Little Wing

Les dix années qui viennent seront décisives pour la prospérité et la justice dans nos sociétés, comme pour la préservation de notre environnement. Chaque samedi matin, retrouvez notre analyse des grands sujets d'actualité autour des enjeux environnementaux et sociétaux dans Decade for Change ! 👉 Pour vous inscrire, rendez-vous sur : https://lnkd.in/e9uZyiBH

En 2025, la santé mentale, grande cause nationale !   🎙️ En ce début d’année, #DecadeForChange a eu le plaisir et l’honneur d’accueillir Angèle Malâtre-Lansac, déléguée générale de l’Alliance pour la Santé Mentale. La santé mentale est un sujet majeur pour nos sociétés. En France, 20% de la population est touchée par des troubles psychiques chaque année, tandis qu’une personne sur trois sera concernée au cours de sa vie. Et la situation ne va pas en s’améliorant, de nombreuses études documentant par exemple l’impact de la pandémie de Covid-19 sur le bien-être mental des jeunes. Pourtant, encore méconnue du grand public voire stigmatisée, un travail doit être fait pour que cette problématique sociétale devienne une vraie priorité de politique publique. C’est tout le sens de l’engagement porté par Angèle, aux côtés des 22 organisations qui structurent le collectif Santé Mentale, pour en faire la Grande Cause Nationale 2025. 👉 Au micro de Camille Godeau, Angèle revient ainsi sur son engagement pour briser les tabous autour de la santé mentale. Elle nous éclaire également sur les initiatives lancées avec l’ensemble des collectifs pour faire de cette année un tournant, à la fois en termes de prévention, de déstigmatisation mais aussi de politiques publiques, afin de promouvoir et permettre une prise en charge accessible et inclusive des personnes concernées. Enfin, Angèle nous présente des pistes d’action pour les entreprises, car le monde professionnel a un rôle crucial à jouer pour participer à une meilleure prévention et à l’évolution de nos représentations. Le podcast est disponible sur toutes vos plateformes préférées ou juste ici : https://lnkd.in/eejkqJ6w ! 🎧

Il y a deux ans, le monde découvrait ChatGPT. Aujourd'hui, aucune semaine ne se passe sans que les médias s'interrogent sur l'impact de l'IA générative sur notre quotidien. Tout va vite. Trop vite. Mais à quel prix ? C'est notamment à cette question que Les Entretiens se sont intéressés, à l'occasion de la XXIe édition "Vivre avec l'intelligence artificielle". Partenaire presse de l'événement, Little Wing a eu la chance d'accompagner Reid Hoffman, Cédric O, Dr. Luc JULIA, ou encore Cédric Klapisch, dans leurs prises de parole médiatiques. Quelle occasion unique d'échanger avec les pontes de l'IA, du cinéma, de la recherche à travers le monde ! Un moment enrichissant et valorisant. Toujours un plaisir d'avancer avec l'équipe de Little Wing ! Julie de La Sablière, Julie Busson et Camille Reulet.

🤖 Il y a seulement deux ans, OpenAI, le leader mondial de l’intelligence artificielle, lançait ChatGPT. Aujourd’hui, ce robot conversationnel rassemble chaque semaine 250 millions d’utilisateurs et OpenAI est valorisé à 157 milliards de dollars.    L’intelligence artificielle s’impose comme une technologie de rupture, transformant en profondeur des secteurs entiers de notre économie et remodelant durablement nos habitudes. Comment s’adapter à cette révolution technologique ? Quelles nouvelles opportunités et quels défis cela implique-t-il pour notre rapport au travail, à la machine et aux autres ? Quel sera l’impact à long terme sur nos vies professionnelles et personnelles ? Qu’avons-nous à gagner, et à perdre ?    👉 C'est pour répondre à ces questions que les penseurs et artisans de l'intelligence artificielle du monde entier se réunissent ce jeudi 5 et vendredi 6 décembre au Collège des Bernardins et à ROYAUMONT - abbaye & fondation pour la XXIe édition #LesEntretiens autour du thème "Vivre avec l'intelligence artificielle". Toute l'équipe de Little Wing est fière d'accompagner Jerome Chartier et Les Entretiens dans les relations presse de l'événement. Nous espérons vous y retrouver nombreux jeudi et vendredi prochain.

Une levée de fonds XXL pour une ambition XXL 💪🏻   Accompagner les équipes de la Fondation de l'X et de Polytechnique pour cette campagne a été un immense privilège. Elle nous a permis de nous plonger dans l'histoire de cette école mythique et son devenir, d'échanger avec des dirigeants, des chercheurs, des mécènes et des étudiants époustouflants de simplicité et d'intelligence. Quand les défis sont si grands, si vertigineux, la parole des scientifiques est une vraie source d'espoir et de foi dans l'avenir.    Avec l'X, on a envie de croire en nos talents, à la science, à la pluridisciplinarité des savoirs, aux génies de tous horizons que la France sait encore faire venir, soutenir et développer. En fait, ça donne envie de croire en nous ! Et ça fait un bien fou !   Parce que le monde a besoin de sciences et la science a besoin de nous tous, c'est le moment de soutenir cette école magnifique que le monde nous envie!   Merci à Laura Chaubard Frédéric Oudéa Anne Trotoux-Coppermann Marie Caillat de nous avoir associés à cette aventure passionnante et longue vie à cette campagne qui ne fait que commencer !   [ #ServirLaScience ] Little Wing x HAPPY COMPANY

L'entreprise à mission aurait-elle un coup de mou ? 🫠 La semaine dernière, Léa Nature, une des premières ETI à avoir adopté cette qualité en 2019, l'a retirée de ses statuts pour privilégier un "pacte d'engagements général” (sociétaux, environnementaux, de gouvernance…). Selon la Communauté des entreprises à mission (CEM), après une augmentation de 34 % en 2022, le nombre de sociétés à mission n'a augmenté que de 14 % depuis 2023. Il serait pourtant abusif de parler de perte de vitesse, pour plusieurs raisons. ☑️ Léa Nature est un cas particulier. Son fondateur explique son choix par son modèle "pluriactivités et multi-sites", difficilement soluble dans le cadre de la société à mission, mais aussi par la décision prise en 2021 d'opter pour le modèle de fondation actionnaire. Ce dernier est plus “radical” encore que l'entreprise à mission. Il transfère la propriété d'une entreprise à une fondation, qui peut devenir garante de ses engagements écologiques et sociaux. ☑️ Par ailleurs, la CEM rappelle que le contexte des premiers exercices CSRD a pu freiner de nombreuses entreprises dans leur volonté d'adopter la qualité d'entreprise à mission. Les directions RSE ont ainsi manqué de moyens humains pour mener ces deux projets de front. ☑️ Le modèle reste attractif : il est bénéfique pour les entreprises (le Crédit Mutuel Arkéa estime ainsi que l'adoption de cette qualité a augmenté de 35 % le nombre de candidats à ses offres d'emploi), et concerne désormais des structures de tailles de plus en plus diverses (grandes entreprises, ETI…). Ses partisans demeurent convaincus de la capacité du modèle à transformer structurellement les entreprises et à donner au collectif une vision de long terme. ------------ 📰 Retrouvez cet article et ceux de notre 186e édition hebdo de #DecadeforChange en vous abonnant à notre newsletter

Peut-on vraiment se fier aux crédits biodiversité ? 🌱 Ils sont au cœur de la COP16, qui s’est ouverte le 21 octobre à Cali en Colombie. Les crédits biodiversité, dispositif méconnu et controversé, suscitent l’espoir des entreprises et des gouvernements. Ils y voient une solution innovante pour participer à combler le déficit de financement de protection de la nature. Celui-ci est estimé à 700 milliards de dollars dans l’accord de Kunming-Montréal (COP15). Inspirés par les crédits carbone, les crédits biodiversité attribuent une valeur monétaire aux bénéfices écologiques des actions de conservation et de restauration de la biodiversité. Il devient ainsi possible de les échanger sur un marché. Mais ils sont controversés pour plusieurs raisons. Premièrement, ils introduisent, dans la protection de la biodiversité, une logique de compensation. Or, la destruction d’une espèce en un point A ne peut pas être compensée par la restauration d’un hectare en un point B. Deuxièmement, des doutes émergent quant à la robustesse des méthodologies employées : peut-on vraiment, par une métrique standardisée, comparer la protection de zones humides fragiles avec la restauration d’hectares de terres agricoles ? Enfin, la crainte émerge de voir ce dispositif dévoyé par des entreprises, qui pourraient en profiter pour ne pas adopter de politique de réduction de leurs impacts sur la nature. Toutes ces questions restent encore en suspens. Des méthodologies sont en cours de développement et des initiatives internationales se développent pour créer des standards rigoureux, à l’instar du projet franco-britannique ayant donné naissance au Comité consultatif international sur les crédits biodiversité (IAPB). La COP16 doit rendre possible la création de crédits biodiversité robustes et rigoureux. Pour autant, les experts rappellent que ce marché ne devrait atteindre qu’une taille limitée (entre 1 et 7 milliards par an, soit à peine 1 % des besoins estimés à horizon 2030). ------------ 📰 Retrouvez cet article et ceux de notre 185e édition hebdo de Decade for Change en vous abonnant à notre newsletter sur le site de Little Wing

La planification écologique concernera 8 millions d’actifs en France. Et il faudra former 3 millions de personnes d’ici à 2030. Quelles solutions ? C’est pour relever ce défi que Terra Academia développe et soutient les formations liées à la transformation écologique. ⬇️ 📻 "Aujourd'hui, on dit "il faut accélérer"... Oui ! Mais très concrètement, on a besoin des gens qui font pouvoir techniquement mettre en oeuvre cette transformation. [...] Très clairement, les compétences demandées ne sont pas les mêmes dans tous les territoires, chaque campus aura sa spécificité en termes de compétences." François Gemenne - Radio Classique 👉 Après Arras et Deauville, Terra Academia, accélérateur et école de la transformation écologique, initiée par Veolia, inaugure son campus de Paris-Montmarte ! L’occasion de réunir plus de 200 personnes autour de Jean-Michel Blanquer, Estelle Brachlianoff et François Gemenne pour mettre en lumière la nécessité d’une action commune et adaptée à l’échelle de chaque territoire. Toute l’équipe de Little Wing est fière de voir Terra Academia se développer en poursuivant une ambition claire : former plus de 60 000 personnes et sensibiliser 100 000 jeunes aux métiers de la transformation écologique d’ici à 2030. Julie de La Sablière Camille Godeau Lucie RETIF Julie Busson Louis Vidal Killian Montesquieu Florian Thierry Matthieu Scherrer Antoine Lara Isabelle RIOU

🗞️ REVUE DE PRESSE | "Nous ne sommes pas une soucoupe volante qui arrive avec des programmes tout faits. On s'adapte à chaque territoire et aux acteurs économiques qui s'y trouvent". Après un lancement réussi à Arras, Terra Academia, école et accélérateur de la transformation écologique, créée à l’initiative de Veolia, amorce une nouvelle étape de son développement en Normandie !   Salle comble à la Villa Le Cercle, à Deauville. Des représentants économiques, institutionnels, académiques du territoire se sont réunis autour de Jean-Michel Blanquer, Antoine Frérot et Philippe Augier pour prendre la mesure du défi de formation auquel le territoire normand fait face. Un objectif ambitieux a été fixé : former 4 000 personnes en Normandie d'ici à 2030.   👉 L'opportunité pour Jean-Michel Blanquer de détailler l'ambition de Terra Academia dans les colonnes de Ouest-France. Pour en apprendre davantage sur Terra Academia, par ici.👇   https://lnkd.in/enf5nEAR

L'IA, amie ou ennemie du climat ? 🤯 Les émissions de gaz à effet de serre ont bondi de 13 % en 2023 chez Google et de 29 % chez Microsoft. Un casse-tête, pour des entreprises qui annonçaient vouloir devenir “neutres en carbone” d’ici à 2030. La hausse provient essentiellement de la construction et de l’approvisionnement en énergie des data centers capables de répondre à l’explosion de l’usage de l’intelligence artificielle. 🤖 La requête d’un internaute sur une IA comme ChatGPT consomme environ 10 fois plus d’énergie qu’une requête sur un moteur classique. « À mesure que nous intégrons l'IA dans nos produits, la réduction des émissions pourrait s'avérer difficile », a reconnu Google. Les GAFAM cherchent pourtant à privilégier le recours aux énergies renouvelables. Microsoft va ainsi investir 2,2 milliards d’euros dans un nouveau projet de data center en Aragon, région espagnole ensoleillée et venteuse qui dispose de fortes capacités en énergies décarbonées. Mais les besoins sont tels que cibler les seules régions propices ne suffira pas. D’après les estimations de Bloomberg, la consommation de ces hangars géants pourraient, dans certains pays comme l’Irlande ou l’Arabie Saoudite, dépasser à terme les capacités de production d’électricité locales. Paradoxalement, l’IA est dans le même temps présentée par nombre de ses promoteurs comme un moyen puissant pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre, en particulier en facilitant la collecte des données relatives aux émissions. Mais ces gains hypothétiques ne sont pas encore sérieusement chiffrés à ce jour. 📰 Retrouvez cet article et ceux de notre 175e édition hebdo de #DecadeforChange sur https://lnkd.in/ergR7XQ3 Merci à l'équipe : Matthieu Scherrer Julie Busson Camille Godeau Charles Nicolas Killian Montesquieu Louis Vidal Maxence Malleret Malleret Lucie Retif Natalie Rastoin Antoine Lara Isabelle RIOU #AI #GAFAM #datacenters