En couverture de Challenges cette semaine 📰 Prix, taux des crédits, frais de notaire… Quel est l’état du marché de l’immobilier ? ➡️ https://bit.ly/3Ft83D1 Réarmement : la France au pied du "mur financier" ➡️ https://bit.ly/4bNJlZY 📌 abo.challenges.fr
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Generative AI expert & consultant | Speaker | Artist | Executive board member EuropIA | Auteur "Metaverse, comprendre le monde qui vient" aux…
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Nouvelles
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🔴 EXCLUSIF - L’ex-juge d’instruction Patrick Ramaël défend un homme d’affaires franco-libanais accusé de blanchiment à but terroriste et retenu à Doha. Selon lui, le dossier est vide. ➡️ https://lnkd.in/eXyGtjc6
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🔍 REPORTAGE – Depuis l’an dernier, HEC impose à ses étudiants de première année de suivre un "stage terrain" à des postes d’exécutants. Challenges a suivi Julie Billet dans un entrepôt de recyclage de déchets à Argenteuil. Cela fait trois semaines que Julie travaille dans le vaste entrepôt d’Argenteuil (Val-d’Oise) de Cèdre, une entreprise de collecte et de recyclage de déchets de bureau. Gilet jaune sur les épaules, elle y occupe le poste de trieuse. 🗣️ "C’est un travail pénible. On commence à l’aube et on a le nez dans les poubelles toute la journée, sans chauffage. Heureusement l’ambiance est bonne", raconte-t-elle, en réajustant ses trois couches de gants. Si elle est là, ce n’est pas par choix. Elle vient d’intégrer HEC après deux années de prépa commerce à Toulouse. Et depuis l’an dernier, la prestigieuse business school impose à ses 375 étudiants de première année un "stage terrain" de trois semaines obligatoire 🎓 L’objectif ? "Qu’ils comprennent non seulement la réalité de l’entreprise et du management d’un point de vue académique mais qu’ils l’éprouvent aussi dans leur chair, à des postes d’exécutants", selon Yann Algan, le doyen en charge des formations initiales d’HEC. ➡️ https://lnkd.in/eVB3DGuM
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✍️ L'édito de Jean-François Arnaud Des stratégies diaboliques qui s’emparent des relations internationales depuis quelques semaines, celle consistant à imposer des taxes douanières exorbitantes est la plus efficace puisqu’elle nuit à tous, ceux qui la subissent et ceux qui la décident. ➡️ https://lnkd.in/gtNwMZS7
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✈️ Air France a dévoilé ce mardi 18 mars sa nouvelle Première, qui équipera bientôt certains de ses Boeing 777-300 ER. Une cabine longue de 3,5 m2, 25 % fois plus grande que l’ancienne et étalée sur cinq hublots. "Chaque suite est modulable, équipée d’un fauteuil inclinable et d’une méridienne qui se transforme en lit de 2 mètres", décrit Anne Rigail, la directrice générale d’Air France. Un partenariat inédit a également été signé avec le créateur Jacquemus pour offrir un pyjama designé par ses soins aux clients. 👉 Autre nouveauté : les racks à bagages ont été retirés des hauteurs, remplacés par un système de tiroir coulissant où l’on glisse sa valise. De quoi gagner de la hauteur sous plafond et pouvoir même se tenir debout. Sans oublier un menu gastronomique trois étoiles signé par des chefs et une carte des vins et spiritueux élaborée par un sommelier de renom. 🍷 Une cabine intime et luxueuse, qui coûte au minimum 10 000 euros pour un Paris-New York. Mais qui sont donc les clients capables de se payer l’équivalent d’une chambre de palace dans les airs ? Et ce, d’autant plus que les prix des billets d’avion se sont envolés ces dernières années. 💸 ➡️ https://lnkd.in/g7F4VR_s
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🔴 EXCLUSIF - Dans un courrier envoyé ce mardi 18 mars aux salariés, les élus du CSE de Hachette Livre s’en prennent violemment à leur nouvel actionnaire depuis plus d’un an, le groupe Vivendi, propriété de Vincent Bolloré. Dans une longue liste de griefs, ils dénoncent la dérive idéologique du groupe d’édition et de sa maison Fayard. Le point de rupture ? La publication du livre de la journaliste russe Xenia Fedorova, ex-directrice de la chaîne Russia Today en France, devenue l’égérie des plateaux de CNews. Plus généralement, les élus du personnel s’inquiètent de voir leur groupe pencher vers les idées d’extrême droite, défendues par les autres médias de Lagardère. Les élus craignent ainsi que ce virage politique ne fasse peser un "risque industriel" sur Hachette. Les premiers effets s’en feraient déjà sentir, affirme ce courrier, qui décrit une crise de confiance auprès de ses partenaires : "rupture de contrat en diffusion/distribution, boycott des libraires, des enseignants, des lecteurs, départ ou non recrutement d’auteurs, de salariés…". ➡️ https://lnkd.in/ec4ButkN
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Si l’activité immobilière à Paris semble amorcer une réelle reprise, le marché francilien peine quant à lui à se ranimer complètement 😶🌫️ La baisse des taux d’intérêt a resolvabilisé les acquéreurs, nourrissant de nouvelles demandes. 🗣️ "Mais pas partout, et pas pour tous les types de biens", souligne maître Elodie Frémont, porte-parole de la Chambre des notaires du Grand Paris. En petite couronne, entre 2022 et 2024, le volume des ventes a plus chuté en Seine-Saint-Denis, de - 39 % pour les appartements et - 44 % pour les maisons, que dans les Hauts-de-Seine, respectivement - 35 % et - 40 %. En grande couronne, le repli le plus fort, toujours sur deux ans, revient à la Seine-et-Marne pour les appartements (- 40 %) et aux Yvelines pour les maisons (- 39 %). ➡️ https://lnkd.in/eXix9DDr
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🎓 Réforme de l’apprentissage, crise sanitaire, coupes budgétaires… Les grands chambardements de l’université, Jérémy Fouché y a assisté aux premières loges. De quelques travaux dirigés (TD) en 2017, ce vacataire spécialiste de la relation client à l’IUT de Paris-Rives de Seine dispense désormais 187 heures par an – le maximum légal. 🗣️ "Les besoins ont explosé", rapporte-t-il. "Ici, les cours sont assurés par 170 titulaires et 750 intervenants extérieurs. Sans nous, l’IUT ne pourrait pas tourner normalement". Un cas loin d’être isolé. Dans tous les amphithéâtres de France, le recours aux vacataires s’est généralisé ces dernières années. Ils sont salariés du privé, indépendants, enseignants retraités, jeunes chercheurs ou doctorants. On en dénombre aujourd’hui plus de 170 000, à côté des 70 000 enseignants titulaires et 20 000 contractuels 💼 ➡️ https://lnkd.in/e8ay2mMR
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