Le dimanche 7 juillet rimait avec grand changement pour les voitures neuves. Ces dernières adoptent désormais un ensemble de nouveaux éléments destinés à fliquer les conducteurs, dont le but serait d'améliorer la sécurité routière.
Ce changement de règles se fait dans le cadre de l'adoption d'une règlementation nommée GSR2 (General Safety Regulation 2). Un moyen de mieux surveiller les conducteurs grâce à une flopée de nouvelles technologies.
Cela concerne notamment une alerte de survitesse, pour gêner voire empêcher un conducteur dépassant la limitation de vitesse. Mais aussi une boîte noire pour enregistrer les données en cas d'accident. Un moyen de mieux comprendre les accidents de la route. Les autres équipements plus intrusifs que jamais pour assister (voire prendre le contrôle) de la conduite sont nombreux. Voici ces derniers :
Les conducteurs n'appréciant pas les éléments pourront toutefois désactiver ces assistances à la conduite. Cependant, ces derniers étant des éléments de sécurité, ils seront réactivés à chaque nouveau démarrage. Il faudra donc les désactiver, pour ceux qui le souhaitent, à chaque trajet.
Un élément ne sera, en revanche, pas désactivable. Il s'agira du surcoût à l'achat, imposé par la mise en place de tous ces éléments. Ce dernier reste difficile à chiffrer, car dépendant de chacun des véhicules. Les constructeurs restent d'ailleurs discrets sur ce sujet.
En attendant, en 2018, un document de travail du Clepa (association européenne des fournisseurs automobiles) estimait une hausse de 500 euros par véhicule avec l'arrivée obligatoire de tous ces nouveaux éléments. Alors que les prix des voitures neuves ont déjà explosé, leur achat ne sera pas rendu plus facile à l'avenir.
Le dimanche 7 juillet rimait avec grand changement pour les voitures neuves. Ces dernières adoptent désormais un ensemble de nouveaux éléments destinés à fliquer les conducteurs, dont le but serait d'améliorer la sécurité routière.
