🔎 VENTE IMMOBILIERE et RECUL DU TRAIT DE COTE SUR LE LITTORAL FRANÇAIS 🌊 Suite à l’intervention hier soir sur une grande chaine télévisée du Ministre de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires, Monsieur Christophe Béchu, beaucoup de médias reviennent aujourd’hui sur la notion de RECUL DU TRAIT DE COTE et les cartes du Gouvernement le présentant. Le recul du trait de côte est défini comme un déplacement vers l’intérieur de la limite entre les domaines maritime et terrestre pouvant être lié à deux facteurs principaux : l’érosion côtière et l’élévation du niveau de la mer. C’est un phénomène naturel, parfois influencé par l’action anthropique (humaine). De nombreuses façades maritimes sont concernées, et accentué par le changement climatique, le recul du trait de côte peut présenter un risque pour les populations exposées : ⚠ inondations, glissements de terrains, éboulements, pertes de terres, déplacements d’espèces animales, de végétaux … ➡ Le Notaire, en cas de vente d’un bien immobilier situé dans une zone exposée, expliquera au nouveau propriétaire le phénomène, ses causes (tempêtes, houles et courants marins, déboisement, plages touristiques, travaux portuaires…) et les risques et contraintes auxquels il s’expose (à un proche horizon / à un horizon plus lointain) car le Ministre l’a bien souligné hier : 🆘 20% du littoral français est concerné et nos côtes, très attractives, densément urbanisées, le rendent particulièrement vulnérable. Pour 2028, les zones les plus exposées sont la Corse, les Pyrénées-Atlantiques, le Var, le Calvados, la Seine-Maritime, la Somme, la Martinique et la Guadeloupe. Pour de plus amples explications, nous vous invitons à notamment consulter : https://lnkd.in/eii3x-Gm https://lnkd.in/e6Fnbimb Photo La Co(o)rniche ***** Pyla sur Mer, Ville de La Teste de Buch
Post de ALTANOT NOTAIRES CONSEILS
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Professor at Ecole des Ponts | Economiste de l’immobilier | Titulaire de la Chaire Économie de la Transition écologique urbaine (Immobilier, Logement, Architecture, Aménagement) à l’ILB.
D’apres le Cerema et d’ici 2028, un millier de bâtiments sont susceptibles d’être atteints par l’érosion littorale. « Il s’agit de 528 logements répartis dans 300 bâtiments, dont la moitié sont des résidences secondaires. Leur valeur vénale est estimée à 167 millions d’euros. Sont aussi concernés 340 constructions de catégorie annexes et dépendances, quelques bâtiments publics ainsi que des locaux abritant des activités économiques. Le recensement en a pré-identifié 191, dont 75 établissements de plage et 90 hôtels, restaurants, village de vacances, évalués à 54 millions d’euros, ainsi que 28 postes de secours, 21 bases nautiques ou écoles de surf, un local ostréicole dans le Morbihan… » A mois de 20 ans, ce seraient plusieurs centaines de milliers de logements concernés. Et on considère encore que le changement climatique n’a pas d’effets sur l’#immobilier ? #climat #logement #immobilier
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L’érosion du littoral français n’est plus un secret pour personne. Mais saviez-vous que ce phénomène naturel a désormais un impact significatif sur les prix de l’immobilier dans les stations balnéaires ? Une récente étude menée par la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) tire la sonnette d’alarme : les acheteurs semblent de plus en plus préoccupés par les risques liés à l’érosion côtière, ce qui se traduit par une baisse notable des prix dans les zones exposées. Un littoral français sous pression La France compte pas moins de 5 853 kilomètres de côtes, dont une grande partie est soumise à l’érosion. Selon le ministère de la Transition écologique, près de 20 % du littoral métropolitain recule sous l’effet de ce phénomène naturel, aggravé par le changement climatique et la montée du niveau des mers. Le littoral est un système dynamique en perpétuelle évolution. L’érosion côtière est un processus naturel, mais qui peut être accentué par les activités humaines et le dérèglement climatique. – Alain Hénaff, géographe spécialiste du littoral 157 communes littorales à risque En France, 157 communes sont particulièrement exposées au risque d’érosion côtière. Depuis le 1er janvier 2023, un décret impose de mentionner ce risque dans les annonces immobilières pour les biens situés dans ces zones. Une obligation qui n’est pas sans conséquence sur le marché… L’érosion côtière fait baisser les prix de l’immobilier L’étude de la Fnaim, qui se base sur les ventes réalisées dans son réseau, est sans appel : le prix moyen des stations balnéaires à risque a chuté de 3,9% en 18 mois, tandis que celui des communes littorales non exposées n’a reculé que de 0,9% sur la même période. Cela est sans doute lié à la nouvelle obligation de mentionner ce risque dans les annonces de biens à vendre depuis le 1er janvier 2023. – La Fnaim Parmi les communes les plus touchées, on retrouve Lacanau en Gironde (-8,5% en 18 mois), Biscarrosse dans les Landes (-7,2%) ou encore Châtelaillon-Plage en Charente-Maritime (-6,1%). A l’inverse, les prix se maintiennent mieux dans les stations épargnées par l’érosion, à l’image de Bénodet dans le Finistère (+3,2%) ou Bandol dans le Var (+1,8%). Un critère de plus en plus pris en compte par les acheteurs Si l’érosion côtière a toujours existé, elle semble désormais faire partie des critères prioritaires pour les acquéreurs de biens en bord de mer. Selon un sondage Ifop pour la Fnaim, 68% des personnes interrogées déclarent que le risque d’érosion serait un frein à leur projet d’achat dans une commune littorale. Les acheteurs sont de plus en plus sensibles et vigilants face aux risques naturels. L’érosion côtière en fait clairement partie, au même titre que les inondations ou les feux de forêt. – Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim Alors que la loi Climat et Résilience prévoit d’ici à 2024 l’élaboration de stratégies locales de gestion du trait de côte pour les communes concernée...
L’érosion du littoral français n’est plus un secret pour personne. Mais saviez-vous que ce phénomène naturel a désormais un impact significatif sur les prix de l’immobilier dans les stations balnéaires ? Une récente étude menée par la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) tire la sonnette d’alarme : les acheteurs semblent de plus en plus préoccupés par les risques liés à l’érosion côt...
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LEGIPLAISANCE 2024 : de la mer à la montagne, quelles synergies entre ces territoires pour s’adapter et innover face aux différents enjeux? Les stations de la montagne et du littoral sont aujourd’hui confrontées à de nombreuses incertitudes tant structurelles que conjoncturelles. La résilience de ces territoires s’appuie sur deux monuments législatifs que sont les lois dites « Montagne » et « Littoral ». Depuis leur entrée en vigueur, en 1985/86, ces textes fondateurs qui encadrent strictement la destination et l’aménagement des zones concernées n’ont cessé de soulever d’importantes difficultés d’interprétation et d’application. La jurisprudence a apporté les précisions à leur mise en œuvre afin d’établir un juste équilibre entre développement économique et protection de l’environnement sur les territoires littoraux et montagnards. Cet équilibre, délicat à trouver, est fixé par les communes, sous le contrôle du juge administratif. En partant à la conquête des stations du littoral et de montagne, les collectivités ont généré de nombreuses opportunités de développement, mais on constate qu’aujourd’hui la crise majeure énergétique et les mutations sociales imposent à la norme juridique davantage d’agilité et d’innovation afin d’accompagner les stations confrontées à des incertitudes tant structurelles que conjoncturelles : Côté Montagne: diminution des périodes d’enneigement et de gel en hiver, pics de chaleur inédits en été, multiplication des phénomènes météos extrêmes (avalanches, coulées de boues, laves torrentielles). Côté Littoral: recul du trait de côte et augmentation de la fréquence et de l’intensité d’événements météos, montée du niveau de la mer, amplification des risques d’inondations, perte de la biodiversité et pollution accrue du milieu maritime. L’enjeu pour ces territoires spécifiques impose un développement économique équilibré et soutenable pour l’environnement (tourisme responsable et multi-saisons, maîtrise de l’urbanisation, équilibrage de la pression foncière…) et de revoir l’organisation du territoire. Quelles évolutions pour la loi Littoral et Montagne face au bouleversement climatique et aux changements des usages ? Quelles applications de ces lois par les Tribunaux ? Quels engagements des acteurs dans le cadre de ces lois et du principe de libre administration des collectivités? Pour ces deux filières soumises à une forte saisonnalité et des limites dans les ressources humaines, comment répondre aux nouveaux usages en maintenant une qualité d’offre de service et une attractivité touristique tout en répondant aux enjeux environnementaux ? Quels dispositifs de financement pour quels projets ? Peut-on imaginer une harmonisation des pratiques entre ces deux territoires? Jeudi 23 mai 2024 Grande Arche de la Défense – Paris Legisplaisance Association #formation #mer #montagne #legiplaisance #enjeux #developpement #tourisme #usages #ressources #territoire #transition #changementclimatique #nouveaumodele
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En 300 ans, le marégraphe du port de Brest a permis de constater que le niveau de la mer a augmenté de 30 cm (soit un mm/an en moyenne). Avec un réchauffement climatique de +3 °C à la fin du siècle, la hausse de la mer pourrait atteindre un mètre sur la même période.
En Bretagne, des « cartes d’érosion » pour faire face à la montée des eaux
20minutes.fr
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L'archipel des Maldives, situé au sud-ouest de l’Inde, est un des pays les plus vulnérables face à l'élévation du niveau de la mer, provoquée par le changement climatique et la fonte des glaces. Selon le Giec, l'élévation pourrait dépasser un mètre d'ici la fin du siècle, menaçant directement ces îles dont 80 % du territoire ne dépasse pas un mètre au-dessus de la mer. En réponse, les autorités maldiviennes ont opté pour le remblayage de terres, créant de nouvelles zones habitables en extrayant du sable des fonds océaniques. Cette technique, bien que salvatrice initialement, pose aujourd'hui de sérieux problèmes environnementaux. Le remblayage a notamment permis la construction de l'aéroport international et du quartier résidentiel de Hulhumalé, situé à deux mètres au-dessus du niveau de la mer, offrant ainsi une alternative plus sûre à la capitale Malé, extrêmement densifiée. Cependant, cette méthode de défense contre l'élévation du niveau de la mer s'est transformée en une pratique de développement intensif. Selon l’agence de protection de l’environnement, depuis huit ans, 537 projets de remblayages ont été lancés, augmentant significativement l'empreinte territoriale des Maldives par l'extraction de millions de mètres cubes de sable. Ce développement a des répercussions directes sur l'écosystème marin. Les fonds marins, rendus opaques par le sable extrait, ont entraîné la disparition des poissons d'appât. Cette situation oblige les pêcheurs à naviguer beaucoup plus loin, augmentant leur consommation de carburant. La pêche, secteur économique crucial des Maldives, se trouve ainsi directement impactée. En outre, le remblayage menace les coraux, vitaux pour la protection des côtes maldiviennes contre l'érosion. Le sable étouffe les coraux, qui nécessitent une eau claire pour leur survie. Les mesures préventives, comme l'utilisation d'écrans pour limiter la sédimentation, ne sont pas toujours effectives, mettant en péril cette barrière naturelle contre les assauts de la mer. Les études d'impact environnemental, obligatoires pour chaque projet de remblayage, sont souvent sous le contrôle du gouvernement, qui n'est pas contraint de suivre leurs recommandations. Ce manquement a été particulièrement flagrant lors du projet de l'atoll d'Addu, où les travaux ont endommagé une zone classée par l'Unesco, enfouissant des coraux et des herbiers marins essentiels. Ces pratiques de développement, tout en répondant à un besoin urgent de protection contre l'élévation du niveau de la mer, risquent d'aggraver les problèmes qu'elles cherchent à prévenir, mettant en péril l'équilibre écologique de l'archipel et la sécurité alimentaire des Maldiviens, très dépendants de leurs ressources marines.
Face à la montée des eaux, les Maldives à contre-courant
liberation.fr
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🌊🏖️ L'érosion côtière menace les communes de l'Hérault et des Landes : une situation alarmante à laquelle nous devons tous être attentifs ! 💡 Dans l'Hérault, les communes de Frontignan et de Vias sont confrontées à une érosion côtière sans précédent. Les plages reculent année après année, mettant en danger les habitations riveraines. À Vias, des résidents s'unissent pour faire face à l'avancée inexorable de la mer, tandis qu'à Frontignan, une étude ambitieuse est lancée pour anticiper les changements à venir d'ici 2050 et 2100. 🛑 Dans les Landes, à Biscarrosse, c'est une situation tout aussi critique. Les plages ont dû être fermées pour des raisons de sécurité, suite à une érosion rapide et intense causée par les vents violents et les courants puissants. Le paysage côtier s'est métamorphosé en quelques semaines seulement, laissant les habitants sous le choc. ✋ Face à ces défis majeurs, il est crucial de sensibiliser et d'agir. Les opérations de réensablement prévues dans les prochains jours à Biscarrosse témoignent de la volonté de restaurer notre littoral, mais il est impératif de prendre des mesures à long terme pour préserver nos côtes et nos communautés. #ErosionCôtière #ProtectionEnvironnement #CommunautésCôtières #EngagementEnvironnemental #ResponsabilitéSociale #Sensibilisation #ActionLocale #Althiatem #AdaptationClimatique
Landes : les plages de Biscarrosse fermées à cause de l'érosion
francetvinfo.fr
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📆 En 2023, pour lutter contre le recul de trait et l’érosion, la Ville de Lacanau a réalisé au sein de sa station balnéaire réputée et emblématique du Médoc, en Gironde, une réhausse de l’ordre de 1,5 mètres sur le linéaire le plus à enjeux de son front de mer. Ces travaux importants de consolidation de l’enrochement longeant le cordon dunaire sont la conséquence de la prise de conscience de l’ampleur du risque encouru, accentué par les tempêtes de l’hiver 2013-2014. En effet, à la suite de ces évènements, l’ouvrage de protection du front de mer a été réhabilité dans l’urgence en 2019 révélant ainsi 3 enseignements : 💧 la nécessité de cet ouvrage pour protéger la bande littorale, 💧 la vulnérabilité à court terme de l’ouvrage (au regard d’un risque d’affouillement de crête) confirmée par la tempête Justine, 💧 le non-dimensionnement de cet ouvrage à long terme face aux évènements météo-marins à venir. Ce projet a été financé à 30 % par la commune et la communauté de communes CC MEDOC ATLANTIQUE, à 70 % par la Région Nouvelle-Aquitaine et le Fonds européen de développement régional (FEDER). 💬 "La commune de Lacanau se distingue par la démarche de concertation engagée au sujet de l’érosion côtière en particulier avec la mise en place en 2013 d’un comité local de concertation rassemblant une trentaine de personnes représentant différentes associations de toute obédience." Laurent PEYRONDET, Maire de Lacanau, Président du CCAS, Vice-président de la Communauté de Commune Médoc Atlantique, Président de l’Office de Tourisme Médoc Atlantique, Président du Syndicat à Vocation Unique pour la Surveillance des Plages et des Lacs Girondins (SIVU) et Président du syndicat intercommunal d’Aménagement des eaux du bassin versant et étangs du littoral girondin (SIAEBVELG) 💬 "La commune organise également d’autres temps publics au cours desquels ces projets sont évoqués, les élus et services répondent par divers canaux à toutes les questions et/ou observations de citoyens sur le sujet." Laurent PYERONDET Nous remercions Monsieur Laurent Peyrondet pour le temps qu'il nous a accordé. Le lien vers ce retour d'expérience est à retrouver dans le premier commentaire 👇
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UNATERA VERTUOSITES Bonjour amies et mais Vendéens ! CJD La Roche sur Yon Vendée Littoral No irmoutier-en-l’Île (France) (AFP) – Avec les deux-tiers de son territoire sous le niveau des plus hautes eaux, Noirmoutier est en « lutte permanente » contre un risque de submersion marine accentué par le changement climatique. L’île révise aujourd’hui son plan de prévention et enchaîne les investissements. Digues, perrés, blocs de roche adossés aux dunes… « Les digues ont été construites à l’origine pour gagner du terrain sur la mer. Elles servent surtout maintenant à protéger les habitations de tempêtes plus fortes, plus fréquentes », explique à l’AFP Fabien Gaborit, président de la communauté de communes. A la Guérinière, sur la face ouest de l’île, une digue du 19e siècle réhaussée de plusieurs mètres après le passage de la tempête Xynthia en 2012 a été en partie emportée par la tempête « Sur l’île, il y a la défense contre les problématiques d’érosion du cordon dunaire à l’ouest et de submersion des zones basses à l’est. C’est une lutte permanente qui nécessite des systèmes de plus en plus puissants », explique Marc Robin, responsable scientifique de l’Observatoire régional des risques côtiers des Pays-de la Loire. « Prise de conscience » Sur certaines plages cette île touristique, qui compte près de 70% de résidences secondaires, les ouvrages de défense appartiennent aux propriétaires riverains, à qui échouent de fait leur surveillance et leur entretien. Réunis en associations syndicales autorisées (ASA), ils partagent le coût des travaux avec la communauté de communes. L’ASA des dunes du Vieil, quartier du nord de l’île où certaines maisons se trouvent sous le niveau de la mer, a « fortement augmenté » ses cotisations ces derniers temps. « Il y a encore dix ans, les travaux n’était pas forcément une préoccupation. Et puis il y a eu des tempêtes, certains se sont fait peur. Depuis le confinement, les gens viennent aussi plus souvent. Il y a une prise de conscience », explique le président de l’ASA, Paul Le Nail. Mais « arrivera un moment donné où le changement climatique sera tel et le niveau de la mer aura augmenté de telle façon que tout cela deviendra extrêmement couteux », avertit Marc Robin. « Il faudra alors réfléchir à une recomposition territoriale. » Contraintes « Le nouveau zonage risque d’être un peu plus contraignant que le premier (…) Cette fois, la révision prend en compte l’élévation de l’océan et la récurrence de tempête plus fortes », affirme Fabien Gaborit. En discussion avec l’Etat sur les contours du plan, lui écarte l’éventualité d' »abandonner à la nature certains territoires » en déclarant des zones urbanisées inhabitables. « Ce qui est là, il faudra qu’on l’endigue », défend-t-il. « Le bâti existant, on le défendra jusqu’au bout ». © AFP
A Noirmoutier, une lutte coûteuse et "permanente" contre le risque de submersion
goodplanet.info
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🎥 Aude, l'eau dans tous ses états Le dernier épisode de Sale temps pour la Planète à ne pas manquer, diffusé lundi 3 juin à 21h sur France 5 ! Quand on évoque l’Aude, on ne parle quasiment jamais du département. Les guides touristiques n’ont pas assez de superlatifs pour raconter les châteaux Cathares, la cité de Carcassonne ou son joyau, le fameux Canal du Midi. Voilà pour la carte postale mais l’envers du décor est moins reluisant : l’Aude manque d’eau. L’eau est à la fois le moteur de l’économie régionale mais aussi son talon d’Achille. Aujourd’hui, ici, on dit qu’il pleut mal ! Sur le pourtour méditerranéen, c’est à peine 150 millimètres d’eau qui tombent chaque année. C’est autant qu’au Sahara ! Un drame quand on sait qu’il faut le double de pluviométrie pour irriguer les parcelles de vignes qui jalonnent la région. La navigation sur le Canal du Midi, elle aussi, nécessite un volume d’eau important… Paradoxe de ce pays de Cocagne, il peut ne pas pleuvoir pendant des mois et soudain, il peut tomber des trombes d’eau. L’Aude a la particularité d’être située dans une zone propice aux épisodes cévenoles ou méditerranéens, connus pour leur potentiel dévastateur et meurtrier. Élu en 2020, Eric Menassi, le maire de Trèbes en sait quelque chose. Quatorze victimes des crues rien que dans sa commune. Aujourd’hui, comme son homologue de Villegailhenc, il fait tout pour rendre plus résilient sa ville en privilégiant la sécurité de ses populations au détriment du développement démographique et économique de sa commune.
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Première Conseillère chez CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE PACA - co-animatrice de la communauté Transition écologique des JF
La montée des eaux en Méditerranée ne concerne pas uniquement Alexandrie : toutes les villes méditerranéennes devraient se poser la question des mesures d'adaptation à prendre (rapidement, si possible) et de leur coût : relocalisation des habitants, des entreprises, des entrepôts ; protection des infrastructures exposées à la montée des eaux ; réflexion sur la localisation des ports dans la ville... Attendre que la mer monte ne règlera pas le problème et coûtera plus cher... Sur ce sujet, on peut déjà lire l'enquête de la Chambre régionale des comptes Provence-Alpes-Côte d'Azur sur la politique de la région PACA relative à l'aménagement du littoral et aux enjeux environnementaux en Méditerranée (https://lnkd.in/ddjGxy_x) ou le contrôle de la Chambre régionale des comptes Occitanie sur le Grand Narbonne (https://lnkd.in/dGYJruVP). En attendant d'autres publications des CRC sur la gestion du littoral... https://lnkd.in/d_Y7zyHB
Egypte : avec la montée du niveau de la mer, la ville d'Alexandrie pourrait disparaître selon le Giec
francetvinfo.fr
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