Les négociations sont en cours entre les groupes automobiles et la Commission européenne. Et l'issue pourrait s'avérer favorable pour les géants BMW et Volkswagen.
Si la Commission européenne a décidé de relever ce 5 juillet les droits de douane sur les voitures électriques venues de Chine, les groupes automobiles ont un peu moins de quatre mois pour convaincre les autorités de ne pas appliquer la sentence décrétée à date. Aux 11 % appliqués avant le changement, il faut désormais ajouter pour les marques incriminées de 17,4 % à 37,6 %. Des taux qui ont été déterminés en tenant compte des informations rassemblées par l'UE, un constructeur peu coopérant se voyant pénalisé par un montant élevé. Techniquement, les groupes BMW et Volkswagen étaient de ceux-là et de sanctionnés par des droits de douane s'élevant à 37,6 %, le maximum. Pourtant, les négociations avanceraient apparemment plutôt positivement selon l'agence de presse Reuters.
D'après les informations, les discussions allant bon train, il aurait été décidé de les faire passer pour des marques coopérantes. En conséquence de quoi les droits de douane seraient abaissés à un bien plus raisonnable 20,8 %.
Une autre raison à cela, la toute dernière Mini Cooper 100 % électrique ainsi que le Cupra Tavascan, tous deux assemblés dans l'Empire du milieu, n'auraient pas fait partie du panel de véhicules passés au crible par les membres de la Commission. De quoi les pénaliser alors que les marques avaient certainement des arguments à faire valoir dans le dossier. Une telle décision aurait un impact forcément positif pour la Mini notamment, déjà privée de bonus écologique.
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Les négociations sont en cours entre les groupes automobiles et la Commission européenne. Et l'issue pourrait s'avérer favorable pour les géants BMW et Volkswagen.
