Post de Palais des Beaux-Arts de Lille

Le concept de décroissance dans les musées est relativement nouveau, mais certaines institutions ont déjà adopté des stratégies alignées sur cette philosophie. Voici quelques exemples concrets de musées mettant en œuvre des approches de décroissance : En termes de fréquentation et d'expérience des visiteurs, certains musées comme le Louvre ont expérimenté la limitation du nombre de visiteurs pour améliorer leur expérience. Pendant la pandémie, les restrictions de capacité ont paradoxalement entraîné une augmentation de la satisfaction des visiteurs due à la réduction de l'affluence. La gestion des collections est également repensée. Certaines institutions commencent à "réduire" leurs collections par le biais d'un processus de désinscription responsable, non pas pour des gains financiers, mais pour mieux allouer leurs ressources. D'autres ralentissent la croissance de leurs collections en procédant à des acquisitions conjointes et en mettant en place des accords de partage de collections. En matière de programmation d'expositions, on observe un changement vers la qualité plutôt que la quantité. Certains musées se concentrent sur le développement d'un nombre réduit d'expositions par an pour s'éloigner du système de "l'exposition d'art comme produit de consommation". Cette approche permet également de libérer des fonds pour soutenir de meilleures conditions de création pour les artistes. Les initiatives de durabilité sont de plus en plus nombreuses. De nombreux musées utilisent désormais du mobilier d'exposition réutilisable, recyclent les murs d'expositions précédentes et développent des murs temporaires modulaires pour réduire les déchets. Sur le plan opérationnel, les musées procèdent à divers ajustements. Ils augmentent l'utilisation d'options locales et végétariennes dans leurs restaurants et cafés, éliminent les plastiques à usage unique, promeuvent des pratiques zéro déchet, créent des parkings pour vélos pour encourager le personnel et les visiteurs à utiliser ce mode de transport, et s'associent à des institutions partageant les mêmes idées pour partager et réutiliser les ressources. Enfin, les musées tirent parti de la technologie pour réduire leur impact environnemental. Ils produisent des supports virtuels accessibles en ligne pour divers publics et utilisent des coursiers virtuels pour planifier l'installation à distance d'expositions internationales. Il est important de noter que le concept de décroissance dans les musées est encore en évolution. De nombreuses institutions en sont aux premiers stades de l'exploration et de la mise en œuvre de ces stratégies, cherchant à les équilibrer avec leur mission de préservation du patrimoine culturel et d'engagement auprès du public. Ces exemples montrent néanmoins des progrès significatifs dans l'adoption de pratiques plus durables et réfléchies dans le secteur muséal.

EXPOSITION MEXICA À PARIS Le musée du Quai Branly est un musée engagé. Nous nous rappelons bien que le président Jacques Chirac a annoncé en 1996 la création d’un « musée des Civilisations et des Arts premiers » qui a été inauguré le 14 juillet 1998. Nous étions invités et parmi les personnalités de l’Amérique latine figurait en premier plan Rigoberta Menchú. Le musée est né avec l’objectif de préserver et valoriser la diversité des cultures à travers le monde. Alors que la destruction des écosystèmes menace toujours plus la pérennité des cultures, le musée assume une responsabilité particulière en matière environnementale. Le musée endosse aussi une responsabilité sociale et sociétale forte, à travers les objectifs d’égal accès aux arts et aux savoirs, d’accessibilité au plus grand nombre et, plus largement, de lutte contre toutes formes de discriminations. Pour ces raisons, les exigences du développement durable, dans ses volets environnementaux, sociaux et sociétaux, imbibent l’ensemble des actions du musée, à travers une politique globale toujours plus exigeante. Depuis sa création, l’Amérique latine a tenu toujours une place et l’exposition Mexica que vient d’ouvrir fait partie d’une longue série d’expressions venues du sous-continent latino-américain.

Prochains musées, projets à venir? Pour la Culture, faites confiance à Correspondances, ils savent tout! 😂 Et leurs articles sont bien renseignés. Pour un regard critique sur les politiques culturelles, à vous de juger et d'avoir des avis, car il y a très peu d'interrogations ou de réflexions en France, et je trouve cela dommage. Par ex., sur ce sujet, on pourrait se demander si on a encore besoin de musées? Ou de quoi rêvent les jeunes? Ou encore analyser les poilitiques culturelles de nos voisins, souvent plus décentralisées et " évaluées" que ne le sont les nôtres. Un très bon exemple, cependant : BRETAGNE CRÉATIVE, soit tout un bouillonnement d'initiatives vraiment intéressantes, et des stratégies réellement " au plus près des habitants", ce qui est souvent " déclaratif" mais rarement une réalité pour d'autres régions et villes que celles de la Bretagne, Nantes comprise! 😄 Bretagne Tiers-Lieux , @Michel Briand ,Michel TIARD , Xavier Theret ,Voyageons-Autrement (collectif de journalistes)

La 2e session est en cours !

💡 Mise en place d'un accord-cadre pour les démontages d'exposition au Château des ducs de Bretagne - musée d'histoire de Nantes : un exemple intéressant de réflexion sur l'écoconception et le développement durable en collaboration avec la La Ressourcerie Culturelle #ecoconception #developpementdurable #RSE #musee #sustainability

Pour favoriser la circulation de cette boîte à outils en prise avec les enjeux d'eco-conception

Évidemment que La réponse est NON L'art du Non Sens Est celle d'une provocation à des fins marchandes Et qui par valgurarité Se distingue!! d'un si peu d' ingrédients Qu'elles sont capables Et ont en elles cette vitesse D'expression Objet exposé superposé Pour être Vu d'une manière À question où tout peut-être réflexion sur Réalisé et loin d'un d'être suréel Tout simplement assemblé Exposé à l'art d'un quotidien avec son effet Ah ! l' Art simpliste tout droit sorti d'un établi où l'exposition est là comme un support à interpeler interroger sans autre dialectique à des fins de dessins plus à propos d'être là pour être travaillés via des conducteurs de réalisation élaborée à dessiner sculpter ou revisiter via les matériauxe comment l'on eût fait les ancêtres peintres sculpteurs avec temps précision en trompe l'oeil nature morte ou encore fauvisme cubisme surréalism romantisme cubisme etc... ici les objets sont là présentés tels des décorations d'assemblage uniquement comme des objets collectés chinés Vintage bref qui prennent une place à part de celles où ils sont naturellement créés pour être utiles et nécessaires au quotidien. C'est à dire : À la consommation et qui devient du coup par un coup d'assemblage tout à fait neutre sans doute un Chef-d'œuvre ! Celui-ci de l'art finance consumériste ou qui le convoque Et qui est un tabou Comme l'est la surconsommation De la forme objet présente ou pas partout dans notre quotidien. Ces objets trouvés ou d'appartenance fétichistes qui le deviennent par notre simple regard porté sur eux ! ... https://lnkd.in/eF8BGPnw objeCtive ! Décorative.... À la finalité spectaculaire car uniquement spéculative Le tout à tous pris Prix fous État de provocations voyeuriste Dans le courant de l'histoire de l'Art En guise D' Invitation à cet entretien Rendez-vous ci-joint : Of course the answer is NO The art of the Non Sens Is that of a provocation for commercial purposes And who by valgurarity Are distinguished so little That they are capable And have in them this speed Expressive The consumption of art finance And that is a taboo As is the overconsumption Rhetorical objeCtive! Decorative.... To the spectacular end because only speculative The whole to all taken Crazy prices State of provocation voyeuristic In the course of the History of Art ! By way of introduction Invitation to this interview See you attached! : ↓✓↓ https://lnkd.in/esQEmU7C

🎬 𝗖𝗹𝗮𝗽 𝗱𝗲 𝗳𝗶𝗻 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗲𝘅𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘁𝗲𝗺𝗽𝗼𝗿𝗮𝗶𝗿𝗲 « 𝗟𝗲𝗮𝗵 𝗟𝗶𝗻𝗵, 𝗙𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝗳𝗹𝗲𝘁𝘀 𝗮𝘂 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱𝗲 𝗣𝗶𝗲𝗿𝗿𝗲 𝗜𝗜 𝗱𝗲 𝗦𝗮𝘃𝗼𝗶𝗲 » ! Cette exposition a apporté une touche de modernité et un regard contemporain sur notre riche histoire. Les réactions de notre public ont été contrastées : certains estiment que le château de Chillon doit rester ancré exclusivement au Moyen Âge, tandis que d’autres ont été séduits par l’audace de Leah Linh et par l’intégration de son œuvre dans un parcours historique. Personnellement, je crois fermement que l’histoire est vivante. Un monument historique tel que le château de Chillon, fort de plus de 1000 ans d’existence, ne doit pas se limiter à refléter seulement quatre siècles de son passé. Il doit également intégrer des perspectives contemporaines et demeurer une source constante d’inspiration. Et vous, qu’en pensez-vous ? 🌟 Accompagnez-nous dans ce voyage à travers le temps et partagez vos impressions sur cette rencontre entre passé et présent. Vos avis sont précieux pour continuer à faire de Chillon un lieu de mémoire dynamique et inspirant.

🤝 Un accord-cadre pour les démontages des expositions entre 2024 et 2028 dans une démarche RSE Pour anticiper le réemploi des matériaux utilisés dans les expositions temporaires, le musée a mené une réflexion en amont sur les modes constructifs des projets afin de limiter en aval le taux de non-ré-emploi, tout en restant dans ses impératifs de rapidité et d’efficience entre deux projets. Afin d’entériner ce process, le musée a rédigé un accord-cadre qui prévoit, dans le cadre d’un marché, de travailler avec une entreprise de réemploi. 🌱 Pendant quatre ans, La Ressourcerie Culturelle accompagnera le démontage des expositions Cette nouveauté permettra de mieux planifier et préparer les démontages avec l’opérateur, dans un contexte où la question de l’impact environnemental des scénographies se pose avec toujours plus d’importance. Premier marché subséquent : le démontage de l'expo Gengis Khan après sa fermeture le 5 mai... https://lnkd.in/gtNHtjNs