McKinsey France

📅 Plus qu’un jour pour postuler à notre Social Mobility Afterwork !   Vous êtes étudiant ou jeune professionnel, et le premier ou la première de votre famille à être diplômé(e) d'études supérieures ? Participez à notre événement de networking "Social Mobility Afterwork", organisé le 5 novembre prochain à Paris par l’initiative interne First Generation🌟   Celle-ci vise à promouvoir, au sein du cabinet, un environnement privilégié pour recruter, accueillir, fidéliser et faire progresser les talents, quel que soit leur milieu social d’origine.   Découvrez à cette occasion le témoignage inspirant de Baptiste Maura, consultant junior chez McKinsey France depuis près d’un an, qui partage son expérience en tant que First Generation.   Pour vous inscrire jusqu’à demain ➡️ https://lnkd.in/gwvafgHP   #DiversityAndInclusion #FirstGeneration #Networking #SocialMobility

[Diversité & Inclusion] À l'occasion des #InclusionDays2024 organisés par le réseau CulturALL France de BNP Paribas, Thierry DJEUMO TCHOLAGHEU, chef de projets et responsable de l’initiative McKinsey Black Network France, a participé à une table ronde intitulée "Les réseaux peuvent-ils renforcer l'intégration multiculturelle dans les entreprises ?".   Aux côtés de Hakim El Karoui (Club 21e Siècle) et Stéfen BOMPAIS (Carrefour), il a partagé ses perspectives sur les bonnes pratiques et les actions à mettre en place pour promouvoir une culture d’entreprise plus inclusive 🤝   Il a également abordé l'importance d’initiatives telles que le Baromètre de la diversité, mené conjointement avec le Club 21e Siècle, dont la seconde édition vient d’être publiée. Celui-ci a pour vocation d’évaluer la diversité socio-culturelle des instances dirigeantes de grandes entreprises françaises autour de deux axes, la diversité d’origine et la diversité socio-économique, et de recenser les bonnes pratiques pour progresser sur ces dimensions 📈   Un grand merci à Audrey AWADE pour la modération de cette discussion et à Mimi Touré, Salif KENEME, Sandrine Adjanohoun et Ines Vangu pour l’organisation ! 👏   #Diversité #Inclusion

Vous êtes étudiant(e), jeune diplômé(e) d’une école d’ingénieur ou de commerce, ou vous disposez d’une expérience professionnelle de moins de 8 ans ? Les métiers du conseil vous intéressent et vous avez un attrait particulier pour le continent africain ? Participez à la nouvelle édition de notre événement African Leaders on the Move, organisée le 23 novembre prochain au sein de notre bureau parisien. Vous aurez l’occasion d’en apprendre plus sur McKinsey Africa, d’échanger avec nos directeurs et directrices associé(e)s et nos consultant(e)s, et de découvrir nos opportunités de carrières. Postulez avant le 8 novembre 2024 ➡️https://mck.co/3XyiIS0 #McKAfrica #McKCareers #AfricanLeadersOnTheMove

[Services Financiers] 2023 ressort comme une année particulièrement prospère pour le secteur bancaire mondial. Les deux dernières années ont même été les meilleures en termes de rentabilité depuis plus de 10 ans. Alors pourquoi les valorisations boursières des banques se classent-elles en dernier parmi tous les secteurs sur la base du ratio cours/valeur comptable ?   Dans une interview accordée à Les Echos, Sébastien LACROIX, Directeur associé senior, examine de plus près le paradoxe qui s’accentue entre la capacité du secteur à créer de la valeur à long terme et le scepticisme des marchés, notamment en Europe.   ➡️ Les banques ont généré un revenu net de 1 150 Mds$, soit une hausse de 8 % par rapport à 2022. Parmi l’ensemble des industries, le secteur bancaire est de loin le plus créateur de valeur, devant l'énergie (663 Mds$), l'industrie (618 Mds$) et les Technologies & Telecoms (597 Mds$).   ➡️Pourtant, le ratio de cours boursier / valeur comptable (« price to book ») s’est nettement dégradé sur les 15 dernières années et se situe désormais à 0,9 globalement. La « décote » que les marchés appliquent aux banques par rapport à la moyenne des autres secteurs est passée de -30% en 2003 à -68% en 2023. Les banques européennes, avec un ratio moyen de 0,7, sont particulièrement affectées.   ➡️Les investisseurs ne semblent pas valoriser à leur juste mesure plusieurs facteurs de confiance déterminants qu’offrent les banques françaises : leur solidité et leur résilience, mais aussi les domaines dans lesquels elles font figure de références mondiales.   Pour accéder à l’article : https://lnkd.in/edBAqC_J   Pour lire notre rapport Global Banking Annual Review (GBAR) 2024 : https://lnkd.in/e_jc2R9   #Banque #ServicesFinanciers #Finance

[Diversité & Inclusion] Alors que s’ouvre aujourd’hui l’édition 2024 du Women's Forum for the Economy & Society, visant à renforcer la représentativité des femmes et une plus grande mixité hommes-femmes dans tous les organes de pouvoir de la société, Les Echos dévoile les résultats de notre rapport anniversaire Women in the workplace, que nous menons avec LeanIn chaque année depuis 10 ans.   Au cours des dix dernières années, la représentation des femmes a augmenté à tous les niveaux hiérarchiques, surtout chez les cadres supérieurs dont  29 % d'entre elles sont parvenues à des postes de direction en 2024 contre 17 % en 2015. Cependant, ces avancées restent fragiles. Nous estimons ainsi qu’il faudrait environ cinquante ans pour atteindre l'égalité des sexes.   ✅ Les hommes demeurent toujours plus représentés que les femmes, à tous les niveaux de l'entreprise. Ces dernières restent moins susceptibles d'être embauchées à des postes juniors, ce qui fait qu'elles sont sous-représentées dès le départ. ✅ Les femmes ont beaucoup moins de chances que les hommes d'obtenir leur toute première promotion à un poste d'encadrement. Pour 100 hommes promus au poste de manager, seulement 81 femmes le sont, une donnée à peine meilleure qu'en 2018. ✅ La culture d'entreprise demeure un frein important. Les femmes sont souvent confrontées à des biais de comportements et subissent de nombreuses micro-agressions au quotidien, recevant bien plus de commentaires sur leurs compétences et leur niveau de séniorité, par exemple.   Retrouvez, dans Les Echos l’analyse de Sandra Sancier-Sultan sur ce sujet, ainsi que les leviers que nous identifions pour accélérer sur la voie de la diversité femmes-hommes et de l’inclusion ➡️ https://lnkd.in/eB3DrYxe #Diversite #Inclusion #Parite #Plafonddeverre

La semaine dernière, l’ensemble des collaborateurs de McKinsey France ont dédié une journée au service de la société lors de notre traditionnel Day of Service.   Nous avons collectivement célébré nos engagements locaux et internationaux en faveur de l’intérêt général pour un monde plus inclusif et durable, et réfléchi à des pistes d’action concrètes pour un impact durable de notre cabinet au quotidien :  1️⃣ En 2023, plus de 320 000 heures ont été dédiées à la responsabilité sociale à l’échelle mondiale  2️⃣ Depuis 2020, notre cabinet a contribué à hauteur d’1 Md$ en dons et actions concrètes en faveur de la responsabilité sociale, avec un objectif d’atteindre les 2 Md$ d’ici 2030 3️⃣ Nos initiatives internes en France permettent de nous faire progresser vers nos objectifs de durabilité et d’inclusivité : Equal sensibilise nos collaborateurs aux enjeux d’équité, de diversité et d’inclusion des membres de la communauté LGBTQ+ ; le McKinsey Black Network fait bénéficier les talents issus de la diversité d’origine d’un environnement hors pair pour se développer ; la Green Team sensibilise nos collaborateurs aux enjeux climatiques ; et la Women Initiative soutient en interne le développement du leadership au féminin.   Chacun d’entre nous a pu, lors de cette journée, prendre part à une activité d’utilité sociale ou être sensibilisé à un grand thème sociétal : 🌳 Une sensibilisation aux causes et conséquences du changement climatique, à travers l’animation de plusieurs ateliers La Fresque du Climat  🤝 Une rencontre avec plusieurs associations que nous soutenons activement : Generation, Les Ombres et NQT Association 🌱 La visite de notre Demo Center dédié à l'agriculture régénératrice et à la sensibilisation au thème de la décarbonation du secteur, hébergé sur la Ferme Hectar ⛑️ Une formation aux premiers secours avec la Protection Civile Paris Seine 💪 L’animation d’ateliers de coaching avec des membres de Generation ⭐ L’accueil et l’accompagnement de plus de vingt jeunes des associations Les Ombres et NQT Association pour des ateliers de coaching professionnel   Nous sommes extrêmement fiers de toutes ces actions et remercions tous nos collaborateurs pour leur engagement exceptionnel lors du Day of Service et tout au long de l’année 🙌🙏   #DayofService #Inclusion

🚀 [Industrie & Technologie] La place de l'Europe dans l'industrie pétrochimique mondiale   Valerio Dilda, Directeur Associé Senior chez McKinsey et co-leader de notre pôle Opérations en France, a présenté les défis et opportunités du secteur pétrochimique européen et animé une table ronde lors de l'EPCA.   1 - L’industrie chimique a historiquement surperformé par rapport aux autres secteurs industriels représentés par l'indice MSCI mondial, avec des retours sur investissement allant de 80% à 60% au-dessus des autres marchés sur 20 ans, bien qu'elle ait sous-performé ces 4 dernières années. 2 - L'industrie chimique européenne, ayant été significativement affectée, a observé une réduction de sa part de marché mondiale de 25% à 15%. Toutefois, en 2023, elle a retrouvé sa stature d'exportateur net et bénéficie par ailleurs d'un avantage significatif en termes d'émissions par rapport à la Chine et au Moyen-Orient (MEA). 3 - Le secteur est confronté à de multiples défis : contraction de la demande de 10-25% dans la chaîne de valeur, coûts accrus du CO2, régionalisation des chaînes d'approvisionnement et coûts énergétiques élevés affectant la compétitivité. 4 - Quatre pistes d'actions peuvent être envisagées par les acteurs du secteur pour prospérer dans cet environnement volatile : ➡️ Réinitialisation stratégique de la chaîne d'approvisionnement : Repenser les architectures en logique éco-systemique pour renforcer la segmentation et les niveaux de service, tout en augmentant l'automatisation et le niveau structurel de résilience aux chocs potentiels. ➡️Amélioration de la performance de planification et de livraison : Utiliser la technologie pour améliorer l'anticipation des chocs offre/demande, la rapidité de réaction, la synchronisation entre fonctions et l'optimisation de la prise de décision. ➡️ Mobilisation d'une main-d'œuvre diverse : Développer et retenir les meilleurs talents pour se différencier sur la performance et faire de la chaîne d'approvisionnement le "cerveau" de l'optimisation des marges. ➡️ Décarbonation comme levier de différenciation : Utiliser stratégiquement la décarbonation, soutenue par des collaborations écosystémiques et un agenda économique et environnemental cohérent au niveau européen.   Pour voir la session complète🎥: https://lnkd.in/eqjZVyk9 #EPCA58 #LeadershipIndustriel #InnovationChimique

[Industrie & Technologie] La transition vers les véhicules électrique est bien engagée. Alors qu’ils ne représentaient qu’1 % des ventes en Europe en 2019, ils en représentent 16 % en 2023. Même si les ventes ont chuté au premier semestre 2024, près de 4 automobilistes européens sur 10 déclarent que leur prochaine voiture sera probablement électrique. A l’occasion du Mondial de l’Auto - Paris qui se poursuit ce week-end, McKinsey publie une étude sur la contribution de l’essor des véhicules électriques pour l'économie européenne. L’industrie automobile est un bastion de l'économie européenne depuis des décennies. En 2023, elle a contribué à hauteur de 1 900 milliards de dollars en valeur ajoutée brute (VAB) à l’économie européenne, soit 8 % de son PIB. Or, cette industrie est aujourd'hui confrontée à des perturbations liées à la mobilité électrique. Les chaînes de valeur évoluent pour s’adapter aux différences de conception et de fabrication des véhicules électriques, ces dernières intégrant une part de 40 à 50 % de composants automobiles non traditionnels (tels que des batteries et des semi-conducteurs). Les constructeurs automobiles historiques sont par ailleurs confrontés à une concurrence de plus en plus intense de la part de nouveaux acteurs qui ont déjà conquis 55 % du marché mondial des véhicules électriques. Pour comprendre comment la croissance des ventes de véhicules électriques pourrait affecter l'industrie automobile et l'économie européennes, nous avons quantifié la valeur ajoutée brute (VAB) liée au passage à l'électrique en 2035. Si les leaders européens du secteur automobile ne parviennent pas à tirer parti des avantages de l’électrification, plus de 400 milliards de dollars de valeur ajoutée brute en amont, soit environ 35 % du total, pourraient être menacés en Europe. Cependant, s’ils gèrent bien la transition, la mobilité électrique pourrait générer environ 300 milliards de dollars de valeur ajoutée pour l’économie européenne, avec des effets multiplicateurs sur les industries adjacentes. Retrouvez les enseignements de notre dernière étude sur la contribution de l’essor des véhicules électriques pour l'économie européenne, co-signée par Guillaume de Dampierre et David Labourier ➡️ https://lnkd.in/eUKnBtrS #IndustrieAutomobile #Mobilite #Electrification

[Diversité & inclusion] Comment les grands groupes français se positionnent-ils en matière de diversité d’origine et de diversité socioéconomique ? C’est à cette question que s’attache à répondre la seconde édition du Baromètre de la diversité socioculturelle des instances dirigeantes de grandes entreprises françaises ou de filiales françaises de groupes étrangers, que nous avons mené conjointement avec le Club 21e Siècle. Ce baromètre analyse la diversité de 940 cadres dirigeants (niveau Comex et Comex-1) sous trois prismes : la nationalité d’origine des répondants et de leurs ascendants, la diversité socioéconomique et la perception de la diversité. Parmi les principaux enseignements : ✅46 % des dirigeants (y compris binationaux) sont d’une nationalité autre que française. Parmi ceux-ci, si l'on exclut les binationaux, 19 % sont originaires d’un pays de l’UE étendue, 9 % d’un pays d’Amérique du Nord, et 9 % du reste du monde. Aucun n’affiche de nationalité maghrébine ou d’un autre pays d’Afrique. ✅ 32 % des cadres français de l’échantillon ont une ascendance étrangère, un résultat en ligne avec la population française dont 30 % est issue de l’immigration. Or, si 58 % des cadres dirigeants issus de l’immigration ont leurs racines en Europe (49 % dans l’ensemble de la population), ce chiffre tombe à 14 % pour le Maghreb (29 % dans la population) et à 6 % en Afrique hors Maghreb (9 % dans la population). ✅L’origine socioprofessionnelle des cadres dirigeants français est beaucoup moins diversifiée que celle des « internationaux » : les premiers sont à 63 % issus de familles CSP + contre 45 % pour les seconds. L’écart est particulièrement flagrant concernant les familles d’ouvriers : 11 % des cadres dirigeants internationaux en sont issus contre 4 % seulement pour les dirigeants français, et cela au sein d’une même entreprise. ✅En France, 85 % des cadres dirigeants ont un niveau d’études égal ou supérieur au Master, contre 63 % pour les internationaux. Dans leur cas, l’expérience professionnelle semble donc plus aisément prise en compte que pour leurs homologues de nationalité française. Retrouvez, dans Challenges, l’analyse de ces tendances par Sandra Sancier-Sultan, Directrice associée senior➡️ https ://https://lnkd.in/e6txH7N7 #Diversite #Inclusion

⚡[Industrie & Technologie] Bien que mieux logée que certains de ses voisins européens, la France connaît actuellement une dépendance énergétique vis-à-vis des énergies fossiles, et notamment du pétrole et du gaz, qui représentent environ 67 % des besoins en énergie primaire pour répondre à la consommation domestique.   Alors que le pays accélère son virage vers les énergies renouvelables, bio et bas-carbone, au profit d’une électrification croissante (environ 30 % de la consommation finale en 2035), d’autres dépendances sont en passe d’émerger. Elles sont relatives aux équipements, comme les panneaux solaires, ainsi qu’aux nouvelles matières premières nécessaires associées aux batteries.   Cette dépendance a un impact non négligeable sur la balance commerciale hexagonale : le pays comptabilise environ 70 milliards d’euros de déficit net sur sa balance énergétique, ce qui représente 2,4 % du PIB en 2023. Dans ce contexte, quels sont les leviers et les choix énergétiques dont disposent la France pour atteindre une souveraineté économique durable et bas-carbone ?   C’est la question que soulevée par Xavier Veillard, Hugues Lavandier, Clothilde Pernet-Brunet, Paul Ribera et Maxime Maingreaud dans notre récent article « Assurer la transition du système énergétique français vers un modèle souverain, durable et bas-carbone », disponible ci-dessous ⬇️    #TransitionEnergetique #Energie #Electricite #SouveraineteEnergetique