Alors que nous célébrons les 100 ans de la Société Internationale d’Arboriculture, une question s’impose: A quoi ressemblera les 100 prochaines années? C’est à notre tour de laisser notre marque et de mouler l’industrie arboricole aux défis et objectifs de nos communautés. C’est donc un moment de célébration, mais surtout, un moment de réflexion.
Post de Vincent Gendron Rossignol
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On est bien dans l'hypocrisie la plus totale, et la manipulation, un semblant d'ouverture dans la presse pour ne pas abimer leur image dans la population bretonne, et gagner du temps, car l'intégrité de la Bretagne est un sujet ultra sensible... Il n'y a pas de question de "territoire", la Bretagne c'est la Bretagne, point, personne ne nous exclura de la Bretagne, personne ne nous empêchera d'afficher librement notre identité, sur les bouteilles de nos vins ou ailleurs !!! On sait que ces néo-vignerons de la région administrative ne sont pas du tout à l'origine du projet IGP Vins de Bretagne, ce projet a été imaginé en Bretagne nantaise en 2010 et rendu public en 2014 (Le Point), très très très longtemps avec que ces gens n'envisagent une reconversion dans la vigne... Dans un premier temps ils étaient farouchement opposés à un projet IGP Bretagne... pourquoi un revirement aussi soudain ? Uniquement pour contrer le projet nantais, bien évidemment ! Au lieu d'adhérer au Syndicat des Vignerons de Bretagne, qui travaille sur les 5 départements bretons, et qui porte ce beau projet, ils ont préféré court-circuiter les créateurs et porteurs du projet IGP en créant en catimini une autre structure, il s'agit bien d'une forme d'usurpation moralement lamentable... Honte de rien, ils se présentent comme les initiateurs du projet, c'est bien ce que les articles de presse sous-entendent. L'intention est bien d'exclure les vignerons nantais, on le sait par le courrier agressif et surréaliste qu'ils ont adressé aux membres fondateurs du Syndicat des Vignerons de Bretagne, ils veulent en effet faire interdire l'usage du mot "Bretagne" en Bretagne nantaise (Loire-Atlantique), et de nos symboles traditionnels : l'hermine, le triskell, le drapeau breton... tous les "éléments évocateurs de la Bretagne" comme écrit dans ce courrier minable. La polémique ne fait que commencer, ils devront s'expliquer sur leur méthodes douteuses et leurs véritables intentions. On est bien dans une opposition Bretons amoureux de la Bretagne vs. Bretons et néo-Bretons qui s'en contrefichent...
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Il est rassurant de constater que de très nombreux participants considèrent qu’il est indispensable de protéger ces productions emblématiques d’un pays ou d’un Terroir. Elles sont le reflet d’une culture très identitaire. Le respect mutuel de ces productions s’impose naturellement pour le plus grand nombre. Mais restons lucide nous sommes encore loin de l’unanimité et pour certain l’usurpation fait parti d’une stratégie de développement assumée.
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📢 Pour les vignerons qui ne l'ont pas encore essayé... 😮 Voici enfin une solution intéressante pour faire de véritables économies en conservant plus longtemps ses barriques tout en améliorant sensiblement la qualité de son parc : Testez la solution 💥ultrasons💥 de DYOGENA, vous n'en reviendrez pas! Pour des barriques + saines + longtemps avec + d'arômes, + écologique +++ Comment ça fonctionne? 👉ici en 2 mots sur la vidéo Merci à nos clients pour leur confiance, et particulièrement au Chateau de Carles avec la vidéo d'Oriane Sallé de Chou & Yannick Reyrel. Des questions? Contactez moi! 😉 #innovationutile #vins
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Ardelaine dans Des Racines et des Ailes : quand la laine tisse l’avenir de nos territoires 🌱 La Scop ARDELAINE est bien plus qu’une entreprise textile. C’est une aventure humaine, un projet coopératif ancré dans son territoire ardéchois, où la valorisation des savoir-faire locaux s’allie à une démarche résolument durable. ♻️🐑 Dans l’émission Des Racines et des Ailes (à partir de 21:20), plongez au cœur de cette entreprise exemplaire : 👉 Comment une ancienne filature abandonnée a été réhabilitée pour devenir un modèle de résilience économique et de coopération. 👉 Comment la #laine, ressource locale et naturelle, est travaillée et mises en valeur grâce à des méthodes transmises de génération en génération au sein de la coopérative. 👉 Comment Ardelaine incarne un véritable projet de territoire, associant économie, patrimoine et écologie. 🎥 Retrouvez le reportage ici : https://lnkd.in/eNn8ZadW Un bel exemple de ce que peuvent accomplir les coopératives pour revitaliser nos territoires tout en réinventant l’industrie textile. 🌱🤝 #IndustrieCoopérative #Ardelaine #TextileResponsable #IndustrieLocale #SavoirFaire #MadeInFrance Les Scop et Scic Auvergne-Rhône-Alpes
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Fawze Sannier gère une poissonnerie à Chantilly avec son épouse, l'Hippocampe, depuis 2017. Fawze a appris son métier au CFA de Rungis. Il est un des lauréats 2023 du concours Meilleur Ouvrier de France. Au cours de sa formation, Fawze a été marqué par les interventions d’Ethic Ocean : « J’ai aimé la démarche d’Ethic Ocean qui ne jugeait pas les professionnels, mais apportait des solutions. La grande majorité de mes camarades ont été sensibles à ces interventions, nous en parlions plusieurs semaines après. Les messages d’Ethic Ocean sont restés gravés en moi tout au long de mon parcours professionnel ; j’essaie de les appliquer au mieux et de les transmettre à mes collaborateurs ». Concernant l’avenir de la filière, Fawze veut rester optimiste : la durabilité, l’écologie et le respect de l’environnement prennent de plus en plus de place, notamment auprès de la nouvelle génération de poissonniers. « Nous sommes à un tournant dans la façon de travailler et dans la vision de la filière. Les ressources de la mer ne sont pas infinies, pour qu’elles perdurent, les professionnels vont devoir faire des choix qui vont dans le sens de la durabilité ». « Nous sélectionnons nos produits en faisant attention à l’état des stocks, à la taille des animaux pour qu’ils aient eu le temps de se reproduire : par exemple nous refusons de commercialiser l’anguille, ainsi que le bar en période de reproduction. » Fawze souhaite également sensibiliser sa clientèle sur ces enjeux. « C’est à nous de faire ce travail de conseil et de sensibilisation, nous sommes d’une certaine façon des ambassadeurs de la durabilité. J’ai la chance d’avoir une clientèle réceptive : nous expliquons à nos clients nos choix, la raison de la présence ou de l’absence de certaines espèces. Certains d’entre eux sont touchés par notre démarche. » « Nous travaillons des ressources vivantes, on se doit de les respecter. » Retrouvez le témoignage complet de Fawze dans l'édition 2024 du Guide des espèces. Pour le commander => https://lnkd.in/dGPHZYP #poissonnier #produitsdelamer #durabilité Photo Yannick BILLIOUX
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Pour la fête des mères, offrez lui des (parcelles de) fleurs 💐 85% des fleurs en France proviennent de l’étranger. Paul Rodrigues, alumni de l’EDHEC Business School et fondateur de Hectarea.io s’attaque aujourd’hui à ce drame écologique💥 #Hectarea est une startup visant à démocratiser l’investissement 💵 dans le foncier agricole grâce à une plateforme connectant particuliers et agriculteurs. Cette année #Hectarea propose d’investir dans la parcelle d’Anthony, floriculteur dans le Var, qui s’est lancé dans la production éco-responsable de pivoines. Leur objectif est de l’aider à développer son exploitation et à répondre à la forte demande florale 🚀 Et si on plaçait la fête des mères sous le signe de la pivoine ? 🌸
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Et si l’avenir du Gros Plant était la folle blanche ? C’est la question que l’on se pose ce mois-ci dans notre grand format. Petit frère du Muscadet, le Gros Plant du Pays Nantais est le plus océanique des Vins de Nantes. Malgré sa vivacité, sa fraîcheur et sa légèreté, l’appellation voit ses surfaces diminuer depuis quelques années. A l’inverse, son cépage principal, la folle blanche, connaît quant à lui un regain d’intérêt de la part des vignerons, notamment pour son adaptation au changement climatique et pour son nom plus glamour que celui de l'AOC… Pour en savoir plus, c’est ici ⬇
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Vous connaissez sûrement l’histoire de la Sardine qui a bouché le port de Marseille. Chez COLAS, nous avons aussi notre sardine : une fissure qui va de Paris à la cité phocéenne ! Il y a 20 ans, Colas imagine #Vegecol : un enrobé clair à base de liant végétal. Les premiers tests sont très encourageants. Mais en situation, des fissures sont apparues au bout de quelques mois sur plusieurs réalisations. On en parle encore, comme la Sardine ! Et pourtant, en 20 ans, tout a changé sauf notre vision. On peut désormais affirmer que ce problème est derrière nous ! Nos équipes n’ont pas abandonné. Elles ont multiplié les formulations, élaboré des dizaines de tests, avec une seule obsession : répondre aux exigences de durabilité. Parce que ce produit, qui permet de réduire considérablement l’impact carbone des infrastructures routières, nous y croyions bien avant tout le monde. Et en plus, il est beau ! En 2024, Vegecol a été notre star. Si vous étiez au Salon des Maires et des Collectivités qui vient de fermer ses portes, non seulement, vous nous avez vu partout, mais surtout vous êtes venu nous en parler. Parce que nous répondons concrètement à vos enjeux d’aménagements urbains. Alors chaque fois que vous choisirez l’enrobé Vegecol, vous vous souviendrez que derrière, nos équipes ont résolu un défi de taille, réunir les quelques millimètres entre Paris et Marseille. 😉 Et ça, ce n’était pas gagné !
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Avez-vous déjà pensé à intégrer les races patrimoniales dans vos projets professionnels ? Chèvres, ânes, moutons, abeilles, chevaux... Ils sont nombreux à pouvoir apporter des services à la fois écologiques et adaptés à vos besoins. C'est un moyen de valoriser et préserver des races menacées ainsi que d'encourager leur élevage. Ce week-end a lieu un bel exemple à la Foire Sainte-Croix de Lessay. A l'initiative de la Mairie, Les Traits Verts Clinchampois et ses beaux Cobs Normands assurent la collecte des déchets en attelage pour le plaisir des petits et grands. Applicable pour tous les types d'événements et dans les communes, l'usage des équidés de travail est une démarche créatrice de valeurs ajoutés et pleine de sens. Et vous, quel animal normand pourriez-vous intégrer à vos projets ?
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🌲 Saviez-vous que? 🌲 Une nouvelle entente entre la Ville de Mirabel et l’entreprise Arbressence permet désormais aux résidents de bénéficier d’un service de collecte GRATUIT de leurs retailles de cèdre à domicile! 🎉 Cette initiative vise à optimiser la gestion des matières organiques dans notre ville. Non seulement elle a un impact environnemental positif, mais elle soutient également l’économie circulaire. En collaborant avec Arbressence, une entreprise québécoise, Mirabel encourage la réutilisation des ressources. Arbressence transforme ces retailles en produits utiles tels que du paillis de cèdre et des huiles essentielles, contribuant ainsi à la durabilité et à la préservation de notre environnement! 🌿 Pour planifier une collecte de vos retailles de cèdre, visitez le site Web d’Arbressence: https://arbressence.ca/ 📩 r.therrien@mirabel.ca
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