C’est un pays où plus de 40 % de la population adulte est obèse, et où les maladies liées à l’alimentation « sont la principale cause d’invalidité ». Un pays où l’étiquetage désignant les produits dits « sains » n’avait pas évolué depuis trente ans. Autant dire que les annonces faites aux États-Unis le 19 décembre par la Food and Drug Administration (FDA), l’agence nationale chargée de la surveillance de l’alimentation et des médicaments, peuvent être considérées comme un petit événement ou comme une goutte d’eau dans un océan, au regard des défis que pose le système alimentaire américain.
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