notre manière d'utiliser les combustibles fossiles. Les conséquences sur la biodiversité, la sécurité alimentaire et la vie de millions d'individus seraient dévastatrices. 📊 La force des images : sensibiliser et mobiliser 📊 Des initiatives telles que "Picturing Our Future" https://lnkd.in/eU8JU9rx du groupe de recherche Climate Central présentent de manière frappante deux scénarios contrastés : un avenir où nous n'agissons pas, avec une augmentation de 3°C, et un avenir où nous réduisons notre impact, limitant le réchauffement à 1,5°C. Ces simulations réalistes illustrent les effets du réchauffement et de l'élévation du niveau des mers dans des villes du monde entier. 🌟 Conclusion : Agir ensemble pour un avenir meilleur 🌟 Même si les images peuvent parfois sembler sombres, elles nous invitent avant tout à agir. Face à une crise climatique imminente, il est temps de se mobiliser collectivement. Plutôt que de rester indifférents face à des chiffres abstraits, ces projections visuelles nous offrent une opportunité de prendre conscience de l'urgence d'agir. Regardez la vidéo pour en savoir plus et rejoignez le mouvement pour un avenir meilleur ! #ChangementClimatique #ActionPourLaPlanète #YouTube #Althiatem #AdaptationClimatique #ÉnergieRenouvelable #DéveloppementDurable  🌱🌎 Si vous souhaitez explorer davantage ce domaine et découvrir d'autres vidéos inspirantes sur des solutions énergétiques innovantes, je vous invite à vous abonner à ma chaîne YouTube https://lnkd.in/evPfNfAZ cultivons un avenir plus propre et plus durable !

La publication https://lnkd.in/eXDV7gKW du groupe de recherche climatique à but non lucratif Climate Central montre deux versions de l’avenir : ce à quoi le monde ressemblera si nous maintenons notre trajectoire actuelle et que la Terre se réchauffe de 3°C, et ce à quoi il ressemblera si nous réduisons fortement la pollution par le carbone et limitons le réchauffement à 1,5°C, objectif fixé par l’accord de Paris sur le climat. Alors, quel scénario préférez-vous ?

🌍 Points de bascule du changement climatique Publié le 19/08/2024 - Stockholm Resilience Center Les points de bascule du changement climatique et où nous en sommes. Les alertes se multiplient à tous les niveaux sur la planète: température record des océans depuis 2023, température record de l’air… L’humanité est proche de plusieurs points de bascule qui pourraient accélérer, une fois enclenchés, une nouvelle accélération du changement climatique. Les scientifiques sont très inquiets mais gardent des raisons d’être optimistes car nous avons les solutions: rester à l’intérieur des limites planétaires. https://lnkd.in/d-vUQSAm

Enfin, on fait de la politique. Enfin, on commence à comprendre que l'inertie climatique/écocidaire est avant tout politiquement et culturellement construite. J'ajoute : construite par des gens puissants qui vivent dans le déni, l'illusion ou l'égoïsme, voire la sociopathie et la malfaisance criminelle pour certains d'entre eux. Ils sont parmi les hommes les plus riches du monde (notamment GAFAM) ; dictateurs dans les pétromonarchies ou chefs d'Etat dans les démocraties pétrolières ; CEO de multinationales pétrochimiques, aériennes, automobiles, agro-alimentaires, publicitaires ; leaders et cadres des partis conservateurs-réactionnaires-climatosceptiques, néolibéraux ou néofascistes ; lobbyistes des industries polluantes ; vieux scientifiques techno-utopistes ; banquiers qui financent le fossile ; actionnaires principaux d'organes de presse et de médias populistes ; etc. etc. etc. Toute cette clique -surtout des hommes d'un certain âge- domine largement le pouvoir politique, économique, technologique et médiatique dans le monde. Toute cette clique est -de facto- écocidaire. Et ils utilisent leur puissance politique pour bloquer, ralentir, différer la mise en œuvre des politiques écologiques, en obtenant, via une propagande démagogique et trompeuse, le soutien de larges pans de l'électorat (de l'extrême-droite à l'extrême-gauche, personne n'y échappe), menée par des instituts, des fédérations, des lobbies, des médias, voire des partis entiers. Et il ne tient qu'à nous de leur reprendre le pouvoir que nous leur avons si naïvement prêté. Pour vivre et ne pas mourir.

Selon une enquête exclusive du Guardian, la majorité des principaux scientifiques climatiques mondiaux prévoit une augmentation des températures globales d'au moins 2,5°C au-dessus des niveaux préindustriels au cours de ce siècle, dépassant largement les objectifs internationaux. Près de 80% des scientifiques interrogés, tous membres du Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique (IPCC), estiment que le réchauffement atteindra au moins 2,5°C, tandis que près de la moitié anticipent une hausse d'au moins 3°C. Seulement 6% croient que l'objectif de 1,5°C sera respecté. Les conséquences envisagées comprennent des famines, des conflits, et des migrations massives, exacerbées par des vagues de chaleur, des incendies de forêt, des inondations et des tempêtes d'une intensité sans précédent. Gretta Pecl, de l'Université de Tasmanie, exprime un sentiment de désespoir face à l'avenir, prévoyant une perturbation sociale majeure due à une succession d'événements extrêmes qui surchargeront les autorités et perturberont la production alimentaire. Cependant, des scientifiques comme Peter Cox de l'Université d'Exeter, insistent sur la nécessité de continuer le combat climatique, soulignant que chaque fraction de degré évitée pourrait réduire les souffrances humaines. Jesse Keenan, de l'Université Tulane, avertit que les dommages actuels ne sont que le début d'une crise plus étendue. Les réponses des scientifiques à l'enquête soulignent une nécessaire préparation massive pour protéger les populations des pires désastres climatiques à venir. Leticia Cotrim da Cunha, de l'Université d'État de Rio de Janeiro, se dit extrêmement inquiète des coûts en vies humaines. Nathalie Hilmi, du Centre Scientifique de Monaco, estime qu'il est désormais impossible de rester en deçà de 1,5°C. Les scientifiques expriment un manque de volonté politique et l'influence des intérêts corporatifs, notamment de l'industrie des énergies fossiles, comme principales raisons de l'échec à aborder la crise climatique. Dipak Dasgupta de l'Institut de l'Énergie et des Ressources à New Delhi, critique le manque d'action pour aider les pauvres, qui sont parmi les plus affectés par les impacts climatiques. Henry Neufeldt, du Centre Climatique de l'ONU à Copenhague, reste convaincu que les solutions existent pour suivre une trajectoire de 1,5°C, mais craint que les actions nécessaires soient retardées. (E) Lisa (F) Schipper, de l'Université de Bonn, trouve espoir dans la prochaine génération, qu'elle perçoit comme étant particulièrement avertie des enjeux politiques liés au climat.

La qualité de l’information émerge déjà comme l’un des enjeux majeurs du 21ème siècle, avec des moyens très puissants mis au service de ce que les chercheurs nomment l’#obstruction climatique. A lire et à diffuser.