La Croix L’Hebdo : Comment ça va ?
Emmanuelle Douriez : Ça va très bien. Même si je suis un peu triste parce qu’une collègue avec qui j’ai sympathisé vient de partir à la retraite. Je travaille depuis 2020 à l’hôpital psychiatrique Charles-Perrens, à Bordeaux, en tant que médiatrice de santé-pair.
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