Poiscaille

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Commerce de détail

Paris, Île-de-France 4 875 abonnés

La version marine du panier de légumes : frais, durable, éthique.

À propos

Poiscaille.fr est une entreprise qui propose depuis 8 ans ses "Casiers de la mer" à l'image des paniers de fruits et légumes en direct des producteurs. Nous avons fédéré un réseau de petits pêcheurs respectant nos critères de pêche durable : embarcations de moins de 12 mètres, sortant à la journée, avec maximum 3 marins à bord ne travaillant qu'avec des techniques douces : ligne, filet droit, casier, plongée ou pêche à pied. Pas de rejets en mer ni d'impact sur les fonds marins. Des poissons nobles mais aussi méconnus qui sont valorisés et mieux payés en direct aux pêcheurs puis redistribués dans les 72h qui suivent la sortie de l'eau à des consommateurs soucieux de l'origine et de la durabilité des produits de la mer qu'ils consomment. Retrouvez toutes les informations sur https://poiscaille.fr/

Site web
https://poiscaille.fr/
Secteur
Commerce de détail
Taille de l’entreprise
51-200 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2014

Lieux

Employés chez Poiscaille

Nouvelles

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    [🔊ACTIVEZ LE SON] ❤️🩹 Mich en avait gros sur le cœur lorsqu’on a débarqué sur le port de Lanildut pour lui expliquer la situation dans laquelle Poiscaille se trouve. Il n’a pas souhaité témoigner face caméra, mais on vous laisse écouter son témoignage, poignant. C’est une preuve supplémentaire que Poiscaille a un impact économique et social fort sur la filière. De quoi donner un coup de nageoires à toutes nos équipes, qui n’ont pas réussi à contenir leurs larmes non plus en l’écoutant. Merci Mich pour ton témoignage. 🙏 #sauvonspoiscaille #aupanierfishtoyen

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    💙 MERCI ! On est extrêmement touchés par la vague d’amour que l’on reçoit depuis le lancement de notre campagne de sauvetage. Votre engagement nous fait chaud au cœur. Depuis le début de la campagne : - Plus de 1000 nouveaux abonnés sont montés à bord - Le nombre de parrainage de la part de nos abonnés a explosé - On a battu notre record absolu de visites sur le site - Près de 100K vues sur notre vidéo de lancement, dans laquelle Charles Guirriec explique nos difficultés Les médias ont aussi joué le jeu et nous ont apporté une grande vague de soutien : Les Echos, France Inter, Europe 1... merci du fond du coeur. Toute l’équipe est sur le pont. L’objectif des 5000 nouveaux abonnés avant la fin du mois de septembre approche, mais la côte est encore imperceptible. Matelots : mobilisez-vous. Tout soutien est précieux, n’hésitez pas à partager nos communications sur vos réseaux et interpeller des personnalités engagées, des leaders d’opinions. Après 10 ans à se battre au quotidien pour la petite pêche et un tel démarrage de campagne de sauvetage, ça ne peut pas s’arrêter là.

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    John Castric, 🎣 pêcheur du réseau Poiscaille depuis 2019, a accepté qu'on lui tende le micro pour répondre à nos questions. En direct de son bateau, le "Papa Bear" et entre deux coups de clé allen sur son moteur, il témoigne au sujet de l'impact de Poiscaille sur la petite pêche. De quoi nous redonner un coup de boost dans la tempête pour aller chercher les 4500 abonnés dont on a besoin pour devenir rentables ! Merci John pour ton témoignage 🙏

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    Un monde sans Poiscaille pourrait advenir, vous avez le pouvoir de l'éviter. Manger c’est voter, trois fois par jour ! C’est donc le moment de se mobiliser pour le poisson frais. Poiscaille, vous y pensez depuis quelques temps, franchir le cap c’est maintenant. Bientôt 10 ans que Poiscaille existe, 5% de la flotte de pêche française bénéficie de prix d’achat élevés et stables, garantis à l’année. 20 000 gourmets se régalent chaque semaine avec nos paniers de poisson frais, exclusivement français 🇫🇷. Alors que 70% du poisson consommé en France est importé 🌏 ⚓️ 12 M€ de CA annuel, c'est presque 1000 tonnes de produits de la mer livrés chaque année ⚓️ 250 pêcheurs et pêcheurs partenaires, répartis sur tout le littoral français ⚓️ 1700 magasins partenaires, partout en France ⚓️ 70 emplois, non délocalisables Poiscaille a aujourd'hui un impact colossal, un symbole d'espoir fort pour la petite pêche. Mais Poiscaille est en danger. Nous avons besoin d’un gros coup de pince pour arriver à l’équilibre financier, cela d’ici la fin de l’année. Pour y arriver, il nous suffit de 5 000 gourmands supplémentaires inscrits à nos paniers de la mer. On a déjà fait 10 000 abonnés, On a déjà fait 20 000 abonnés, Alors 25 000 abonnés, on doit y arriver ! 🔈 Aux paniers fishtoyens ! Pour nous soutenir, quatre options : ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ Prendre un panier de la mer Poiscaille ⭐️⭐️⭐️ Passer une commande à la carte, pour à la fois vous régaler de produits iodés et faire le plein dans vos placards ⭐️⭐️ Partager ce message, pour mobiliser la communauté ⭐️ Vous êtes déjà abonné ? Passez au stade supérieur : parrainez vos proches ! PS : La séquence sans tablier existe bel et bien, par ici pour faire tomber le tablier 👉🏼 https://lnkd.in/ev-3fyts #impact #entreprenunariat #peche #durable #changementclimatique #écologie #océan #sauvonspoiscaille

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    Alors globalement c’est faux, les populations de thon rouge de nos côtes se portent aujourd'hui très bien, on peut donc le consommer la conscience tranquille. Mais attention, il y a plein de nuances à ajouter à cette réponse. On vous raconte tout ci-dessous. 1. Surpêche révélée en 2010 C’est en 2010 que les ONG (WWF en tête) ont alerté sur la mauvaise santé des stocks de thon rouge, notamment en Méditerranée, sa zone de reproduction. Le thon rouge était loin d’être en voie d’extinction, comme les mammifères terrestres dont il ne reste que quelques individus (panda, rhinocéros). Mais la surpêche mettait en danger les populations, avec un risque d’effondrement. Après enquête sur le terrain, il a été révélé que les captures étaient largement supérieures aux autorisations. 2. Un redressement spectaculaire Deux conséquences des révélations des ONG : 🦀 une forte baisse des quotas de pêche, pour prendre en compte l’impact des captures non déclarées par le passé 🦀 un “remboursement” des quantités pêchées en trop sur les années 2010, 2011 et 2012 3. Thon rouge de ligne pêché en France, vous pouvez y aller La majorité du thon rouge pêché par les navires français est engraissé dans des cages au large de Malte, pour être ensuite exporté, au Japon en priorité. Mais les petits pêcheurs côtiers bénéficient d’autorisations pour attraper quelques poissons à quelques tonnes par an. Leurs prises sont majoritairement commercialisées sur nos étals. Ainsi, si vous croisez donc du thon rouge de ligne (de Méditerranée ou d’Atlantique) sur un étal, vous pouvez y aller. Il est fort probable qu’il ait été pêché de manière vertueuse et correctement payé au pêcheur. Son prix reste élevé, a minima 40€ le kilo (25€ si vous achetez directement au pêcheur) En dessous de 30€ le kilo, il est quasiment certain que vous n’achetiez pas le bon thon. Pour les cousins étiquetés “Thon rouge”, ralentissement conseillé De nombreuses espèces de thon sont étiquetées “Thon rouge” à cause de leur chair rouge. Thon à nageoire jaune (ou albacore), thon obèse (ou patudo), thon rouge du pacifique, pour ces espèces les situations sont variables, avec des populations globalement en mauvais état dans l’Océan Indien. Quand vous croisez du thon entre 19,90 et 29,90 sur un étal, il provient très probablement d’une de ces espèces. La technique de pêche est souvent la senne, pratiquée de manière industrielle. Pareil dans vos sushis, préparés avec des thons surgelés à bord de navires à l’autre bout du monde. Dans ce cas, en effet, il est préférable de ralentir, voire d’arrêter sa consommation de thon. En conclusion, même recommandation que pour la viande : moins, mais mieux, pour soutenir les pêcheurs français et les pratiques durables. On arrête les sushis faciles du dimanche soir pour un tartare sélectionné avec soin. La pêche bat son plein en ce moment, alors si vous voulez goûter, on a une adresse pour vous : https://lnkd.in/gDqRn7RU 🐟

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    Vrai ou faux ? 🐟

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    Les 3 produits les plus consommés par les Français sont le saumon, les crevettes et le cabillaud. C’est le résultat du sondage IFOP présenté lors des dernières Assises de la pêche et des produits de la mer. Ce podium nous fait parfois rougir. En effet, ces espèces sont en immense majorité élevées ou pêchées à l’autre bout du monde. Il est révélateur de notre consommation de produits de la mer. Nous ne produisons que 30% de ce que nous consommons, 70% des produits de la mer sont aujourd’hui importés. De plus, ces espèces ne sont pas forcément les moins chères, alors que le facteur prix est indiqué comme déterminant pour les achats des ménages. Ce qui est dérangeant, c’est que pendant ce temps, de nombreux pêcheurs de nos côtes peinent à vivre de leur activité de pêche, à cause notamment de prix de vente insuffisants ou de partage de la ressource déséquilibré. Pour soutenir les pêcheurs français, on a donc pris l’engagement chez Poiscaille de ne proposer que des produits de la mer pêchés ou élevés sur les côtes françaises. Et on y arrive ainsi : Pas de saumon, ni de truite Thons rouges et germons (blanc) accompagnés de bonites, tous pêchés sur nos côtes Crevettes tropicales remplacées par araignées de mer, homards et bouquets Cabillaud remplacé par le merlu et le merlan, de proches cousins excellents La réponse 3 c’est un peu notre trio idéal. Si ces trois espèces dominaient la consommation des ménages français, on parie que les pêcheurs auraient bien plus confiance en l’avenir. Pour creuser le sujet, ça se passe par ici 👉🏻 https://poiscaille.fr/

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  • Poiscaille a republié ceci

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    Founder chez Poiscaille

    🐟 🍣 ❌ Faire barrage au saumon cet été Cet été, direction la côte, avec à proximité de bons poissons frais du coin. L’occasion parfaite pour entamer la dé-saumonisation de son alimentaion. Vous vous demandez pourquoi bannir le saumon de son alimentation ? Lisez la suite 1. La production du saumon contribue à la surpêche Pour produire un kilo de saumon d’élevage, il faut plusieurs kilos de poisson sauvage. Les détracteurs annoncent 10kg. Un peu exagéré. Les promoteurs affirment qu’il faut moins d’un kilo d’aliment (les granulés) pour faire 1kg de poisson. C’est tout à fait le cas. Mais la production de ce kilo d’aliment nécessite plusieurs kilos de poisson sauvage. Au global, le bon chiffre semble être entre 4 et 6 kg, toutes espèces confondues. 2. La farine de poisson est produite à partir de poissons sauvages tout à fait comestibles 25% de la pêche mondiale est destinée uniquement à produire de la farine de poisson. C’est la pêche dite “minotière”. Pourtant, les poissons pêchés pour faire de la farine sont tout à fait comestibles. Par exemple, l’anchois du Pérou, 10% de la pêche mondiale, est quasiment exclusivement destinée à la farine de poisson. Alors que les anchois du Pacifique sont très proches de ceux qu’on trouve sur nos côtes et tout à fait consommables frais ou en conserves. Ça serait plus malin de manger directement les anchois. 3. La production de saumon européen provoque les migrations en Méditerranée Pour produire les saumons d’Europe du Nord, on utilise de la sardinelle. Une grosse sardine, pêchée au Sénégal et en Mauritanie. Aujourd’hui, ce poisson est capté par les usines de farine de poisson, prêtes à payer plus cher pour nourrir le saumon consommé en France. En conséquence, l’activité de séchage et fumaison du poisson, qui était distribué dans toute l’Afrique de l’Ouest, est au ralenti. Surpêche et concurrence déloyale privent les travailleurs d’activité. Leur seule solution est de migrer vers l’Europe, avec les conséquences que l’on connaît. 4. Le saumon n’est pas produit en France On pêche encore quelques tonnes de saumon sauvage dans l’Adour, au printemps. Une gouttelette par rapport à la consommation totale. Deux élevages existent en Normandie, également anecdotiques. Arrêter le saumon, c'est la première étape pour aller rechercher les produits pêchés sur nos côtes, à proximité. 5. Et le saumon bio, c’est ok non ? Malheureusement non, et c’est même potentiellement pire. En bio, la proportion de poisson sauvage dans l’alimentation est plus élevée. On amplifie donc les problèmes précédents. Le bio garantit une densité plus faible de poisson dans les cages, et moins de traitements contre les maladies. L’argument du bien-être animal est maigre. Un poisson sauvage, qui passe plusieurs années entre sa naissance et sa pêche, où il mourra en à peine quelques minutes, aura eu de bien meilleures conditions de vie que n’importe quel poisson d’élevage, même en bio. Documentaires pour creuser en commentaire ⬇️ ⬇️

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    Ohé 📣 Poiscaille met le cap sur la notoriété pour la rentrée. Nous recherchons une agence RP spécialisée : food, conso, impact pour faire frétiller la pêche durable dans les assiettes de tous les français cette année. Déjà bien sollicités par la presse écrite, radio et TV, nous avons besoin de passer la vitesse supérieure : plus de publications, plus pertinentes, plus grand public ! ✍️ Ecrivez-nous à mathilde@poiscaille.fr

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