Je suis Ariane Blum, je suis responsable scientifique �� l'a. NR, l'Agence nationale de la recherche qui assure la coordination du partenariat europ��en du programme Horizon Europe water for All, donc j'assure la coordination. La Riouze est un une th��matique prioritaire dans l'agenda strat��gique de Waterfall et c'est m��me le sujet de notre appel �� projet international qui a lieu en ce moment. Comment aider des projets de recherche pour la r��utilisation des eaux, notamment en contexte urbain et industriel��? Il y a une grande richesse effectivement d'acteurs. Je pense que ce qui est tr��s important, c'est que cette conf��rence r��unit de nombreux pays. Tous les acteurs impliqu��s dans la r��utilisation de l'eau, des financeurs, des chercheurs, des utilisateurs. Donc pour nous, c'est compl��tement en phase au niveau europ��en avec le principe de water for all qui r��unit tous ces acteurs. Et surtout, ��a nous permet d'��tre ensemble pour voir comment acc��l��rer. On a fait le constat ce matin, ��a a ��t�� dit que l'utilisation, la r��utilisation des eaux est encore insuffisante, que ce soit l'��chelle europ��enne ou c'est seulement un petit peu plus de 2%. Des volumes trait��s par les stations d'��puration ou au niveau national en France. Donc il y a un besoin d'acc��l��rer et de soutenir des projets pour que ce pourcentage augmente de mani��re beaucoup plus significative, de lever les barri��res, de trouver les financements, de de soutenir de la recherche et de soutenir le transfert de la recherche sur le terrain. Financer des projets de recherche, c'est important, mais si ils s'arr��tent et qui sont pas transf��r��s aupr��s des utilisateurs, je suis d��sol�� mais ��a ne servira �� rien. Dans le programme water for All, on va mettre en place des actions pour que. �� l'issue des projets donc, par exemple, l�� on va financer pendant 3 ans. Des projets sur ce sujet l����? Qu'il y ait vraiment la connexion vers les gestionnaires de l'eau, que ce soit au niveau europ��en ou sur le terrain. On va demander aux chercheurs de se r��unir entre tous les projets pour qu'ils puissent aussi r��diger ce qu'on va appeler des policiers briefs pour pouvoir conseiller les gens qui sont en charge de la de la mise en ��uvre des directives, notamment la directive 4 sur l'eau, la directive sur les eaux r��sidaires urbaines et que il y ait un impact en fait. Un impact vers les d��cideurs l'autre impact qu'on souhaite, c'est vers les entreprises et et l'��conomie. Europ��enne ou des pays, puisqu'�� un moment ces solutions sont aussi vecteurs d'emploi et on a �� c��ur aussi de soutenir les entreprises, le transfert de ces solutions, y compris �� l'international, en dehors de l'Europe, parce qu'on a aussi beaucoup de solutions �� partager au niveau international. Alors un les projets qu'on finance, ils ont vocation �� r��unir au moins 3 pays de notre zone. Mais on travaille pas qu'en Europe, dans notre consortium on a la chance d'accueillir des pays non europ��ens. Je vais vous citer la Turquie, l'Afrique du Sud. Le Br��sil et on a vraiment vocation. �� accueillir de nouveaux pays parce que on s'enrichit effectivement �� �� d��velopper ces coop��rations internationales pour trouver des nouvelles solutions. L'autre point, c'est que on va soutenir aussi de la coop��ration internationale, participer �� des grands ��v��nements internationaux comme le Forum mondial de l'eau �� Bali ou des des des grandes conf��rences qui qui visent des entreprises non seulement pour pr��senter mais pour ��couter compl��tement. On a besoin aussi de s'enrichir de de ce qui se passe ailleurs, des besoins. Et et des innovations que peuvent d��velopper d'autres pays.