Attendre devant l’hôpital, et se faire tirer dessus. Des dizaines d’Haïtiens sont prêts chaque jour à risquer leur vie pour se faire soigner, dans un pays aux mains des gangs. Les pires urgences doivent attendre. « Des blessés par balle mettent parfois quarante-huit heures avant d’être pris en charge », témoigne Médecins sans frontières (MSF), présent dans le pays depuis plusieurs années.
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