🔵 Réunion CSEE Actemium Dunkerque : Les sujets qui fâchent Bonjour à tous, Aujourd’hui aura lieu la Réunion CSEE d’Actemium Dunkerque. Comme toujours, nous avons travaillé à porter les préoccupations des salariés à l’ordre du jour. Cependant, force est de constater que les sujets qui fâchent ne sont pas retenus. Voici quelques-unes des questions que nous avons soumises et qui mériteraient, selon nous, d’être débattues : ❌ Confidentialité des informations financières des salariés Quelles mesures sont mises en place pour protéger les données des salariés ayant opté pour les versements Castor ? ❌ Transparence financière Quelle est la part de notre entreprise dans le dividende versé à notre actionnaire unique ? Quel est le montant global de la prime de bilan versée dans notre entreprise ? Moyenne de l’intéressement à verser prochainement. ❌ Documentation en attente Nous sommes toujours en attente de la copie des prêts de personnel avec leur annexe financière, malgré plusieurs relances. BDESE : Où sont les conventions de maillage avec leur annexe financière ? Accidentés de 2024 : Quel est l’état de santé des salariés concernés et leur suivi au retour à l’entreprise ? ⚠️ Points importants qui mérite plus d’attention : Affaires en cours : Suez, Redex, Air Liquide, Nidec, Verkor. Budget Armada : Quels sont les coûts pour les bureaux, l’atelier extérieur, etc. ? Vestiaires : Notre entreprise va-t-elle contribuer financièrement au projet des nouveaux vestiaires situés au magasin ? 💡 Quelques chiffres et informations attendus : Nombre de salariés ayant installé une borne électrique à leur domicile (véhicules de service et de fonction). Pourcentage de promotions dans l’entreprise. Pourcentage d’augmentation par collège (ouvriers, ETAM, cadres). 🤝 Ce que nous demandons : Plus de transparence, une réelle prise en compte des questions remontées par les élus, et un dialogue social qui permette de construire, ensemble, un avenir meilleur pour tous les salariés. Merci à tous ceux qui nous soutiennent dans cette démarche et n’hésitez pas à partager votre point de vue. Vos retours comptent ! #CSEE #DialogueSocial #Transparence #Actemium #EngagementSalarial
Post de sylvain musin
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L’année 2024 s’achève avec un goût amer pour les entreprises de la Haute-Vienne qui, après avoir dû faire face à la hausse des coûts de l’énergie et celle du prix des matières premières, doivent désormais faire avec la hausse des charges salariales, sans parler de celles qui peinent à rembourser leur prêt garanti par l’État (PGE). Mais l’écosystème local résiste. Pour preuve, la belle longévité de certaines entreprises et les projets de développement.
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"𝗡𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗮𝗷𝗼𝘂𝘁𝗲́𝗲, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗹'𝗛𝗼𝗺𝗺𝗲" L'Homme est l’un des piliers de la CPME nationale, Syndicat interprofessionnel d'entreprises Que je préside à La Réunion depuis 3 ans. A cela se rattache une valeur qui m’anime au quotidien : l'authenticité. Je suis un chef d'entreprises. Je gère des stations services depuis 1996. Deux dans l’ouest. Une dans le nord. Elles ne servent pas que du carburant. Ce sont des commerces de proximité. Elles créent du lien entre les Réunionnaises et les Réunionnais. Très tôt, je me suis engagé au sein du Syndicat Réunionnais des Exploitants de Stations-Services (SRESS). J’en assure la présidence depuis 2007. Le SRESS accompagne ses 80 adhérents dans leurs problématiques et porte leur voix auprès d’institutionnels, des médias ou des leaders d'opinion. Parce que je suis un homme engagé pour La Réunion, je me suis présenté à la présidence de la CPME Réunion en 2021. Alors que nos entreprises traversaient une crise sans précédent, née de la pandémie de COVID 19. La CPME Réunion représente aujourd'hui plus de 1200 entreprises. Notre parole est attendue. Notre parole est écoutée. Notre parole pèse lors des discussions. 𝗝𝗲 𝗿𝗲𝘁𝗶𝗲𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝘀 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗱’𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝗔𝗻𝗱𝗿𝗲́ 𝗚𝗶𝗱𝗲. ”𝗜𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗯𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘃𝗿𝗲 𝘀𝗮 𝗽𝗲𝗻𝘁𝗲, 𝗽𝗼𝘂𝗿𝘃𝘂 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝗲𝗻 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁.” Aujourd’hui, je suis ma pente. Elle est en montant. Cette pente c’est celle du développement d'un climat propice à la croissance de nos TPE-PME. Innover, s'internationaliser, conduire la transition écologique, créer des emplois, partager de la valeur et affirmer son ancrage local. Dans nos TPE-PME, des femmes et des hommes s'engagent pour notre territoire. 🤝 𝗝𝗲 𝗻’𝗮𝗶 𝗾𝘂’𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗶𝗲𝗿𝘁𝗲́ : 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲́𝗳𝗲𝗻𝘀𝗲𝘂𝗿. 📸 sébastien fraysse
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L’annonce, la semaine dernière, du licenciement de 1 300 salariés de Michelin à Cholet et à Vannes – auxquels il faut ajouter autant de sous-traitants –, a fait l’effet d’un choc au sein du monde politique. Surtout que cette énième tragédie industrielle n’est que le début d’une longue série, a reconnu lucidement le ministre de l’industrie, Marc Ferracci : « Des annonces de fermetures de sites, il y en aura probablement dans les semaines et les mois qui viennent. Le bilan social va se compter en milliers d'emplois », a-t-il sombrement pronostiqué sur France Inter, comme s’il était lui-même incapable d’avoir le moindre impact sur la suite des événements. Ces fermetures traduisent l’échec d’une politique économique gouvernementale fondée sur le soutien à la compétitivité et aux profits, qui ne fait pas le poids face aux tendances déclinantes du capitalisme contemporain. Sans remise en cause de cette stratégie, Bercy se limitera à être le ministère des indignations sans lendemain. « Quel est votre plan ? », a d’ailleurs demandé Aurélie Trouvé, la présidente (La France insoumise) de la commission des affaires économiques qui auditionnait Marc Ferracci, ce mardi, sur le sujet. Mis à part quelques généralités sur l’industrie, « condition essentielle de notre souveraineté », le ministre a eu bien du mal à répondre, soutenant que, grâce à la sacro-sainte « politique de l’offre » mise en place depuis 2017, « la France était devenue le pays le plus attractif d’Europe ». Mais les chiffres avancés sont bien cruels face à la détresse des salarié·es. Ce qu’a d’ailleurs pu constater Marc Ferracci, reparti sous les quolibets de son déplacement express, vendredi dernier, à Cholet. Alors, que faire ? En ces temps où le Rassemblement national (RN) prospère sur le ressentiment du salariat d’exécution, c’est désormais, et plus que jamais, à la gauche de remettre les mains dans le cambouis pour répondre enfin clairement. Elle part de loin, et le désastre de Florange, sous le quinquennat de François Hollande, reste une tache indélébile de son histoire récente. Son discours lui-même est parcouru de tensions, entre la protection du modèle existant et l’esquisse d’une alternative social-écologique, dans laquelle on se demande quelle serait la place des productions similaires à celles de Michelin. Il y a quelques jours, le scrutin américain a vertement rappelé combien les questions économiques et sociales sont au cœur des victoires politiques progressistes – « It’s the economy stupid ! » [« [La clé de l’élection], c’est l’économie, idiot ! »], avait théorisé Bill Clinton aux heures glorieuses du Parti démocrate américain, et c’est ce que martèle aujourd’hui son aile gauche. Le Nouveau Front populaire (NFP), qui avait largement fait l’impasse sur les questions de production dans son programme commun, doit d’urgence s’emparer de cette actualité, afin de renouer avec le monde ouvrier. Bref, se remettre au travail.
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🏢 Assemblée générale de l' OPCO 2i avec l'intervention de Olivier Lluansi chargé par Bercy d'une mission sur la réindustrialisation à l'horizon 2035 🎤 Il est nécessaire de susciter un sursaut patriotique en recourant de manière beaucoup plus volontariste à la #commandepublique qui permettrait de générer 15 milliards d'euros par an en plus de bien manufacturiers (…) "C'est un quart de notre déficit commercial manufacturier." 💁🏻♂️"Il suffit qu'on fasse jouer les clauses miroirs, qu'on calcule le coût complet - avec tout ce que les emplois peuvent apporter en France- pour découvrir qu'il revient moins cher d'acheter du Made in France que d'importer ces produits-là." 💙🤍❤️ Le #madeinfrance 🇨🇵 est un levier pour l'emploi, l'économie et l'environnement... D'autres pays l'ont compris. Il est essentiel que nous allions plus loin Fédération Française de la Cordonnerie Multiservice
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"Les commerces, artisans et TPE, représentent deux tiers des entreprises de notre pays. Ils sont au cœur de l'économie de proximité que je veux défendre et accompagner". L'intervention du Ministre Antoine Armand hier lors des rencontres de l'U2P, la première de son mandat devant une organisation professionnelle, au-delà du symbole, adresse un message très fort : - à 1,7 millions de professionnels libéraux, et à leurs 1,3 millions de salariés - à 1,2 millions d'auxiliaires et d'aides à domicile des services à la personne - à 2 millions d'employés du secteur du transport et de la logistique - à 1,3 millions de d'employés du secteur du tourisme - à 1,2 millions de professionnels des métiers de bouche - aux professionnels du bâtiment, de la distribution, des services, de l'artisanat, de la communication, du conseil... 👉 Ils font en sorte que la France tourne, tous les jours de la semaine. Prenons-les en considération. 👉 Ils maillent le territoire, jusque dans nos plus petites communes. Nous irons à leur rencontre, directement et à travers les réseaux consulaires des CCI France et CMA France 👉 Ils sont concernés au premier chef par la transition environnementale, mais n'ont pas toujours les moyens de s'y consacrer. Nous les y aiderons. 👉 Ils doivent aussi prendre en marche le train de la numérisation, de l'IA. Il est pour eux une chance et ils peuvent contribuer à en diffuser les bienfaits partout dans le pays. Nous les accompagnerons. Auprès du Ministre et de ses Ministres délégués, la Direction Générale des Entreprises sera pour ces professionnels un point d'entrée et un partenaire. Nous sommes allés à leur rencontre à travers plus de 70 missions de terrain dans toute la France depuis le début de l'année. Et notre porte est toujours ouverte... 🏪 Thomas Courbe Christophe Strobel Olivier HUBAC Guillaume Decorzent Marie de Boissieu UNAPL christophe SANS CAPEB Jean Christophe Repon CGAD - Confédération Générale de l'Alimentation en Détail CNAMS UMIH GHR Catherine QUERARD Confédération des acteurs du tourisme (CAT) Marie Cheval Fédération des Acteurs du Commerce dans les Territoires (FACT) Fédésap Frank NATAF Fédération des entreprises de services à la personne (FESP) Brice Alzon Synerpa FRANCE LOGISTIQUE Anne-Marie Idrac CPME nationale FFB - Fédération Française du Bâtiment FEVAD Syntec-Ingénierie Syntec Conseil numeum La Filière Communication UNION Sport & Cycle
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Et la crise du logement on en parle : selon l’AFIL la crise actuelle entraîne la destruction de 10 000 emplois par mois et la faillite de nombreux acteurs de la chaîne de production de logements! La crise de la construction a entraîné la suppression de 25.000 emplois au premier trimestre 2024, selon la Fédération française du bâtiment (FFB), pour qui cette tendance va continuer à s'intensifier sur 2025 (...)
🔴 Des Landes à La Meuse, de l'Isère au Nord, la carte de France des 40 principaux sites industriels 🏭 aujourd'hui en danger ➡️ https://lnkd.in/dpptfkQV 📌 D'après une enquête de Les Echos, réalisée région par région avec le réseau des correspondants (à partir des redressements judiciaires, liquidations et plans sociaux déclarés depuis septembre impactant plus de 50 salariés) , tous les territoires sont concernés, soit plus de 7.500 salariés dans la tourmente. Les plus impactés sont les bastions industriels du Nord et de l'Est, et l'Ouest, pris par la déflagration Michelin. La région niçoise, moins industrielle, est plus épargnée. 📌 "On assiste à des fermetures de sites qu'on n'avait plus vues depuis quatre ou cinq ans" analyse Alain Petitjean, du GROUPE ALPHA. Stéphane HAUSSOULIER, président du Conseil départemental de la Somme, a pris sa plume pour alerter Antoine Armand, ministre de l'Economie sur la situation de son territoire où "1.500 emplois sont directement en danger" entre Ÿnsect ou l'usine Watts. Le Tribunal de commerce de Lille aussi constate cette hausse. ❌ Pour Sébastien Martin, à la tête du Grand Chalon et des Intercommunalités de France "ce qui me perturbe le plus, c'est le silence et l'apathie du gouvernement actuel sur la politique industrielle, on est en train de baisser la garde" prévient-il. #usines #industrie #social Dares - ministère du Travail Union Régionale Interprofessionnelle CFDT Auvergne Rhône-Alpes Sophie Binet
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🔴 Des Landes à La Meuse, de l'Isère au Nord, la carte de France des 40 principaux sites industriels 🏭 aujourd'hui en danger ➡️ https://lnkd.in/dpptfkQV 📌 D'après une enquête de Les Echos, réalisée région par région avec le réseau des correspondants (à partir des redressements judiciaires, liquidations et plans sociaux déclarés depuis septembre impactant plus de 50 salariés) , tous les territoires sont concernés, soit plus de 7.500 salariés dans la tourmente. Les plus impactés sont les bastions industriels du Nord et de l'Est, et l'Ouest, pris par la déflagration Michelin. La région niçoise, moins industrielle, est plus épargnée. 📌 "On assiste à des fermetures de sites qu'on n'avait plus vues depuis quatre ou cinq ans" analyse Alain Petitjean, du GROUPE ALPHA. Stéphane HAUSSOULIER, président du Conseil départemental de la Somme, a pris sa plume pour alerter Antoine Armand, ministre de l'Economie sur la situation de son territoire où "1.500 emplois sont directement en danger" entre Ÿnsect ou l'usine Watts. Le Tribunal de commerce de Lille aussi constate cette hausse. ❌ Pour Sébastien Martin, à la tête du Grand Chalon et des Intercommunalités de France "ce qui me perturbe le plus, c'est le silence et l'apathie du gouvernement actuel sur la politique industrielle, on est en train de baisser la garde" prévient-il. #usines #industrie #social Dares - ministère du Travail Union Régionale Interprofessionnelle CFDT Auvergne Rhône-Alpes Sophie Binet
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[Tiers demandeur] La reconversion des #friches industrielles permet de libérer du #foncier et d’aménager durablement les territoires. Mais elle apparaît aussi, parfois, comme un défi juridique pour les porteurs de projet. Encore peu utilisé, le dispositif du tiers demandeur, créé en 2014 et mis à jour dans la loi Industrie verte en 2023, vient pourtant fluidifier et sécuriser les relations entre vendeur et acquéreur. Retrouvez l’éclairage d’Eric HERVY dans l’article « Fluidifier la « manne » de la friche grâce au dispositif du tiers demandeur » paru dans PLATEFORMES - le magazine de l'immobilier logistique par Afilog – 17 juin 2024 https://lnkd.in/eEf6r68m #tiersdemandeur #frichesindustrielles #loiIndustrieverte
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Bon, on y est ! Des signaux faibles, que les organisations syndicales essayaient d’amplifier depuis des mois, à la situation à fin d’année 2024, nous voilà plongés dans la projection de ce que sera l’année prochaine pour l’industrie. Il ne fallait pas être grand clerc, mais à l’écoute de ces derniers, pour anticiper une année qui sera empreinte de grandes difficultés et donc préjudiciable pour l’emploi. Le ministre #MarcFerracci l’a bien compris, anticipant ces difficultés dans cet interview, manière de préparer l’opinion publique à ce qui se profile. J’entends l’annonce d’un futur : - « - clean industrial act - c’est-à-dire une législation 🇪🇺 sur l’industrie propre dans laquelle nous pourrons mettre en place un certain nombre de mesures. Mais j’attends aussi de voir de quoi il sera composé. L’🇪🇺 comme une des réponses mais le périmètre 🇫🇷 pour des mesures sociales d’accompagnement afin de tenter d’endiguer la déferlante. Problème : les caisses sont vides et les mesures prises dans le cadre du budget 2025, produiront un effet récessif évident sur l’éco. Il y a URGENCE à engager à tous les étages, État, branches, entreprises… un Dialogue social de « haute intensité » afin d’éviter que le pays ne bascule dans une crise sociale majeure. De la bonne volonté de tous.
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𝐏𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫 : 𝐮𝐧 𝐥𝐞𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐜𝐥𝐞́ 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 Hier, j’ai participé au webinaire organisé par la CCEF - Compagnie des Conseils et Experts Financiers sur la 𝐋𝐨𝐢 𝐝𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐕𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫, un sujet à la fois 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒 et 𝑒𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙 pour les entreprises. Bien qu’obligatoire pour certaines entreprises, cette loi est une opportunité pour 𝐯𝐚𝐥𝐨𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 les collaborateurs et 𝐟𝐞́𝐝𝐞́𝐫𝐞𝐫 les équipes autour du succès collectif, transformant ainsi une 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞 en une 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞 pour l’entreprise. En mettant en place des dispositifs comme 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟, 𝑙’𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑖𝑝𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, les entreprises peuvent renforcer la 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞, la 𝐜𝐨𝐡𝐞́𝐬𝐢𝐨𝐧 et l’𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 de leurs collaborateurs, tout en bénéficiant d’𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐬𝐜𝐚𝐮𝐱. Merci à Claire Appelghem, Sabine Pieters Schmidt et Delphine Poidatz-Kerjean pour leur présentation 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 et 𝑝𝑟𝑎𝑔𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒. Elles ont montré comment transformer cette loi en un véritable moteur de 𝑝𝑒𝑟𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑔𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙𝑒, et leurs conseils m’ont donné des 𝐢𝐝𝐞́𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐫𝐞̀𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭𝐬. #PartageDeLaValeur #Engagement #Motivation #Entreprises #EvalyExpertiseComptable #Interessement #Participation #PPV
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