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Veblen Institute for Economic Reforms

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À propos

Association à but non lucratif, l’Institut Veblen promeut les idées économiques et les politiques publiques qui font avancer la transition écologique. A travers nos publications et nos actions nous œuvrons pour une économie plus juste et respectueuse des limites physiques de la planète.

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Secteur
Think tanks
Taille de l’entreprise
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Siège social
Paris, Îledefrance
Type
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  • Veblen Institute for Economic Reforms a republié ceci

    Ça y est, il a fuité. Et tout dans ce rapport sur la publicité est explosif. Bloqué depuis 3 mois par le gouvernement, le rapport des inspections des finances, de la culture et du développement durable pour lequel Communication et Démocratie avait été auditionné, avec Veblen Institute for Economic Reforms, vient de fuiter dans la presse. 🔥 Remarquable et historique à 3 niveaux 🔥 Pour le travail colossal qu'il représente (465 pages!), le diagnostic limpide qu'il pose (la publicité actuelle est défavorable à la consommation durable) et les recommandations fortes auxquelles il aboutit (ci-dessous), ce rapport promet de faire bouger les lignes sur la régulation de la publicité. Florilège des recommandations fortes : ✊taxer les grands annonceurs pour réduire la pression commerciale globale ✊interdire la publicité pour les vols en avion (voyage court/ haute intensité carbone) ✊mettre l’organe d’autorégulation des contenus – l’ARPP –sous tutelle des pouvoirs publics (du législateur et de l’ ARCOM) ✊rendre le Nutri-Score obligatoire dans les publicités et sur les produits ✊rendre les contrats climats contraignants et réduire les dépenses publicitaires pour les SUV (à moins de 25 % en 2028) et pour les produits Nutri-Score D et E Notre association est satisfaite de voir ses différents travaux et recommandations repris en de nombreux endroits du rapport. Nous considérons qu'il y aura un avant un après cette publication, et qu'il s'agit là d'une victoire d'étape importante dans la bataille culturelle menée sur ces sujets. Cette victoire d'étape est à partager avec les organisations qui ont contribué durant les auditions, dont: LES AMIS DE LA TERRE Résistance à l'Agression Publicitaire HOP - Halte à l'obsolescence programmée Réseau Action Climat WWF Association Addictions France Paye ton influence UFC-Que Choisir Merci également à Aline Robert de l'Informé par qui ce rapport a été rendu public. 👉 Retrouvez l'édito de notre délégué général, Renaud Fossard : https://lnkd.in/dnGXs-rQ 👉 Retrouvez notre décryptage à chaud : https://lnkd.in/dFfD9b7z Mathilde Dupré Céline Réveillac Didier Courbet Vincent DAVID Félicien Creuchet Samuel Sauvage Yonnel Poivre Le Lohé Thierry Libaert Jacques-Olivier Barthes Pierre Condamine Pauline Debrabandere Inspection générale de l'environnement et du développement durable (IGEDD) Inspection générale des finances Inspection générale des affaires culturelles (IGAC) #environnement #communication #communicationresponsable #publicite #greenwashing https://lnkd.in/dnGXs-rQ

  • Veblen Institute for Economic Reforms a republié ceci

    Voir le profil de Amélie Deloche
    Amélie Deloche Amélie Deloche est un Influencer

    Consultante en influence éthique et responsable | Co-créatrice de Paye ton influence | Fondatrice de Post Influence.

    💥 Un pavé dans la marre : le rapport choc qui s'attaque radicalement et frontalement à la publicité Il devait rester confidentiel… mais il a fuité. Commandé par le gouvernement Attal, ce rapport est une véritable bombe qui s’attaque à la publicité sur plusieurs fronts : 1️⃣ Il démontre que la publicité oriente massivement les consommateurs vers des produits anti-écologiques, polluants et néfastes pour la santé. 2️⃣ Il brise un tabou de longue date : publicité = consommation. Les publicitaires et leurs lobbies tentent de nier ce lien en vantant le libre arbitre des consommateurs 🤡, mais la causalité est indéniable. 3️⃣ Il martèle que l’on ne peut pas espérer une consommation plus responsable si, au quotidien, la publicité nous pousse dans la direction opposée. Pendant qu’on prêche la sobriété et la transition, les messages dominants nous vendent entre autres : 🚙 Des SUV toujours plus gros (45 % des pubs auto TV) 🍟 De la malbouffe ciblant les enfants (58 % des pubs alimentaires en prime-time) 👗 De la fast-fashion jetable (+1000 % d’investissements pub en dix ans) En s’appuyant sur les travaux de l’Institut Veblen, du rapport Guibert-Libaert (2020) et du rapport Heilbrunn (2023), le rapport expose clairement le rôle déstabilisateur de la publicité dans notre modèle de consommation et pose un constat clé : 👉 La publicité doit être intégrée à la politique de sobriété et à la planification écologique. Parmi les mesures phares proposées : ❌Restreindre la publicité des produits éco-irresponsables en revoyant la directive SMA. ❌ Mettre fin à l’auto-régulation de la publicité en plaçant l’ARPP sous la supervision de l’Arcom. ❌ Plafonner le volume publicitaire sur les grandes plateformes via une évolution du règlement DSA. Autant dire que les lobbies de la pub et des grandes marques vont tout faire pour enterrer ces propositions, car ce rapport s’attaque à leur modèle même. 📢 Alors, est-ce que le gouvernement aura le cran d’aller au bout ? Ou laissera-t-on encore les multinationales dicter les règles ? La vraie question est : aura-t-on le courage de mettre en œuvre ces recommandations ?

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  • 45% des pesticides utilisés dans la consommation de l'UE de céréales et oléagineux proviennent des importations, alors que celles-ci ne représentent que 16,7% de la consommation totale. Une grande partie de ces importations provient de pesticides interdits utilisés massivement, notamment dans les pays du #Mercosur, ce qui révèle une faille importante dans la politique commerciale de l'UE. La réglementation actuelle, axée sur les LMR (Limites Maximales de Résidus), ne tient pas compte de la totalité de l'utilisation des pesticides dans la production, ce qui permet aux importations de respecter les normes minimales de sécurité alimentaire de l'UE tout en s'appuyant sur des taux d'application de pesticides plus élevés dangereux pour la santé des producteurs, des populations riveraines et des écosystèmes.  En l'absence de mesures additionnelles sur les importations, des réglementations européennes plus strictes en matière de pesticides risquent de déplacer la production vers des pays où les normes environnementales sont plus laxistes, ce qui nuirait aux efforts environnementaux et à la compétitivité de l'UE. C’est pourquoi l’Institut Veblen travaille depuis 2021 sur la mise en oeuvre de mesures miroirs pour combler ces divergences réglementaires et lever ainsi les obstacles internationaux qui pèsent sur la mise en oeuvre des objectifs annoncés dans le #PacteVert pour le secteur agricole. Stéphanie Kpenou était mercredi au parlement européen, à l’invitation des eurodéputés Eric Sargiacomo (Socialists and Democrats Group in the European Parliament), Esther Herranz García (European People's Party) et Elsi Katainen (Renew Europe) pour présenter notre dernière étude européenne sur le sujet publiée avec CNCD-11.11.11 , Feedback EU, Fondation pour la Nature et l'Homme, Humundi (ex SOS Faim Belgique), SEO/BirdLife, Slow Food, Slow Food Deutschland, Italian Slow Food. Sur le même sujet, les chercheurs de EU Tax Observatory ont publié le même jour une note avec des données inédites (citées ci dessus) et explorent la piste d’un ajustement pesticides aux frontières. Nous les avons invités à venir présenter leur étude à l’occasion de notre premier petit déjeuner organisé en partenariat avec BASIC, mardi 1er avril. On est très heureux de pouvoir vous proposer cette séance et on vous y attend nombreux. 😊 Pour vous inscrire 👉 https://lnkd.in/eHtFN6-x

  • 🤗 Hâte de lire ce rapport sur la régulation de la #Pub en entier pour lequel Mathilde Dupré avait été auditionnée avec Renaud Fossard de Communication et Démocratie Quand comptez-vous le publier officiellement François Bayrou Agnès Pannier-Runacher Eric Lombard ?

    Voir le profil de Jacques-Olivier Barthes

    Directeur conseil - stratégie et influence au service de la RSE chez Pastelle | Communication responsable

    🧨 BOOM ! Un rapport confidentiel bouleverse la régulation de la pub. Aline Robert de l'Informé a levé le voile aujourd’hui sur un rapport explosif, rendu fin décembre 2024 par trois institutions de poids : l’Inspection générale de l'environnement et du développement durable (IGEDD), l’Inspection générale des finances (IGF) et l’Inspection générale des affaires culturelles (IGAC) 📘 Commandé par le gouvernement Attal en juillet dernier, ce rapport porte sur un sujet brûlant : la régulation de la publicité pour une consommation plus durable. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il propose un véritable bouleversement de la gouvernance de la consommation en France, en appelant à une réorientation radicale des communications commerciales. 💡 En s’appuyant sur les diagnostics posés par : le rapport Guibert-Libaert (2020), les travaux de l'Institut Veblen & Communication et Démocratie (2022), et le rapport Heilbrunn (remis au conseil national de la consommation fin 2023), le rapport pose trois constats clés : 1️⃣ Les communications commerciales doivent être intégrées à la politique de sobriété et à la planification écologique. 2️⃣ Elles orientent les consommateurs vers des produits peu durables ou néfastes pour la santé. 3️⃣ Elles placent les citoyens face à des injonctions contradictoires entre incitation à consommer et appels à la sobriété. 🧭 Face à ce désalignement, la mission propose une politique publique cohérente de régulation... pilotée par rien de moins que le Premier ministre lui-même via le La planification écologique - SGPE ! Oui, vous avez bien lu. Mais ce n’est pas tout 👇 🔹 Proposition 3 : plafonner le volume publicitaire sur les grandes plateformes via une évolution du règlement DSA. 🔹 Proposition 4 : revoir la directive SMA pour restreindre les pubs promouvant des comportements éco-irresponsables. 🔹 Proposition 7 : confier la supervision de l'ARPP - Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité à l'Arcom afin de doter l'autorégulation d'un cadre législatif. Rien que cela !!  🔹 Proposition 8 : simplifier l’information des consommateurs, en généralisant notamment l’affichage nutritionnel (celui-là même que le ministère de l’Agriculture vient d’abandonner…). 📚 Le rapport qui fait 465 pages (!), avec ses annexes constitue sans doute la base documentaire la plus complète jamais produite sur la gouvernance de la consommation en France. 💬 14 pages faisant la liste des personnalités interviewées, du CESE à TikTok. Autant dire : c'est costaud ! Une lecture incontournable pour toutes celles et ceux qui s’intéressent à la régulation de la publicité, à la consommation responsable… et à l’avenir même de notre modèle économique. #PublicitéResponsable #ConsommationDurable #DSA #Greenwashing #ARPP #ARCOM #Sobriété #TransitionÉcologique #CommunicationResponsable Thierry Libaert Louis Duroulle Gildas BONNEL Caroline Darmon Valérie Martin Anne-Catherine Husson-Traore Fabrice Bonnifet Be Brave RSE

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  • Veblen Institute for Economic Reforms a republié ceci

    Jeudi dernier, Madeleine Péron, responsable du programme Politique industrielle & Transition écologique et sociale à l’Institut Veblen était au Printemps de l'économie pour la table ronde “Réindustrialiser : pour quoi faire ?” aux côtés de Sandrine Berthet, Camille Etévé et Julia FAURE.  L’occasion de parler de l’importance de la réindustrialisation sur le territoire français pour des questions de souveraineté, de compétitivité, de cohésion territoriale et de transition écologique, et pointer les synergies et les contradictions entre tous ces objectifs. La transition écologique doit rester au coeur de nos politiques de réindustrialisation car c’est notre meilleur atout aujourd’hui pour atteindre les autres objectifs.  👉 Sandrine Berthet, déléguée à la transition écologique auprès du Directeur général des entreprises au Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, a décrit les actions de la DGE pour rendre cette réindustrialisation possible et compatible avec les enjeux de transition écologique : soutien aux entreprises, décarbonation des procédés de production et adaptation au changement climatique en ligne de mire.  👉 Camille Etévé, responsable du pôle Industrie, Aménagement et Développement Economique à la Banque des Territoires a souligné la nécessité de penser la réindustrialisation comme un tout, au niveau local, avec des actions portant sur les formations industrielles pour les jeunes, car l’emploi et la main d’oeuvre sont au coeur des préoccupations, et sur le foncier, pour articuler les objectifs de réindustrialisation avec l’enjeu de l’artificialisation des sols. 👉 Julia Faure, co-fondatrice de la marque Loom, co-Présidente du Mouvement Impact France, présidente de En Mode Climat, a décrit la façon dont la France a peu à peu perdu son industrie textile, symbole de la désindustrialisation, pourvoyeuse de chômage et de précarité qui alimente le vote contestataire. Elle a aussi insisté sur la nécessité de mettre en place des lois et des régulations fortes, capables de rétablir des règles du jeu socialement justes et soutenables.     📺 Retrouvez le replay de la table ronde ici :  https://lnkd.in/eX7JxZVR

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  • Jeudi dernier, Madeleine Péron, responsable du programme Politique industrielle & Transition écologique et sociale à l’Institut Veblen était au Printemps de l'économie pour la table ronde “Réindustrialiser : pour quoi faire ?” aux côtés de Sandrine Berthet, Camille Etévé et Julia FAURE.  L’occasion de parler de l’importance de la réindustrialisation sur le territoire français pour des questions de souveraineté, de compétitivité, de cohésion territoriale et de transition écologique, et pointer les synergies et les contradictions entre tous ces objectifs. La transition écologique doit rester au coeur de nos politiques de réindustrialisation car c’est notre meilleur atout aujourd’hui pour atteindre les autres objectifs.  👉 Sandrine Berthet, déléguée à la transition écologique auprès du Directeur général des entreprises au Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, a décrit les actions de la DGE pour rendre cette réindustrialisation possible et compatible avec les enjeux de transition écologique : soutien aux entreprises, décarbonation des procédés de production et adaptation au changement climatique en ligne de mire.  👉 Camille Etévé, responsable du pôle Industrie, Aménagement et Développement Economique à la Banque des Territoires a souligné la nécessité de penser la réindustrialisation comme un tout, au niveau local, avec des actions portant sur les formations industrielles pour les jeunes, car l’emploi et la main d’oeuvre sont au coeur des préoccupations, et sur le foncier, pour articuler les objectifs de réindustrialisation avec l’enjeu de l’artificialisation des sols. 👉 Julia Faure, co-fondatrice de la marque Loom, co-Présidente du Mouvement Impact France, présidente de En Mode Climat, a décrit la façon dont la France a peu à peu perdu son industrie textile, symbole de la désindustrialisation, pourvoyeuse de chômage et de précarité qui alimente le vote contestataire. Elle a aussi insisté sur la nécessité de mettre en place des lois et des régulations fortes, capables de rétablir des règles du jeu socialement justes et soutenables.     📺 Retrouvez le replay de la table ronde ici :  https://lnkd.in/eX7JxZVR

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  • La table ronde “Réindustrialiser : pour quoi faire ?” au Printemps de l'économie, conçue par Madeleine Péron, est diffusée en direct dès maintenant sur ce lien 👉 https://lnkd.in/e-feVatD Depuis les années 1990, l'industrie française a connu un déclin marqué, passant de 16% du PIB en 2000 à seulement 9% en 2023. Fermetures d'usines, pertes d'emplois, dépendance aux importations...  La réindustrialisation est maintenant un objectif assumé de politique économique. Mais pourquoi faire ?     - Regagner en souveraineté : réduire nos dépendances et produire sur le sol français ce dont on a le plus besoin   - Promouvoir la prospérité économie et la cohésion territoriale : une industrie forte, c'est plus d'emplois qualifiés et stables, là où ils manquent, en dehors des grandes métropoles.  - Accélérer la transition écologique : produire en France réduit notre empreinte carbone et garantit des normes environnementales élevées. Peut-on faire les trois en même temps ? Les synergies entre les différents objectifs existent, mais leurs contradictions nécessitent d’opérer certains choix. Le seul objectif chiffré d’augmenter la part de l’industrie dans le PIB d’ici à 2030 ne suffira pas à articuler ces trois impératifs, puisque cela nécessite de penser dans le temps long à la fois ce qu’on produit, où on le produit et comment on le produit. 🖊️Retrouvez la tribune de Madeleine Péron dans le Mag du Printemps de l'économie 👇

  • Face à Trump : quelles réponses économiques et écologiques de l’UE ? 📅 9 avril    📍 Académie du Climat - Ville de Paris   🕣 18h30  Guerre commerciale et numérique, ingérences dans nos démocraties, impérialisme territorial, les attaques de la nouvelle administration Trump contre l’UE se multiplient.     Face à cette volonté assumée d’affaiblir l’UE et de diviser les pays européens, aucune forme de dialogue ne semble en mesure de l’en dissuader.       L’UE doit-elle assumer le rapport de force et affirmer son autonomie dans tous les domaines ?        Quelles sont ses vulnérabilités et ses forces dans ce contexte ?       Et quelles sont les réponses concrètes et crédibles à apporter tout en gardant le cap des engagements européens notamment en matière de transition écologique ?      🎙 Premiers intervenants :        👉 Vincent Vicard, adjoint au directeur du CEPII et responsable du programme scientifique Analyse du Commerce International.       👉 David Amiel, député du groupe ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE de la 13eme circonscription de Paris, coauteur d’un article dans le Grand Continent : Comment l’Europe peut faire plier Trump : notes stratégiques pour organiser la résistance (https://lnkd.in/gNQEAyNT)      Modération : Mathilde Dupré, codirectrice de l’Institut Veblen       Pour vous inscrire et connaitre la liste finale des intervenants 👉 https://lnkd.in/gEKCdRjS

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  • ⏳ Plus que quelques jours pour participer à la table ronde « Réindustrialiser : Pour quoi faire ? » au Printemps de l'économie Après plus de 30 ans de désindustrialisation en France, les politiques publiques pour la réindustrialisation s'articulent aujourd'hui autour de 3 objectifs : 👉 Viser l’autonomie stratégique et la réduction de la dépendance vis-à-vis d’autres puissances mondiales. 👉 Promouvoir la prospérité économique et la cohésion territoriale  👉 Mener la transition écologique Les synergies entre les différents objectifs existent, mais leurs contradictions nécessitent d’opérer certains choix. Le seul objectif chiffré d’augmenter la part de l’industrie dans le PIB d’ici à 2030 ne suffira pas à articuler ces trois impératifs, puisque cela nécessite de penser dans le temps long à la fois ce qu’on produit, où on le produit et comment on le produit. Madeleine Péron, responsable du programme Transition écologique et sociale & Politiques industrielles à l’Institut Veblen en parlera aux côtés de : - Sandrine Berthet, déléguée à la transition écologique auprès du Directeur général des entreprises au Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique - Camille Etévé, responsable du pôle Industrie, Aménagement et Développement Economique à la Banque des Territoires - Julia FAURE, co-fondatrice de la marque Loom, co-Présidente du Mouvement Impact France, présidente de En Mode Climat, actrice clé du secteur textile, au carrefour des transitions écologique et sociale Modéré par Franck Dedieu, directeur adjoint de la rédaction de Marianne Pour vous inscrire 👉 https://lnkd.in/exJWR2Gc

  • ⚖️ Pour peser face aux autres puissances économiques mondiales, et à l’adversité grandissante de Donald Trump, l’#Europe ne peut plus se contenter d’être un simple marché ouvert, elle doit repenser son logiciel économique en conciliant autonomie stratégique, innovation et durabilité. 📖 L'article “Le nouvel interventionnisme économique européen” écrit par Madeleine Péron, Mathilde Dupré et Wojtek Kalinowski, publié dans l’Economie politique n°105 met en avant plusieurs outils d’intervention, de façon non exhaustive : 👉 La pensée ordolibérale fait place à des propositions en faveur d’une politique économique plus active chez les dirigeants européens, à la fois inspirés et préoccupés par ce que font nos principaux concurrents. On peut s’en féliciter, mais la recherche d’autonomie stratégique doit aller de pair avec les objectifs de soutenabilité et ne pas servir de prétexte pour détricoter le Pacte vert ou déréguler à tout va. 👉 Politique commerciale : avec le renforcement des instruments de défense contre les produits moins disants (taxes sur les véhicules électriques chinois, conditions d’accès au marché européen sur des critères de durabilité). 👉 Aides d’État et subventions : un assouplissement des règles, en prenant en compte la nécessité d’une meilleure coordination pour éviter les distorsions entre États membres. 👉 Projets d’intérêt européen commun (PIIEC) : le financement de projets stratégiques à l’échelle européenne, bien que leur gouvernance et transparence restent à améliorer. 👉 Commande publique et achats groupés : l'utilisation des marchés publics pour orienter la demande et sécuriser l’approvisionnement dans des secteurs stratégiques.  NB : cet article a été rédigé en janvier et ne prend pas en compte les nombreuses annonces réalisées depuis de part et d'autre de l'Atlantique.   📍 Pour commander le numéro 105 de l’Economie politique : https://lnkd.in/eC_CEdY4 L'article “Le nouvel interventionnisme économique européen” en libre accès ici 👇

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