Post de Musée d'Art Moderne de Paris

Déambuler et converser au sein des galeries du Musée du Louvre. 🤍 Les Conversations du Louvre avec Hans-Ulrich Obrist Le Louvre, avant d’être musée, fut atelier d’artistes. Il demeure aujourd’hui leur résidence. Pendant plusieurs mois, Hans Ulrich Obrist - directeur des Serpentine Galleries à Londres et personnalité incontournable de l’art - a cheminé au travers des collections avec onze artistes et figures de la création du présent : Kader Attia, Daniel Buren, Barbara Chase-Riboud, Julien Creuzet, Dominique Gonzalez-Foerster, Simone Fattal, Sheila Hicks, Anselm Kiefer, Lee Ufan, Annette Messager, Philippe Parreno. Ils évoquent, ensemble, les œuvres qui les ont marquées, les espaces qui, encore maintenant, les saisissent d’admiration. Chaque artiste interroge, suivant sa sensibilité contemporaine, les défis que rencontre le musée au XXIe siècle. La séparation fréquente entre patrimoine et création, entre art du présent et art du passé, est désormais dépassée : par la pluralité de voix qui s’expriment à chaque fois face aux œuvres, le Louvre est le lieu du dialogue idéal entre les temps de l’art – lieu au miroir duquel chacune et chacun vient refléter ses propres projets. Les Conversations du Louvre est publié aux éditons du Seuil. Photo : © Musée du Louvre, 2019 - Nicolas Guiraud Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Art #Culture #Patrimoine #Société #Planète

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Alfred Latour, regard sur la forme. Dialogues entre les arts: dessins, photos et textiles. L’exposition à voir absolument au @musee.reattu #delairmagazine @fondation.alfred.latour @actessud @rencontresarles #rencontresarles #actessud #alfredlatour #arles #reattu #reattumuseum #textiles

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Connexion, un sujet contemporain traité dans le style de la miniature persane, travail en cours, aout 2024 Alain Galet©Alain Galet@ADAGP #miniature persane #gouache #arts de l'orient #art contemporain

Art African Excellensitys 🔥 ART AFRICAN EXCELLENSITYS 10 & 11 mai 2024 S’il est bien un domaine où la créativité africaine s’exprime pleinement, c’est l’art contemporain. Jusqu’à il y a peu, l’art africain se limitait, pour les Occidentaux, à celui que l’on trouve au Musée du Quai Branly 3, un art «primitif» ou «premier » pour les amoureux d’une Afrique traditionnelle faite d’objets qui n’avaient pas vocation à être de l’art (masques, objets de culte, statuaire, portes, bijoux). On parlait davantage d’artisanat (à touristes) que d’art. Or, il y a un dynamisme fou sur le continent africain, dans les académies et dans la rue. Depuis la période des indépendances, les artistes proposent un regard pertinent sur l’Afrique et ses problématiques réelles et sur le reste du monde. Un vrai message, un vrai propos accompagné d’un univers graphique et plastique audacieux (formats, couleurs, style, recyclage…). Depuis peu, grâce à quelques collectionneurs privés et à la forte spéculation dans l’art contemporain, la cote des artistes grimpe, les prix s’envolent et l’art africain prend ses lettres de noblesse. Des artistes comme Julie Mehretu (Éthiopie), El Anatsui (Nigéria), Perneef, Iram Stern (Afrique du Sud), Kader Attia (Algérie-France), Hassan Hajjaj (Maroc), Chéri Samba (RDC), Seydou Keita (Mali) entrent dans les institutions culturelles des grandes capitales africaines et internationales. Expos, biennales et musées d’art contemporains dédiés (comme les récents Zeitz au Cap ou Macaal à Marrakech) offrent au regard des visiteurs un nouvel angle de réflexion sur l’Afrique contemporaine. Extrait du livre : Sagesse Africaine 2.0 de Julie Lombe

Table-ronde : Quel avenir pour le patrimoine culturel africain? Dans le cadre de la carte blanche à la Fabrique de Suza Vendredi 4 octobre 2024, à 19.00, aux Avant-Postes, à Bordeaux A l'invitation de l'Institut des Afriques et de la Fondation MAM, je prendrai part à cette table ronde vendredi à Bordeaux, avec Marème Malong Samb, Simon Njami et Katia Kakawka. Il est plus que probable que nous ne répondrons pas à la question qui intitule la rencontre car une thèse de doctorat n’y suffirait pas. Mais nous aborderons les enjeux et processus actuels de restitution du patrimoine culturel africain pillé durant les colonisations européennes.  Pour ma part, je reviendrais notamment sur la notion de patrimoine. Car certes le patrimoine spolié représente une part essentielle des productions culturelles et artistiques africaines mais il n’en constitue pas l’intégralité. Si un patrimoine matériel inestimable a bien été pillé et doit être absolument restitué, un héritage immatériel très riche est demeuré en Afrique et une production d’objets (de pouvoir, rituels ou usuels) s’est poursuivie. Faut-il voir le continent africain uniquement comme un continent vidé de ses richesses patrimoniales… c’est une des questions que nous aborderons vendredi. #patrimoineculturelafricain #restitution #fondationmam #institutdesafriques

Vient de paraître aux éditions Khéops/Louvre : Le catalogue raisonné des "Statues égyptiennes du Nouvel Empire. Statues privées. La collection du musée du Louvre" par Christophe Barbotin (2 volumes, 1040 pages !) "Après les Statues royales et divines, parues en 2007, voici le second tome du catalogue des statues égyptiennes du Nouvel Empire du Louvre. Ses cent soixante-deux notices consacrées aux particuliers, auxquelles s’ajoutent six notices de complément au premier tome, offrent un panorama exhaustif de la collection du musée pour cette époque somptueuse entre toutes. La description et l’analyse des données, rigoureusement distinctes l’une par rapport à l’autre, les très nombreuses illustrations, le dessin au trait de la totalité des inscriptions ainsi qu’un ensemble d’index exceptionnellement riche érigent cet ouvrage en manuel incontournable pour quiconque s’intéresse à l’art et à la culture du Nouvel Empire égyptien. Fruit d’une très longue réflexion de l’auteur qui a fréquenté les collections du Louvre durant près de quatre décennies, il livre en effet une approche anthropologique de la pensée égyptienne de l’image qui devrait largement renouveler la recherche en ce domaine, bien au-delà du strict périmètre du sujet." https://lnkd.in/eFGfc57R

#Caen art et histoire : La fondation Gandur choisit la #Normandie #art #histoire #culture Notre article

Quelques mots que j'ai eu le plaisir d'écrire sur l'exposition de Maxime Bichon au Capc - Musée d’Art Contemporain de Bordeaux