Post de Ville de Colombes

😍 Demain, la première Grande Braderie des Jeux aura lieu à Saint Denis. https://lnkd.in/g5T4jBCx 🥇 C’est la première fois qu’un comité d’organisation organise des événements festifs et ouverts pour donner une seconde vie à des milliers d’objets qui ont fait les Jeux. 🏐 Utiliser le sport pour mettre plus de réemploi dans la vie des gens, faire de la seconde main une habitude, une joie et une fierté, c’était mon objectif en intégrant Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 Les Braderies viennent compléter le plus ambitieux programme de seconde vie jamais réalisé pour les Jeux : - un héritage fort au mouvement sportifs via le don de milliers d'équipements ; - Une équipe de France du Réemploi et de la Solidarité qui s'engage pour maximiser l'héritage et minimiser le gaspillage - une plateforme de seconde vie pour les professionnels :  https://lnkd.in/gEFN6dA4

🕵️ Savez-vous détecter les #biais dans cette #actualité ? 👇 • Il est possible que la promotion du relais olympique dans le Morbihan ait été influencée par des considérations politiques ou touristiques locales. • La présence de musiciens et de danseurs bretons peut être interprétée comme une tentative pour valoriser la culture régionale. • Les athlètes qui ont participé au relais peuvent être considérés comme des ambassadeurs de la Bretagne ou de la France. • La conférence de presse et la remise de présents aux relayeurs peuvent avoir été organisées pour générer de l'intérêt médiatique. • Il est possible que le Comité international olympique

Sportifs, engagés pour une société plus solidaire ou plus durable, porteurs d'initiatives innovantes, ils ont été choisis pour leur parcours de vie inspirants : ils sont nos éclaireurs et porteront la Flamme Olympique ou Paralympique de #Paris2024 en Normandie ! 🔥 Margaux BAILLEUL, quatorze fois championne de France, est présente en équipe de France d’aviron depuis ses 16 ans. Elle a rejoint l'INSEP et le Pôle France tout en continuant à ramer pour la Société Havraise d'Aviron.   Anne-Laure ASTIER-BERNARDIN, directrice des affaires sociales, rémunération et innovation RH à la Caisse d'Epargne Normandie, fait vivre ses valeurs personnelles et celles de son entreprise à travers la mise en place d’actions incitant les collaborateurs à se mobiliser et s’investir dans la solidarité et l’inclusion.   Jean Philippe DAULL, chef d'entreprise engagé dans la RSE et notamment l'inclusion et le sport, il dirige la société de nettoyage Candor. Sa politique RSE se traduit par l’inclusion de 9% de personnes en situation de handicap, l’insertion professionnelle de réfugiés en lien avec France Terre d'Asile, le soutien du para-athlète Alexis Hanquinquant. Il a fait entrer CANDOR au capital du Rouen Normandy Rugby et du restaurant inclusif "Le XXI" à Rouen qui emploie en majorité des personnes en situation de handicap. Président du MEDEF Eure, il a fait de la RSE une des priorités de son mandat.   Lucile Amblot, gestionnaire contentieux à la Caisse d’Epargne Normandie, pratique la course à pied depuis plusieurs années. Licenciée FFA depuis 2 ans, elle a couru son 1er Marathon de Paris en 2023 avec un chrono inférieur à 4h qu’elle compte bien améliorer en 2024 !   Anne Delahodde, volleyeuse, arbitre et entraîneuse, pratique le sport depuis toute petite. A 65 ans, elle est toujours aussi militante et entraîne toujours des jeunes dans son ancien club dans l’Eure...   Vincent BATAILLE, chargé d’affaires promotion construction aménagement, logement social et société d’économie mixte à la Caisse d’Epargne Normandie, est un véritable ambassadeur du Partenariat Premium que son entreprise a noué avec Paris 2024. Adepte de la course à pied, il est souvent aussi serre file ou bénévole à de nombreuses manifestations sportives.   Aline FRENOIS, psychologue de formation, a consacré sa carrière aux personnes en situation de handicap. Aujourd'hui Directrice générale de Sésame Autisme Normandie, elle œuvre en faveur de la bien traitance des personnes en situation de vulnérabilité et des majeurs protégés.   Charles Roquet, directeur du groupe Cotentin à la Caisse d’Epargne Normandie, est fier de promouvoir son territoire et notamment le département de la Manche, région de naissance et d'influence. C'est un grand supporter du sport manchois, notamment du club de handball de Cherbourg et de l’US Granville au football.

J’ai pris plaisir, comme bcp, à suivre ces JO, à me balader dans Paris pendant les jours où j’y suis resté… Mais j’avoue n’en plus pouvoir de ces déclamations lénifiantes, de ce pseudo-patriotisme estival, de cette « historicisation » outrancière de la fête, de ce lyrisme superficiel qui se donne des illusions de profondeur sentencieuse sur l’avenir, la grandeur, la solidarité ou la France. Ramener ces Jeux et cette parenthèse à leur juste (et belle) place n’empêche aucunement de se féliciter de cet événement, de célébrer organisateurs et athlètes, de célébrer la France et Paris (bien au contraire), mais sans en passer par cette « prostitution du cœur » racoleuse et cette outrance récupératrice (et quelque peu infantile) qui me semble bien caractéristique de notre époque. Je ne suis pas totalement idiot et j’ai bien compris que la récupération n’est pas qu’une phase sportive pour restructurer son organisme après l’effort… Et que sans effort, on peut aussi avoir beaucoup à récupérer… J’ai lu dans le Figaro que notre panier de médailles devait beaucoup au « quoi qu’il en coûte » du Chef de l’État, convoquant, en écho, l’échec cuisant des athlètes français lors des Jeux de Rome en 1960. Vive aujourd’hui, à bas hier donc ! Pour ma part, j’échangerais bien volontiers un baril de France Gaulliste (sa vision, son patriotisme industriel et culturel, sa lucidité, son influence internationale, ses finances publiques, sa haute administration…) contre deux barils de lessive marconiste (laquelle, à la façon du célèbre sketch de Coluche, consiste à faire des nœuds au linge avant le grand lessivage !). Faut-il rappeler que solidarité et grandeur s’éprouvent davantage dans l’épreuve que dans la festivité (qui n’est jamais qu’une récompense ; une finalité et non une causalité, sauf à en faire une fin en soi).

JO 2024. L’esprit olympique s’est dévoilé dans son meilleur rôle de fédérateur. Pensez donc, le pays du baron Pierre de Coubertin ose organiser un spectacle hors de prix pour nos finances exsangues et si éloigné de nos préoccupations sécuritaires, écologiques, sociales, économiques et politiques ! Et puis, la flamme a enflammé Marseille. Comme une évidence, et une mauvaise foi affichée, le vent contraire a beaucoup soufflé à l’approche du grand événement de nos Jeux olympiques 2024. Pensez donc, le pays du baron Pierre de Coubertin ose organiser un spectacle hors de prix pour nos finances exsangues et si éloigné de nos préoccupations sécuritaires, écologiques, sociales, économiques et politiques ! Et puis, la flamme a enflammé Marseille et l’esprit olympique s’est dévoilé dans son meilleur rôle de fédérateur, emmenant dans sa foulée toute une procession enthousiaste de supporters qu’on ne soupçonnait pas d’entretenir cet esprit olympique, de saine émulation, de fraternité et de paix. Et de ville en ville, cet enthousiasme n’a pas vacillé et les craintes n’ont pas été vérifiées. Pourvu que cela dure. Alors, nos braves girouettes du vent contraire se sont mises à tourner du bon côté de ce nouvel espoir de moments sportifs partagés et de combats fraternels à venir dans les diverses arènes. Il y aura bien sûr des vainqueurs et des vaincus. Ceux-là se relèveront sans dommage. Et, pour un temps, peut-être, on oubliera le sens du vent et des girouettes.

🏓🏈🏀🥋🏐🏊 Pour découvrir notre réflexion sur l’impact de l'héritage des Jeux Olympiques & Paralympiques de #PARIS2024 dans le développement de nos associations sportives, n'hésitez pas à consulter l'article ci-dessous ⬇️ 🥇🥈🥉

J’ai trouvé la parade olympique de samedi dernier festive, inspirée et pertinente. Pourquoi ? Parce que dans toute gestion d’effort à long terme, la célébration est vitale, mais négligée. Elle sert à souligner ce qui a été réalisé, à se réjouir de ce qui a marché, à remercier les contributeurs pour leur implication… Quel dommage que la majorité des entreprises n’y pensent pas. Elles enchaînent les projets à la vitesse d’un TGV, mais saluent rarement le boulot accompli. Résultat : de la démotivation, du désengagement, de l’épuisement, de la perte de sens. Faut-il s’en étonner ? Je me suis réjoui de voir les athlètes olympiques et paralympiques rassemblés dans une même cérémonie. J’ai été heureux des remises aux médaillés de la Légion d’honneur ou de l’Ordre national du mérite. Ce rituel a été exfiltré des salons feutrés de l’Élysée. On lui a trouvé pour cadre l’Arc de Triomphe, devant 70 000 spectateurs. Magnifique… J’ai trouvé juste qu’on valorise le rôle des forces de l’ordre, des milliers de bénévoles et des collaborateurs du Cojo. Ils ont œuvré dans l’ombre pendant ces Jeux. Il fallait les mettre en lumière. Bien gérer un effort ou un projet à long terme, c’est mener tour à tour quatre séquences : La préparation : pour ces JO de Paris, elle s’est étalée sur sept ans. L’exécution : elle a été conduite en deux temps forts de 15 jours dont le monde entier a salué la qualité. La célébration, commencée avec la cérémonie de clôture et bouclée avec cette parade olympique. La transmission : d’ici 2026, les effectifs du Cojo vont passer de 3000 salariés à 0. Et Tony Estanguet va sillonner la planète. Objectif, partager ses apprentissages avec les organisateurs des prochains Jeux : Milan (2026), Los Angeles (2028), Alpes françaises (2030) et Brisbane (2032). Vous qui managez des équipes, avez-vous le temps et les moyens de structurer votre action sur ce tempo ? En phase de préparation, vous avez besoin de projets ambitieux, d’objectifs précis, de valeurs claires, de collaborateurs motivés… Tout ça ne va pas de soi. Repensez à l’indifférence et au scepticisme que les Français affichaient vis-à-vis des Jeux début 2024. Il a fallu ramer à contre-courant. En phase d’exécution, vos équipes veulent de la présence et du soutien sur leurs tâches quotidiennes. Pas de la pression sur les résultats, genre : « tu n’as pas droit à l’erreur ! ». La phase de célébration, je l’ai dit, fait cruellement défaut. Instaurez-là après chaque grand projet, chaque objectif, chaque jalon atteint. Remerciez : c’est si simple. Pas besoin d’Arc de Triomphe et de direct télévisé : quand on part de rien, un simple événement interne marque les esprits. Enfin, pensez transmission ! Les entreprises courent beaucoup, mais capitalisent peu. Alors que l’exploitation méthodique de leur expérience est un trésor à portée de main.

Une bonne action à Grenoble

🤔 Selon vous, que représente la Flamme Olympique des JO ? Dans l'Antiquité, les Grecs attribuaient au feu une origine divine et maintenaient une flamme constamment allumée devant les principaux temples, telle que celle du sanctuaire d'Olympie. Mais qu’elle est le rapport entre cette flamme et les JO modernes ? La réponse en images 👇 Découvrez nos conférenciers et conférencières sportives en consultant notre annuaire 👉 https://lnkd.in/eBZqZDDF #JO #JO2024 #sportif #conférencières #flammeolympique #histoire #sportivesdehautniveau #conférence #simoneetnelson ------------ N'hésitez pas à demander notre Livre Blanc en commentaire si vous souhaitez connaître les thématiques de conférences incontournables de l'année 2024 👇 ✨

🔥La préparation du passage de la flamme olympique en France, c'est le 22 mars dans l'Aube. Une organisation colossale se prépare, présentée ce jour par la Préfecture de l'Aube et la préfète Cécile Dindar, en compagnie de la sous préfète dédiée à la sécurité des JO, et des élus locaux et acteurs de la sécurité. Mon article pour Le Parisien #Troyes #Aube #Paris2024