Mohammad Al Najjar attrape des débris de parpaing sur les ruines d’une demeure jadis familière : « C’était ma maison. Ma maison », répète-t-il, abasourdi, comme pour se convaincre que la bâtisse a un jour existé. Autour de lui, des silhouettes errent d’un amas de gravats à l’autre, pour mesurer l’immensité des dégâts et reprendre pied, depuis le retrait de l’armée israélienne.
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