Post de Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières

ARMATEURS DE FRANCE SALUE LE LANCEMENT DE L’OPÉRATION EUROPÉENNE ASPIDES EN PROTECTION DES NAVIRES DE COMMERCE EN MER ROUGE Face à la persistance et à la gravité des attaques ciblant les navires de commerce et leurs équipages, dans le sud de la Mer rouge et le nord-ouest de l’Océan indien, l’Union européenne a lancé le 19 février 2024 l’opération ASPIDES. Armateurs de France salue cette initiative qui aura pour mandat l'accompagnement des navires civils et leur protection contre les menaces multi-sectorielles, dans le respect du droit international.   Il est essentiel que les moyens et modalités précises de l’opération soient rapidement définis pour que la sécurité des équipages et la liberté de navigation, priorités des compagnies maritimes, puissent être pleinement garantis dans cette zone qui concentre 12% du commerce maritime international. #ActuADF  Pour consulter l'actualité et la note de position 👉 https://lnkd.in/grb4R4g2 Marine Nationale Pierre-Antoine Rochas Jean-Philippe Casanova MICA Center AFP International Chamber of Shipping European Community Shipowners' Associations (ECSA) Jean-Marc ROUE Contexte Le Monde le marin JOURNAL DE LA MARINE MARCHANDE gCaptain Offshore Energy Splash Maritime and Offshore News (splash247.com)

🚢🔴 Sécurité et Prudence en Mer Rouge : CMA CGM Suspend ses Traversées 🚢🔴 Face aux récentes tensions en mer Rouge, quelle mesure considérez-vous comme la plus efficace pour garantir la sécurité du transport maritime dans cette zone stratégique ? #MerRouge #SécuritéMaritime #TransportMaritime #Logistique #CrisisManagement #FretMaritime #Innovation #GlobalTrade #SustainableShipping #InternationalRelations 🔗 CMA CGM cède à son tour et suspend ses traversées par la mer Rouge https://lnkd.in/dxyMpGjg

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La réglementation actuelle stipule que les évaluations de la stabilité sont nécessaires lorsqu’un navire a subi une modification importante; toutefois, il n’existe pas de définition claire de ce que cela implique. C’est pourquoi à la suite du rapport d’enquête (M21A0065) sur le chavirement mortel du bateau de pêche Tyhawk en 2021, le BST a émis deux recommandations (M23-06 et M23-07) à Transport Canada - Transports Canada afin qu’il établisse des critères objectifs pour définir les modifications importantes et exige un processus formel pour évaluer et documenter les modifications prévues. Pour en savoir plus : https://ow.ly/YYfz50TlaT6 #SécuritéMaritime #BateauDePêche #StabilitéDesNavires

⛴️Le naufrage du ferry Le Joola s'est produit dans la nuit du 26 au 27 septembre 2002, causant la mort de 1 863 personnes, avec des estimations de victimes dépassant 2 000. Le navire, surchargé avec près de 1 900 passagers pour une capacité de 536, a chaviré en moins de dix minutes au large de la Gambie. Les causes incluent une mauvaise gestion, un équipage insuffisamment formé et l'absence de permis de navigation. Seules 65 personnes ont survécu, et l'affaire a été classée sans suite par la justice sénégalaise. ⛴️#LES #CAUSES DU NAUFRAGE: 🟢#Surcharge de passagers : Le ferry transportait plus de 1 900 personnes, bien au-delà de sa capacité de 536. 🟡#Mauvais état du navire : Le Joola naviguait sans permis depuis 1999 et présentait des vices de construction. Formation insuffisante de l'équipage : Le personnel n'était pas adéquatement formé pour gérer des situations d'urgence. 🔴#Négligence des autorités : Des manquements dans la gestion et l'entretien du navire ont été signalés, malgré des alertes sur son état préoccupant. #LES PROBLÈMES 🔵#Absence de visites de sécurité : Depuis 1991, aucune inspection de sécurité n'avait été validée, malgré des rapports du Bureau Veritas indiquant des travaux d'entretien non réalisés. 🟢#Vices de construction : Le navire présentait des défauts structurels dès son origine et naviguait sans titre de sécurité depuis 1996 et sans permis depuis 1999. 🔴#État préoccupant : En 2000, le Joola avait été déclassé en raison de son état jugé dangereux, mais il a continué à naviguer. Ces négligences étaient connues des autorités, qui ont continué d'exploiter le navire. ⛴️♦️Les autorités sénégalaises ont justifié la non-réalisation des travaux d'entretien demandés pour le Joola par une combinaison de négligence et d'inefficacité administrative. Malgré les alertes sur l'état du navire, les travaux requis n'ont jamais été effectués, et ces problèmes étaient bien connus de l'État et de l'armée. Les enquêtes ont révélé que le navire naviguait sans titre de sécurité depuis 1996 et sans permis depuis 1999, mais il a continué à être exploité. En fin de compte, la responsabilité a été attribuée uniquement au commandant du navire, négligeant les manquements systémiques. ⛴️♦️Les familles des victimes du naufrage du Joola perçoivent la justice avec un profond sentiment d'injustice et d'oubli. Elles estiment que les responsables, tant politiques que militaires, n'ont pas été tenus pour responsables des négligences ayant conduit à la catastrophe. #Patrice Auvray, survivant, souligne que les victimes ont été ignorées avant même le naufrage, appelant à une réouverture du dossier et à des hommages significatifs. #Nadine Verschatse, militante pour la reconnaissance des victimes, insiste sur la nécessité de ne pas banaliser cette tragédie et de poursuivre le combat pour la mémoire et la justice.

𝐋'𝐚𝐝𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐨𝐮𝐚𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐦𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐮𝐧𝐞 #𝐜𝐚𝐫𝐭𝐨𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐢𝐞_𝐝𝐞𝐬_𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐫 𝐬𝐞𝐬 𝐞𝐟𝐟𝐨𝐫𝐭𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐢𝐥𝐥𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐛𝐚𝐧𝐝𝐞. Récemment, une patrouille dirigée par le directeur général des Douanes, Ernest Zafivanona Lainkana, a couvert une vaste zone, incluant Analalava, les îles maritimes environnantes, la côte Ouest jusqu'au Sud, et la côte Est jusqu'à Antsiranana, ainsi que Morombe et Toliara. 🟦 L'objectif est de surveiller de près les zones non occupées et de renforcer les patrouilles pour prévenir les importations, exportations et contrebande. Cette initiative vise à identifier les zones sensibles pour des interventions plus efficaces et à établir une cartographie des risques pour localiser les points de passage des trafiquants. Cette action contribue à la lutte contre le trafic de richesses nationales et les stupéfiants, malgré la difficulté de couvrir un littoral de 5 000 km.

Neuf pays de l'Océan Indien unis pour renforcer la sécurité maritime Dans une démarche concertée visant à assurer la sécurité des eaux de l’Océan Indien contre les trafics de produits illicites, neuf pays se sont mobilisés dans un exercice test majeur. Les Comores, Djibouti, Kenya, Madagascar, Maurice, Mozambique, France/Réunion, Seychelles et la Tanzanie ont uni leurs forces pour renforcer la surveillance maritime dans la région. L'exercice, financé par le projet CRIMARIO II de l’Union européenne, a mis à profit le Centre régional de fusion d’informations maritimes (CRFIM) à Madagascar et le Centre régional de coordination des opérations (CRCO) aux Seychelles. Martin Cauchi Inglott, l'un des principaux organisateurs de l'événement, a souligné : "Au total, 11 scénarios ont été joués, mettant l'accent sur les personnes, les drogues et la lutte contre la pêche illicite." La simulation a impliqué des incursions de navires suspects, suivies d'un partage d'informations entre les pays participants pour coordonner une réponse efficace. Les capacités opérationnelles maritimes régionales ont ainsi été mises à l'épreuve, avec un accent particulier sur la coordination inter-agences grâce à la plateforme de communication IORIS. Le projet CRIMARIO, axé sur le renforcement des capacités techniques des des pays participants, a joué un rôle crucial dans cette initiative. Les agents, restés dans leurs pays respectifs, ont collaboré étroitement pour contrer les menaces en matière de sécurité maritime. Raj Mohabeer de la Commission de l’Océan Indien a souligné l'importance de ces exercices pour renforcer la coopération entre les centres nationaux et régionaux. "L’Océan Indien est exposé à de multiples formes de trafics, et ces exercices contribueront à renforcer la sécurité maritime dans la région", a-t-il ajouté. Les participants ont également abordé la question de la recherche et du sauvetage en mer, ainsi que les défis liés à la coordination des opérations dans le cadre des accords régionaux de la COI. Cette initiative vise à empêcher les réseaux mafieux de trouver refuge dans la région, en mettant un terme aux activités de contrebande de produits dangereux et à la vente d'armes. En somme, cet exercice témoigne de l'engagement des pays de l'Océan Indien à travailler ensemble pour assurer la sécurité maritime et contrer les menaces transnationales qui pèsent sur la région.

🚨 ACTUALITES CMA CGM / MER ROUGE 🚨 CMA CGM a décidé vendredi 2 février de suspendre le transit de ses navires par la mer Rouge, où de nombreux navires ont été visés par des attaques des rebelles houthistes. La décision a été prise sera maintenue "jusqu’à nouvel ordre", "pour ne pas prendre de risque", a indiqué cette source, qui souligne que le suivi se fait "d’heure en heure". Comme d’autres armateurs, CMA CGM avait interrompu le transit par la mer Rouge le 16 décembre, avant de le reprendre le 27 décembre. Mais contrairement à d’autres, la compagnie a continué tout le mois de janvier malgré plusieurs attaques dans la zone. Désormais, une large partie du trafic maritime entre l’Asie et l’Europe évite le Canal de Suez et contourne l’Afrique par le cap de Bonne Espérance rallongeant les délais de navigation d'une douzaine de jours. Quant au surcoût potentiel, il devrait être nul. En effet, et selon la taille des navires, les compagnies maritimes économiseront entre 400,000 et 600,000 $ de droits de passage au Canal de Suez tout en ayant des hausses de charges de fonctionnement qui s'élèvent environ à 60,000 $ par jour de navigation. Sparx Logistics ne manquera de vous tenir informés si les choses en la matière évoluaient différemment. #cmacgm #merrouge #import #export #logistics #sparx #canaldesuez