Post de Ministère des Armées

UNE « DEA » EN FRANCE EST LA QUESTION À POSER ? MAIS AU MINISTÈRE DE LA JUSTICE ! Les opérations « Place nette » ne sont que des opérations de communication du Ministre de l’Interieur! Elles mobilisent beaucoup de personnels pour peu de résultats ! Les stats du Ministère de l’Interieur montre effectivement que les cibles sont les consommateurs ( notamment à travers les transactions) et non les membres des gangs ! Et c’est normal quand on a departementalisé la PJ en l’incluant au sein de la Sécurité Publique . La politique anti trafic de stups en France mise en place par Darmanin est déplorable ! Les consommateurs sont des malades devant être soignés ! La lutte contre les gangs sont un travail de spécialistes ! Cet article évoque les ports par lesquels effectivement des tonnes de cocaïne entre en France: IL OMET de parler des Douanes qui ont, en métropole et aux Antilles, des résultats intéressants. Cependant, on ne peut que regretter l’insuffisance de personnels et de scanners sur les grands ports tel Le Havre, Dunkerque , Nantes, Bordeaux, La Rochelle et Bayonne. Les ports de Méditerranée sont plus sensibles au cannabis. L’aiteur de l’article semble ignorer que les Douanes ont des services de recherches et d’enquêtes qui œuvrent pour identifier les gangs important la drogue ? Comme un service d’ODJ qui œuvrent en Judiciaire ! Et des Attachés Douaniers à l’International… Question: DEA français au sein du Ministère de la Justice en fusionnant sur le modèle américain ( il y a 60 ans!) les services opérationnels anti drogue douaniers et policiers associant aussi gendarmes et fiscaux ! Mais pas en reprenant l’idée du SÉNAT de faire une fois encore un super service policier ( Office des Stups) inefficace par essence en matière de coordination et d’action indépendante. C’est pour toutes ces raisons qu’il faut créer un Parquet National’Anti Stups qui aurait « la main » sur cette DEA française !

Logique ça devient grave

encore une coopération au top!

Denis JACOB, secrétaire général d'Alternative Police CFDT, était invité sur France Bleu dans l'émission "Ma France" de Wendy BOUCHARD, pour discuter de la hausse alarmante des assassinats et des règlements de comptes entre délinquants en France. 🔸Les chiffres ne sont pas étonnants. Ils reflètent la réalité du terrain. La hausse est expliquée en partie par la guerre des territoires dans le trafic de stupéfiants, à la facilité de se procurer des armes à feu et à une désinhibition à utiliser ces armes pour régler des comptes. 🔸Les policiers ne peuvent pas être les seuls à lutter contre ce phénomène et il faut des mesures d'accompagnement social, économique et de politique de la ville. Il est important de traiter les causes et pas seulement les conséquences. 🔸Sur la proposition d'envoyer des jeunes dealers en internat pour les éloigner des trafics de drogue, cela pourrait être une solution à condition qu'il s'agisse d'une véritable démarche pédagogique socio-éducative pour aider ces jeunes à se réinsérer dans la société. https://lnkd.in/eJGEScQs #police #policiers #policenationale #FDO #CFDT #AlternativePolice #AlternativePoliceCFDT #FranceBleu #WendyBouchard #MaFrance

#Equateur 🇪🇨 : En état de guerre🧵   La guerre est déclarée entre le pouvoir et les narcotrafiquants. Des policiers ont été exécutés, des civils tués & kidnappés et l’armée est désormais déployée dans l’ensemble du pays pour faire face à une crise sans précédent ⤵️   👉 Assauts & reprise de contrôle   L’armée est déployée sur l’ensemble du territoire et essaye de juguler la situation en affrontant & arrêtant les membres des cartels. La prise d’otages au sein de la chaîne publique TC a pris fin suite à un assaut de policiers.   ➡️ Multiples fronts   Cependant, l’offensive des cartels a eu lieu dans plusieurs villes (Guyaquil, Quito et Quevedo) et dans des lieux variés : métros, universités, prisons ainsi que des combats dans les rues opposant les narcos aux forces de l’ordre.   ➡️ Arrestations   Les narcos ce sont filmés exécutants des policiers (pendaison, tir dans la tête…). Cette violence va entraîner une politique du talion (œil pour œil, dent pour dent). Les criminels qui vont être arrêtés n’auront strictement aucun traitement de faveur.   ➡️ Armée déployée   Le Président, Daniel Noboa, a déclaré que l’État était désormais dans une guerre ouverte contre les cartels. L’armée est actuellement déployée dans plusieurs villes. Elle réalise des patrouilles & participe à des arrestations.   👉 Civils tués et kidnappés   Les images qui remontent d’Équateur mettent en évidence que les cartels ont également tué des civils. À cela s’ajoute des kidnappings sauvages qui pourront servir de monnaie d’échange voire d’outil de pression sur le pouvoir.   ➡️ Risque de dérapage   Dans certaines villes, des civils sont descendus dans la rue pour soutenir les forces de l’ordre contre les cartels. Ils ne disposent pas de l’entraînement adéquat pour faire face à une telle crise ce qui entraîne un risque accru de morts civils.   ➡️ Amnistie   Dans ce torrent de violence qui arrive sur le pays, l’Assemblée nationale a annoncé qu’elle offrait l’amnistie à tous les policiers et ceci qu’importe le degré de violence qui allait être utilisé dans cette guerre.   👉 Soutien international   Pour faire face à la crise, l’Argentine a proposé au gouvernement de l’Équateur d’envoyer des forces de sécurité en renfort afin d’endiguer la situation et aider à la reprise de contrôle du territoire.   ➡️ Pérou   En raison des troubles qui ont lieu en Équateur, le Pérou a déployé ses forces armées sur l’ensemble de sa frontière afin d’empêcher une propagation de la crise sur son sol. Les 2 pays ont une frontière commune de plus de 1 000km.   ➡️ USA   Les USA ont proposé une assistance selon la forme désirée par le gouvernement d’Équateur. Pour l’Équateur, ces propositions sont compliquées : les accepter aidera à la lutte mais cela soulignera l’incapacité du pouvoir à faire face.

C’est clair

Le Mexique est une nouvelle fois endeuillé par une série d’affrontements sanglants qui ont éclaté dans l’État de Tamaulipas, situé dans le nord-est du pays. Selon les autorités locales, ces incidents ont coûté la vie à au moins six personnes, dont trois membres des forces de sécurité. Cette tragédie met en lumière la violence endémique qui gangrène certaines régions du Mexique, où les cartels de la drogue imposent leur loi. Chronologie des événements Le premier affrontement a eu lieu vendredi après-midi dans la ville d’Abasolo, au cœur de l’État de Tamaulipas. D’après le communiqué des services de sécurité, trois individus ont été abattus après avoir ouvert le feu sur des policiers de l’État. La riposte des forces de l’ordre a été immédiate et fatale pour les assaillants. Quelques heures plus tard, tôt samedi matin, une seconde fusillade a éclaté, toujours à Abasolo. Cette fois-ci, des hommes armés ont pris pour cible l’hôtel où étaient hébergés des membres des forces de sécurité. L’attaque a été meurtrière, faisant trois victimes parmi les militaires et les policiers. Tout porte à croire qu’il s’agissait de représailles suite à l’incident de la veille. Tamaulipas, un État sous haute tension L’État de Tamaulipas, qui partage une longue frontière avec les États-Unis, est malheureusement coutumier de ce type de violence. Les cartels de la drogue y sont particulièrement actifs, se livrant à un trafic intense de stupéfiants mais aussi d’êtres humains. Les affrontements avec les forces de sécurité y sont fréquents et souvent meurtriers. La situation sécuritaire à Tamaulipas est extrêmement préoccupante. Les groupes criminels y font régner la terreur et défient ouvertement l’autorité de l’État. – Un expert en sécurité interrogé par nos soins Un défi majeur pour les autorités mexicaines Face à cette violence endémique, le gouvernement mexicain peine à apporter des réponses efficaces. Malgré les efforts déployés par les forces de sécurité, les cartels semblent toujours avoir une longueur d’avance. Leur puissance de feu et leur ancrage territorial en font des adversaires redoutables. Renforcement des effectifs policiers et militaires dans les zones sensibles Démantèlement des réseaux de corruption qui favorisent les activités des cartels Coopération accrue avec les États-Unis pour endiguer les flux de drogues et d’armes Les experts s’accordent à dire que seule une approche globale, associant répression et prévention, pourra venir à bout de ce fléau. Il faudra aussi s’attaquer aux racines profondes du mal, comme la pauvreté et le manque d’opportunités, qui poussent de nombreux jeunes Mexicains dans les bras des cartels. Un pays meurtri En attendant, c’est tout le Mexique qui pleure ses morts et panse ses plaies. Chaque nouvelle fusillade, chaque nouveau règlement de comptes, vient rappeler la dure réalité d’un pays en proie à une violence qui semble sans fin. Les affrontements de Tamaulipas ne sont malheureusement qu’un épisode d...

Qui a commandité le meurtre de Martinez Zogo ? Après l'Ordonnance de renvoi du Colonel Blériot Nzie, l’honorable Cabral Libii s’interroge sur l’identité du commanditaire de cet acte odieux qui avait suscité indignation et colère à travers le monde. Selon Cabral Libii, en lisant ces deux extraits de l'ordonnance de renvoi du juge d'instruction Nzie Martin, dans l'affaire Martinez Zogo, les constats implacables suivants sont faits, assortis d'interrogations... concernant les constats Cabral Libii pense en premier lieu que la mort de Martinez Zogo est l'aboutissement de deux opérations criminelles, une première opération de torture et une seconde opération d'assassinat. En deuxième lieu, il fait savoir que les deux opérations sont clairement distinctes, mais il y a quelqu'un qui participe et co-coordonne les deux opérations, il s'agit de Justin Danwe. En troisième lieu, selon les extraits de l'ordonnance, Danwe dit avoir exécuté la première opération sur la double instruction de son patron Eko Eko Maxime et du patron de médias Amougou Belinga et en quatrième lieu, selon les mêmes extraits, Danwe a coordonné la deuxième opération avec Martin Savom, Maire de Bibey dont l'épouse travaille à la La direction générale de la Recherche extérieure. A l’issue de ces constats Cabral Libii s’interroge qui finalement qui a même commandité la mort de Martinez Zogo ? S'agit-il de deux commanditaires distincts provenant de deux clans qui ne s'aimeraient pas, mais qui ont coalisé pour la cause funeste ? Pour comprendre tous les enjeux de cette opération fatale, lire l’intégralité de l’article sur Magazine Pages Jaunes du Cameroun en cliquant sur le lien en dessous https://lnkd.in/dwz4Rvdq #magazinepagesjaunesonline

🔎 À vos témoignages pour relancer l’enquête !!