🎓 L’inscription est ouverte pour la cohorte d'été (en anglais) du cours du Cyberinstitut de la SCÉ, Vérité et réconciliation pour l’évaluation. Ce cours se déroulera du 16 juillet à la fin août. Cette cohorte facilitée offre aux évaluateurs l’occasion de s’engager activement dans le processus de vérité et de réconciliation. Il couvre l’histoire et l’impact durable du système des pensionnats indiens canadiens sur les élèves autochtones et leurs familles, et offre des conseils sur la façon dont les pratiques d’évaluation peuvent faire progresser la vérité et la réconciliation. Il a été conçu dans le cadre d’un partenariat avec Hotıì ts’eeda et les évaluateurs autochtones Dr Kim van der Woerd et Sofia Vitalis de Reciprocal Consulting, une société de conseil en gestion autochtone primée, spécialisée dans l’évaluation et la recherche. « Il s'agit d'un cours très bien conçu sur un sujet très important et d'actualité. Je me suis sentie concernée par la matière de bien des façons - en tant que personne non autochtone, Canadienne, membre d'une famille, ainsi qu'en tant qu'évaluatrice. » - participant récent Le nombre de places est limité à 25 apprenants. Vous pouvez vous inscrire et en savoir plus sur le cours en cliquant ici. ➡️ https://buff.ly/46jaQHy Comme pour tous les cours du Cyberinstitut, les membres de la SCÉ bénéficient d'une remise de 20 %, et les ÉQ d'une remise de 30 %. #evaluation #cyberinsitut #SCE #véritéetréconciliation
Post de Canadian Evaluation Society - Société canadienne d'évaluation
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🎓 L’inscription est ouverte pour la cohorte d’automne (en anglais) du cours du Cyberinstitut de la SCÉ, Vérité et réconciliation pour l’évaluation. Ce cours se déroulera du 28 septembre à la fin novembre. Cette cohorte facilitée offre aux évaluateurs l’occasion de s’engager activement dans le processus de vérité et de réconciliation. Il couvre l’histoire et l’impact durable du système des pensionnats indiens canadiens sur les élèves autochtones et leurs familles, et offre des conseils sur la façon dont les pratiques d’évaluation peuvent faire progresser la vérité et la réconciliation. Il a été conçu dans le cadre d’un partenariat avec Hotıì ts’eeda et les évaluateurs autochtones Dr Kim van der Woerd et Sofia Vitalis de Reciprocal Consulting, une société de conseil en gestion autochtone primée, spécialisée dans l’évaluation et la recherche. « Il s'agit d'un cours très bien conçu sur un sujet très important et d'actualité. Je me suis sentie concernée par la matière de bien des façons - en tant que personne non autochtone, Canadienne, membre d'une famille, ainsi qu'en tant qu'évaluatrice. » - participant récent Le nombre de places est limité à 25 apprenants. Vous pouvez vous inscrire et en savoir plus sur le cours en cliquant ici. ➡️ https://buff.ly/46jaQHy Comme pour tous les cours du Cyberinstitut, les membres de la SCÉ bénéficient d'une remise de 20 %, et les ÉQ d'une remise de 30 %. #evaluation #cyberinsitut #SCE #véritéetréconciliation
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Fiscaliste international | Avocat associé et conseil fiscal | Publications fiscales | Expert en politiques fiscales | manager de transition l chargé d’enseignement
En France on a une mauvaise habitude dont science po est un exemple. ➡️ on part de l’idée que certaines écoles ne sont pas assez ouvertes et ce n’est pas nécessairement faux lorsque l’on constate la proportion de fils d’anciens élèves etc (on a/avait ce problème En médecine) ➡️ on affirme donc qu’il faut supprimer les concours Peut être faut il se poser plutôt la question d’une part de réforme des concours (le monde change les concours doivent évoluer) mais surtout en amont comment prépare t on de manière équivalente les élèves sans fermer des portes à des élèves qui, dans les mêmes conditions, auraient les capacités Apprenons de nos erreurs et de science po qui a reformulé ses concours mais qui ensuite parfois a mis en place un système qui sanctionne certains élèves qui ont le niveau. Il ne s’agit pas de discriminer ceux qui ont la capacité, mais d’aider ceux qui ne viennent pas du bon endroit. Les uns ne sont pas incompatibles avec les autres ?
Y a-t-il une limite aux délires? Savourez -avec mesure- les propos d’une sociologue dont je veux oublier jusqu’au nom, qui promeut l’idée d’un tirage au sort pour l’accès notamment aux grandes écoles, les concours étant jugés inégalitaires. Le mythe de l’égalité réelle a encore frappé. D’ailleurs je propose à cette sociologue d’être la première à entrer à l’X, en auditeur libre. Et si elle résiste et réussit les contrôles… pourquoi pas. Mais non: elle déclarera que les contrôles sont inégalitaires et doivent s’adapter aux « nouveaux publics. » Alors oui, la culture ça s’hérite. Pour progresser, il faut monter sur les épaules de ses prédécesseurs. Cet héritage passe par les grands-parents, les parents, il est accompagné et enrichi par l’école, mais l’école ne peut se substituer à l’héritage. La montée, elle est un effort. Il y faut parfois plusieurs générations.
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Un exemple à suivre
Madame Pascale GUEI-ECARE, Présidente de l’Ordre des Experts-comptables de Côte d’Ivoire, Administrateur Général de CI-EXCELSIOR et par ailleurs Présidente de la 2A-ECS. Un parcours atypique et authentique pour inaugurer en beauté notre rubrique « À la rencontre de l’Ancien ». Des conseils pour les jeunes étudiants au crépuscule de leurs parcours scolaires, Comment additionner vie de famille et vie professionnelle ? Laissez vous édifier par cette intervention qui dissout nos doutes et renforce notre détermination !
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Bonjour à toutes et à tous, Toute l'équipe pédagogique (Christine, Véronique, Alexandra, Marie-Laure, Maryline, Sandrine, Cindy, François, Cédric, Cyrille, Michaël et Bruno) vous souhaite une bonne et heureuse année 2024. Qu'elle puisse vous apporter la paix pour pouvoir la diffuser autour de vous. Nous vous souhaitons également d'apprendre, encore et encore, y compris de vos erreurs pour continuer à grandir dans vos projets professionnels et personnels. Nous savons qu'une des compétences clés est de prendre des décisions. Nous partageons donc notre "Poème de la décision" dans cette courte vidéo, disponible sur notre blog ...https://lnkd.in/exVCHyVy
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L’éducation aux médias et à l’information en tête des priorités des EGI Les États généraux de l'information viennent de livrer leurs conclusions. A l’instar de tous les rapports émis depuis dix ans, l’éducation aux médias et à l’information (EMI) arrive en tête des priorités de ces EGI qui ont fédéré, neuf mois durant, de nombreuses énergies, avec une cinquantaine d’experts, 22 assemblées citoyennes, des centaines d’auditions et de contributions écrites. Le CLEMI salue cette prise de conscience dans la société civile et rappelle l’engagement de l’Education nationale dans ce domaine. Le renforcement de l’EMI est d’ailleurs inscrit dans les engagements de cette rentrée avec la mise en œuvre des nouveaux programmes d’enseignement moral et civique de la 6e à la Terminale. Cette évolution s’inscrit dans un train de mesures qui a permis ces dernières années de renforcer l’EMI sur l’ensemble du territoire à, autour et en dehors de l’Ecole. Si l’ambition de faire une priorité de l’éducation à l’esprit critique et aux médias n’est donc pas une nouveauté, elle reste une exigence forte, partagée par tous les acteurs de l’enseignement et des médias qui demandent à être davantage soutenus dans le cadre de politiques stratégiques clairement définies. Cette exigence doit en effet guider les politiques publiques dans des sociétés démocratiques menacées dans leur équilibre même par la diffusion sans régulation suffisante des théories du complot, des discours de haine et de la désinformation. Cette réalité n’épargne aucune région du monde où l’on constate, en particulier en période électorale, la montée des populismes qui prospèrent sur bipolarisation du débat public et la radicalisation des opinions. En portant cette priorité à l’échelle de l’Europe, les contributeurs à ce rapport ont désigné le bon échelon d’intervention. Impliqué avec nombre de partenaires à l’international dans la lutte contre la désinformation, le CLEMI soutient toute mesure visant à créer un espace européen mieux régulé et mieux outillé pour lutter contre la désinformation et le cyberharcèlement. Aucune politique, dans ces domaines, ne peut fonctionner qui laisserait de côté la dimension éducative. Car c’est dès les plus jeunes âges qu’il faut agir, dès l’école, là où l’on devient citoyen. Ces EGI doivent donner lieu à des réponses concrètes et urgentes. Dans le cadre de son conseil d’orientation et de perfectionnement, que préside Nathalie Sonnac, le CLEMI se saisira de ce rapport pour aider à concrétiser ces propositions dans le champ de l’EMI et d’une citoyenneté numérique renforcée. Pour consulter le rapport : https://lnkd.in/e29wrqrZ Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Reporters sans frontières (RSF) Bruno Patino Thibaut Bruttin Serge Barbet Virginie Sassoon
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L’éducation aux médias, c’est un sujet passionnant et ô combien essentiel aujourd’hui
L’éducation aux médias et à l’information en tête des priorités des EGI Les États généraux de l'information viennent de livrer leurs conclusions. A l’instar de tous les rapports émis depuis dix ans, l’éducation aux médias et à l’information (EMI) arrive en tête des priorités de ces EGI qui ont fédéré, neuf mois durant, de nombreuses énergies, avec une cinquantaine d’experts, 22 assemblées citoyennes, des centaines d’auditions et de contributions écrites. Le CLEMI salue cette prise de conscience dans la société civile et rappelle l’engagement de l’Education nationale dans ce domaine. Le renforcement de l’EMI est d’ailleurs inscrit dans les engagements de cette rentrée avec la mise en œuvre des nouveaux programmes d’enseignement moral et civique de la 6e à la Terminale. Cette évolution s’inscrit dans un train de mesures qui a permis ces dernières années de renforcer l’EMI sur l’ensemble du territoire à, autour et en dehors de l’Ecole. Si l’ambition de faire une priorité de l’éducation à l’esprit critique et aux médias n’est donc pas une nouveauté, elle reste une exigence forte, partagée par tous les acteurs de l’enseignement et des médias qui demandent à être davantage soutenus dans le cadre de politiques stratégiques clairement définies. Cette exigence doit en effet guider les politiques publiques dans des sociétés démocratiques menacées dans leur équilibre même par la diffusion sans régulation suffisante des théories du complot, des discours de haine et de la désinformation. Cette réalité n’épargne aucune région du monde où l’on constate, en particulier en période électorale, la montée des populismes qui prospèrent sur bipolarisation du débat public et la radicalisation des opinions. En portant cette priorité à l’échelle de l’Europe, les contributeurs à ce rapport ont désigné le bon échelon d’intervention. Impliqué avec nombre de partenaires à l’international dans la lutte contre la désinformation, le CLEMI soutient toute mesure visant à créer un espace européen mieux régulé et mieux outillé pour lutter contre la désinformation et le cyberharcèlement. Aucune politique, dans ces domaines, ne peut fonctionner qui laisserait de côté la dimension éducative. Car c’est dès les plus jeunes âges qu’il faut agir, dès l’école, là où l’on devient citoyen. Ces EGI doivent donner lieu à des réponses concrètes et urgentes. Dans le cadre de son conseil d’orientation et de perfectionnement, que préside Nathalie Sonnac, le CLEMI se saisira de ce rapport pour aider à concrétiser ces propositions dans le champ de l’EMI et d’une citoyenneté numérique renforcée. Pour consulter le rapport : https://lnkd.in/e29wrqrZ Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Reporters sans frontières (RSF) Bruno Patino Thibaut Bruttin Serge Barbet Virginie Sassoon
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Voici une biographie de notre nouveau président🇸🇳 Bassirou Diomaye Faye.
#BIOGRAPHIE Qui est Monsieur Bassirou Diomaye FAYE ? Né en 1980 à Ndiaganiao dans le département de Mbour Bassirou Diomaye Diakhar Faye a fait ses humanités à l’École catholique Marie médiatrice de Ndiaganiao, avant de venir à Mbour pour faire son parcours collégiale, où il obtient son baccalauréat en 2000 au Lycée Demba Diop. Bien souvent premier de sa classe, Bassirou a reçu l’annonce des résultats du Bac par des larmes de déception. Déception parce qu’il ne cherchait pas seulement le Bac mais avec la mention ! Ayant obtenu ce sesame d’office mais sans mention, Bassirou a été cueilli par son frère car il refusait de rentrer à la maison. C’était en 2000. Orienté à la faculté de droit il est de titulaire d’une maîtrise à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar En 2004, trois mois après avoir obtenu sa maîtrise en droit, Bassirou fait les concours de l’Ena et de la magistrature, il les réussit tous les deux en se positionnant parmi les 5 premières places. Finalement il choisit d’aller aux impôts et domaines et est donc formé pour devenir un inspecteur. Bassirou rencontre Biram Souley Diop et Ousmane Sonko aux impôts et domaines et s’embarque dans le syndicat dirigé par ce dernier. Syndicat qu’il dirige lui-même avant de céder sa place. En 2014, le parti politique pastef est créé, il était simple invité dans les réunions du bureau politique tout au début avant d’être incontournable grâce à la pertinence de ses idées, de sa rigueur surtout de sa production intellectuelle. Très vite, il dirige les cadres de Pastef qu’il combine avec la diaspora. Très proche de Sonko, Bassirou est le genre qui s’oppose farouchement lorsqu’il n’est pas d’accord avec une idée ou une approche mais aussi qui se range avec fidélité et loyauté lorsqu’une décision est prise fut-elle en contradiction avec la sienne. Bassirou est un esprit brillant, très discret, froid dans l’analyse, cohérent dans les idées et sait exactement dans chaque situation donnée comment maîtriser ses sentiments. Diomaye est un littéraire achevé, un lecteur assidu, un poète qui jusqu’à ce jour refuse de publier ses pérégrinations ! En dehors de la fiscalité, du droit, des finances et de l’économie, Bassirou est un passionné d’agriculture et d’élevage. Les dimanches et les congés, surtout en période d’hivernage, Bassirou les passe au village, dans les champs. À titre anecdotique Diomaye est un producteur de papaye. Arrêté pour avoir critiqué le fonctionnement de la justice, il est incarcéré au cap manuel depuis le 03 mai 2023. Et pourtant, il était bien averti qu’il était dans le collimateur de Macky Sall, mais Diakhar, signifiant celui qui ne peut avoir peur, répondait par ironie : « On ne peut arrêter la mer avec ses bras. » Bassirou Diomaye Faye, SG de l’ex Pastef est aujourd’hui le choix de Ousmane Sonko, par conséquent du parti des militants et sympathisants des alliés. Bassirou Diomaye Faye le choix !
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Opportunité
Parce que nous avons tous besoin du premier coup de main Parce que nous avons tous débuté Parce ce que les seniors et expérimentés d'aujourd'hui, sont les juniors d'hier Parce ce que l'union fait la force Aux cadets, mon humble cadeau pour l'année 2024 UCAO-UUT FUPA - FACULTÉS UNIVERSITAIRES PRIVÉES D'ABIDJAN Université Félix Houphouët-Boigny Akassi Emmanuela Akoi Ange Désirée Yoboué
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tel était mon cas
Je n'ai pas eu mon CEPE (entrée en 6ème), j'ai échoué de moins de 10 points . Je n'ai pas eu mon BEPC (ou si vous préférez, mon brevet des collèges), j'ai échoué calmement. Comme si cela ne suffisait pas, les sœurs de Notre-Dame du Plateau m'ont renvoyé car ma conduite n'était pas exemplaire 😅 J'ai effectué mon secondaire au lycée français Jean Mermoz. On dit que le bac français est facile, mais j'ai dû aller aux rattrapages avec un écart de 38 ou 40 points. Mon papa, malgré mon échec, a dansé le jour de mes résultats. Je n'oublierai jamais ce qu'il m'a dit : "Ma fille, je ne pensais même pas que tu pouvais obtenir autant de points, tellement je pensais que tu ne valais rien. Mais avec les notes que j'ai vues, j'ai espoir et je sais que ça va aller." 😆 Moi-même, je disais à qui voulait l'entendre que l'école n'était pas faite pour moi : " donnez-moi un ballon de basket et je m'en sortirai " Vingt ans plus tard, trois Master 2 plus tard, Chevalier de l'ordre du Mérite dans le domaine du numérique en Côte d'Ivoire, je suis citée parmi les femmes les plus influentes d'Afrique dans le domaine du Digital. Tout cela pour dire à quelqu'un que dans la vie, il ne faut jamais négliger une personne, car on ne connaît pas son avenir. Ton "nullard" d'aujourd'hui peut devenir par exemple ton DG demain... Tu peux échouer à plusieurs reprises, être parmi les derniers pendant des années, jusqu'à ce que tu trouves ta voie et que tu brilles de mille feux. Chers petits frères et sœurs qui avez échoué à vos examens, sachez que ce n'est pas la fin du monde. Gardez la tête haute, la foi en DIEU, et retroussez vos manches pour reprendre là où vous avez fauté. Ne baissez jamais les bras et gardez votre vision. Demain n'est pas encore arrivé 🙏 Félicitations aux Admis 🎉 #ThanxGod #CherchePasAPlaire #SocialMedia #Digital #AfricaDigital #SublimezCeQueVousAvez #LaVieDesGensHeureux
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--journaliste reporter sénégalais @livesn, journaliste pigiste à confidentielafrique, ancien journaliste d’investigation à @kewoulo,chargé de com à @macandmore, attaché de presse au @studiosankara
#BIOGRAPHIE Qui est Monsieur Bassirou Diomaye FAYE ? Né en 1980 à Ndiaganiao dans le département de Mbour Bassirou Diomaye Diakhar Faye a fait ses humanités à l’École catholique Marie médiatrice de Ndiaganiao, avant de venir à Mbour pour faire son parcours collégiale, où il obtient son baccalauréat en 2000 au Lycée Demba Diop. Bien souvent premier de sa classe, Bassirou a reçu l’annonce des résultats du Bac par des larmes de déception. Déception parce qu’il ne cherchait pas seulement le Bac mais avec la mention ! Ayant obtenu ce sesame d’office mais sans mention, Bassirou a été cueilli par son frère car il refusait de rentrer à la maison. C’était en 2000. Orienté à la faculté de droit il est de titulaire d’une maîtrise à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar En 2004, trois mois après avoir obtenu sa maîtrise en droit, Bassirou fait les concours de l’Ena et de la magistrature, il les réussit tous les deux en se positionnant parmi les 5 premières places. Finalement il choisit d’aller aux impôts et domaines et est donc formé pour devenir un inspecteur. Bassirou rencontre Biram Souley Diop et Ousmane Sonko aux impôts et domaines et s’embarque dans le syndicat dirigé par ce dernier. Syndicat qu’il dirige lui-même avant de céder sa place. En 2014, le parti politique pastef est créé, il était simple invité dans les réunions du bureau politique tout au début avant d’être incontournable grâce à la pertinence de ses idées, de sa rigueur surtout de sa production intellectuelle. Très vite, il dirige les cadres de Pastef qu’il combine avec la diaspora. Très proche de Sonko, Bassirou est le genre qui s’oppose farouchement lorsqu’il n’est pas d’accord avec une idée ou une approche mais aussi qui se range avec fidélité et loyauté lorsqu’une décision est prise fut-elle en contradiction avec la sienne. Bassirou est un esprit brillant, très discret, froid dans l’analyse, cohérent dans les idées et sait exactement dans chaque situation donnée comment maîtriser ses sentiments. Diomaye est un littéraire achevé, un lecteur assidu, un poète qui jusqu’à ce jour refuse de publier ses pérégrinations ! En dehors de la fiscalité, du droit, des finances et de l’économie, Bassirou est un passionné d’agriculture et d’élevage. Les dimanches et les congés, surtout en période d’hivernage, Bassirou les passe au village, dans les champs. À titre anecdotique Diomaye est un producteur de papaye. Arrêté pour avoir critiqué le fonctionnement de la justice, il est incarcéré au cap manuel depuis le 03 mai 2023. Et pourtant, il était bien averti qu’il était dans le collimateur de Macky Sall, mais Diakhar, signifiant celui qui ne peut avoir peur, répondait par ironie : « On ne peut arrêter la mer avec ses bras. » Bassirou Diomaye Faye, SG de l’ex Pastef est aujourd’hui le choix de Ousmane Sonko, par conséquent du parti des militants et sympathisants des alliés. Bassirou Diomaye Faye le choix ! #5emepresidentdusenegal #politique #senegal #Pastef
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