🚨 𝐁𝐫𝐚𝐝𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐋𝐢𝐥𝐥𝐞 🇫🇷 : 𝟓𝟎𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝟑𝟑𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐫𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐮𝐞𝐬 ! 🚨 ✔️ Alors que c'est demain que va commencer la traditionnelle 𝐁𝐫𝐚𝐝𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐋𝐢𝐥𝐥𝐞, la plus grande de France 🇫🇷, les restaurateurs ont prévu de battre des records puisque c'est 𝟓𝟎𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐥𝐞𝐬🍽️ venant principalement des Pays Bas 🇳🇱 qui ont été commandées ainsi que 𝟑𝟑𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐫𝐢𝐭𝐞𝐬 🍟 afin de rassasier les 𝟐.𝟓 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐮𝐬 ! 👉 𝐁𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐛𝐫𝐚𝐝𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐮𝐫𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐛𝐨𝐧 𝐚𝐩𝐩𝐞́𝐭𝐢𝐭 🍴 ! #braderie #lille #nord #chnord #tradition #brocante #évènement #moules #frites #chiner #chineur #videgrenier
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Tu fais péter 180 millions d’euros lors de votre apéro du jeudi soir 💥 C’est ce qui se passe lorsque tu débouches une belle bouteille de vin où les quatre lettres “D I A M” sont inscrites sur le bouchon. Tu n'as jamais remarqué ce détail, et moi non plus. Mais ce bouchon est un bijou de technologie et en 2020, ces petits cylindres de liège ont généré près de 180 millions d’euros de chiffres d’affaires pour le groupe qui domine le marché. Pour un rapide contexte, le marché du bouchon de liège représente 2 milliards d’euros en 2023, et représentera 5 milliards en 2032 avec la consommation toujours grandissante de Vin et Mousseux. 50% du marché est concentré en Europe, et il semble alors évident que le leader du marché en viendra. Et il s’est imposé en offrant toujours plus d’innovation à un secteur qui semble pourtant très simple. Qui se cache derrière ces bouchons “DIAM” ? Diam Bouchage anciennement nommée Maison Sabaté, voit le jour en 1939 en fabricant des bouchons au bouleau. Dès les années 50, l’entreprise donne le ton et commence à innover dans le secteur du lavage des bouchons et de la fabrication de bouchons en liège micro-granulés. En 2001, la société fusionne avec Diosos, spécialisée dans la fabrication de tonneaux et le conseil œnologique et en 2005, la Maison Sabaté devient Diam Bouchage, marquant le début d'une nouvelle ère avec l'introduction du bouchon Diam. Diam bouchage a réussit la prouesse d’innover sur un bouchon de liège sans dénaturer l’objet et tout l’expérience oenologique associée. A titre d’exemples : 👉🏼 En 2003, elle développe le procédé Diamant®, un processus utilisant le CO2 supercritique pour éliminer les composés volatils du liège et ainsi prévenir le goût de bouchon 👉🏼 En 2016, elle introduit Origine by Diam®, un bouchon écologique utilisant de la cire d'abeilles et des polyols 100% végétaux. Pour proposer des solutions d’avenir qui accompagneront les futurs modèles de consommation. Aujourd’hui, Diam bouchage est le leader mondial des bouchons en lièges et emploi près de 600 collaborateurs. L'entreprise produit chaque année environ 2,3 milliards de bouchons, avec 80 % de ses ventes réalisées à l'exportation. Alors la prochaine fois que tu t'apprêteras à déguster une bonne bouteille de vin, prends quelques instants pour déceler ces quatre petites lettres. Même si ton vin n’est pas un grand cru, tu sauras que ce petit bouchon est porteur de chiffres colossaux ! Et si tu veux découvrir d’autres entreprises et marchés dont vous n’avez jamais entendu parler : n’hésites pas à me follow 🤝 --- Je suis Dom, j’accompagne les dirigeants de TPE et PME dans leur digitalisation et toutes les semaines je mets en lumière l’entrepreneuriat dont peu de gens parlent. 👉🏼 Tu veux en apprendre sur les PME qui performent et comment elles deviennent des leaders de leur marché ? Suis moi !
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𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗧𝗘𝗡𝗗𝗔𝗡𝗖𝗘 : 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗻𝘀 🍷 𝗹𝗲́𝗴𝗲𝗿𝘀, 𝗕𝗼𝗿𝗱𝗲𝗮𝘂𝘅 🍇 𝗿𝗲𝘃𝗶𝗲𝗻𝘁 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝘀𝗼𝗻 𝗯𝗼𝗻 𝘃𝗶𝗲𝘂𝘅 #Clairet ! 𝙀𝙭𝙥𝙡𝙞𝙘𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 : Alors que les tendances de consommation évoluent vers des rouges plus légers et «faciles», ce #vin historique du Bordelais refait son apparition, poussé par la nouvelle génération mais encore snobé par certains acteurs commerciaux. Lorsqu'il est question de vin à #Bordeaux, les Anglais ne sont jamais bien loin. Dès le Moyen Âge, ce sont eux qui se régalent du «𝘍𝑟𝘦𝑛𝘤ℎ 𝑐𝘭𝑎𝘳𝑒𝘵», courant à l'époque, que l’on produisait en pratiquant des macérations courtes. En ce temps-là, point de cuvées boisées et opulentes aux tannins soutenus. Il faut attendre le XVe siècle et le départ de l'occupation anglaise pour voir la production doucement s'orienter vers des cuvaisons longues et donc des flacons destinés à la garde. Le bordeaux-clairet renaît au milieu du XXe siècle, sous l'impulsion des caves coopératives. Les châteaux établis ne s'y aventuraient pas, en tout cas pas officiellement. «C'était le vin de famille que l'on ne commercialisait pas. Quand mon père l'a mis sur le marché en 1982, il a été vu comme un ovni», témoigne Antoine Carteyron, à la tête du Château Penin. 40 ans + tard, plus personne ne s'étonne de voir des propriétés se mettre – ou se remettre – à faire du clairet. Il faut dire que les rouges légers ont la cote. Il suffit d'observer les grands faiseurs s'agiter pour proposer ces jus fluides, digestes et à l'aise avec les nouvelles façons de consommer le vin, qui n'a plus forcément besoin des repas pour exister. «𝐿𝑒 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑒𝑠 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠», juge Antoine Carteyron. À l'heure des grands défis bordelais, avec des ventes en berne et des primes à l'arrachage, le #clairet représente une opportunité de séduire de nouveaux consommateurs 👨👩👦👦 en restant fidèle à son histoire. 𝑹𝒆𝒔𝒕𝒆 𝒂̀ 𝒔'𝒆𝒎𝒑𝒂𝒓𝒆𝒓 𝒄𝒐𝒏𝒄𝒓𝒆̀𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒄𝒆 𝒍𝒆𝒗𝒊𝒆𝒓... 👉🏻 En 2023, seules 90 propriétés déclaraient en produire. Des chiffres encore trop faibles pour partir à la conquête d'un marché déjà largement occupé par d’autres régions productrices moins frileuses pour s’emparer des codes contemporains. Au fond, ce bordeaux-clairet et sa difficulté à exister, malgré une dynamique notable, symbolise le problème que rencontre la filière en 2024. https://lnkd.in/dYkUZvwb
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🍷📈 Je démocratise le vin et la collection de vin | Fondateur de La Petite Cave | Auteur chez Snowball | Investisseur Fond Privé
📣 VIN’ACTU DE JUILLET 👉 Grèves administratives Les membres de la Fédération des Caves des Vignerons Coopérateurs du Vaucluse font une grève administrative. Cela implique de fermer la porte aux administrations publiques qui viendraient faire des contrôles dans leurs bureaux. Pourquoi ? Toute la filière réclame des mesures de simplification administrative. Trop de démarches similaires pour des organismes différents, trop de paperasse à remplir ce qui fait que certains responsables d’exploitation se sentent plus bureaucrates que vignerons. 👉 Une vente aux enchères particulière ! Avis aux collectionneurs : tu pourras le 12 novembre prochain mettre la main sur l’un des 600 panneaux d’appellation de Bourgogne. Situés sur le bord des routes de Bourgogne, annonçant le début de chaque aire d’appellation, ces panneaux ont été changés dernièrement. L’occasion d’acheter un petit bout de Bourgogne pour la déco du salon. 😃 👉 Le Pineau des Charentes mise sur les US Avec la perte de vitesse des ventes de Cognac, c’est le cousin Pineau des Charentes qui souhaite bien prendre la main aux Etats-Unis ! La volonté se formalise avec la nouvelle présidente du Comité National du Pineau des Charentes. ⭐ Prochain pays viticole présenté : les Etats-Unis 🇺🇸 On continue le tour du monde des pays viticoles avec cette fois les Etats-Unis, l’un des poids lourds dans le monde du vin ! Histoire, régions, cépages, cuvées à découvrir, on te présente tout ça dans la Vin’Actu ! 🍷 C’était un extrait de la Vin’Actu, pour avoir toutes les actus et avoir les infos du thème du mois, direction la WineLetter Premium ! ⭐️ Sans oublier que la Wineletter Premium c’est aussi tous les avantages suivants : - réduction chez des partenaires (cavistes, etc.) - 1 bouteille offerte tous les mois par tirage au sort - l’accès à ton sommelier privé - et bien d’autres avantages ! Le lien est en commentaire 😉 🚨 Attention, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération ! #lapetitecave #vin #winetime #wine
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Les bons tarifs pour vendre plus et mieux : sur Internet, aux professionnels, en Europe et à l'Export.
Vignerons Champenois : la tentation du volume ? Vendredi est paru dans le journal de la Champagne - L’Union - un entrefilet qui représente un « cas » passionnant de stratégie pour les grandes écoles et universités et j’en recommande la lecture à tous les enseignants. On y encourage les vignerons de Champagne à suivre la voie tracée par le Bordelais et qui a fait de ce magnifique vignoble un champ de ruines où ne survivent que quelques grandes signatures. Qui a déjà oublié le bordeaux millésime 2021 vendu en avril dans une enseigne de Carrefour 1,66 € ? La recette du désastre est simple : j’ai du mal à vendre mes vins avec rentabilité, alors je vais en produire encore plus. Sans regarder ce que les marchés - et d’abord mes clients « historiques » - sont encore prêts à absorber. De par la concurrence d’autres régions, d’autres pays, d’autres modes d’achat, de consommation et, plus largement, de l’évolution des modes de vie. De par le vieillissement irrémédiable de ma clientèle « fidèle », en l’absence de renouvellement significatif comme d’ouverture vers de nouveaux débouchés, tous ces facteurs me limitant à une source d’activité qui se tarit inexorablement… Je vends à perte, alors je vais essayer de vendre toujours plus, pour compenser. Mais à une clientèle qui s’évapore jour après jour. Pour cela, je vais geler mes prix. Alors que mes coûts de production explosent… Et comme je ne suis pas capable de vendre avec rentabilité à Tours ou St Malo, je me dis que je saurai le faire à Hambourg ou Tokyo ! Il suffira de quelques heures de formation… En amont, les experts-comptables pourront l’affiner, mais chaque bouteille de Champagne vendue par un vigneron à - environ - moins de 17 € TTC gâche les grappes qui l’ont fait naître. Ces grappes représentent à elles seules autour de 10 € TTC en valeur de matière première mise en œuvre pour chaque bouteille. En aval, n’oublions surtout pas les conclusions de l’enquête présentée en février dernier par le Comité : pour la nouvelle clientèle à acquérir puis fidéliser, en gros les 25 / 35 ans, un Champagne affiché à moins de 25 € ne mérite aucune attention. S’ils veulent juste se faire un petit plaisir sans chichi, un crémant d’Alsace, de Loire… ou un Franciacorta vers 14 / 15 € sera parfait. Un « Grand » d’ailleurs plutôt qu’un « petit » de Champagne. En 2023, la profession a réussi un exploit : elle a encaissé autant d’argent qu’en 2022, presque 6,5 milliards d’Euros, en économisant autour de 25 millions de bouteilles ! Oui, la Champagne a gagné sur les deux tableaux. Bien vu, car avec le dérèglement climatique et le souci d’une viticulture plus « verte » les méga-rendements vont s’éloigner dans le rétroviseur. Être plus rentable avec moins de grappes : tant de vignerons Champenois le font déjà, avec succès. 2024 sera moins « fun » car partout soufflent des vents mauvais. Encore une raison de travailler vers le haut valeurs et clientèles, plus que les volumes. On en reparle ?
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Pour une concurrence loyale entre hôtellerie-restauration et cabanes de dégustation d'huîtres, en Charente-Maritime, un arrêté préfectoral fixe désormais les règles en lieu et place de charte de 2015, jugée insuffisante pour éviter les dérives. Un enjeu économique important pour les deux filières. A lire sur sudouest.fr #economie #tourisme #hotellerierestauration #ostréiculture #larochelle #charentemaritime #îlederé https://lnkd.in/d-UVRfvX
« Ça ne pouvait pas durer ! » : les dérives des cabanes à dégustation d’huîtres sont dans le viseur en Charente-Maritime
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Wines & spirits geek | Entrepreneur | Marketing & Branding | I put swiss wines on the map! #marketing #branding #communication #strategy #ecommerce
La hiérarchie informelle des vins : les clés pour acheter malin et ne pas faire comme moi. Lorsque j’ai commencé à m’intéresser au vin vers 18 ans, j’ai souvent acheté des bouteilles que je trouvais décevantes avant de comprendre qu’il y avait une hiérarchie informelle entre les appellations et les cépages. Si on devait donner quelques exemples, on pourrait dire que le Pinot Noir est jugé plus noble (et donc plus cher) que le Merlot, lui-même plus noble que la Syrah, elle-même plus noble que le Mourvèdre… Pour qui, pourquoi ? Histoire, tradition, notes des critiques, etc. Du côté des appellations, même histoire avec une observation supplémentaire : la spécificité rafle la mise. L’AOC Saint-Emilion Grand Cru est donc plus valorisée (et plus petite) que l’appellation Saint-Emilion, elle-même plus valorisée et plus petite que l’appellation Bordeaux. En général, plus c’est petit, plus c’est limité, donc rare, donc cher. Logique. Ce qui est délicat à comprendre c’est qu’il s’agit parfois de vins produits dans la même région, avec les mêmes cépages qui pourtant ne jouent pas dans la même catégorie. Grosso modo : 4 euros < AOC Bordeaux > 15 euros 10 euros < AOC Saint-Emilion > 80-100 euros 50 euros < AOC Saint-Emilion Grand Cru > 1'000 euros. L’erreur classique quand on débute c’est de succomber aux sirènes des noms ronflants (ou spécifiques) alors qu’on n’a pas forcément le budget. Avec une 10aine d’euros en poche, la reco pour éviter les déconvenues c’est donc de viser le haut du panier d’une appellation qui peut sembler plus simple (ici AOC Bordeaux) plutôt que l’entrée de gamme d’une appellation plus prestigieuse. Pour schématiser avec un exemple qui n’est plus tout à fait vrai aujourd’hui mais qui parlera au plus grand nombre : c’est sûrement plus cool de rouler en voiture asiatique full équipée plutôt qu’en berline allemande sans option. Bien sûr, ce raisonnement vaut si l’objectif visé est le bon rapport qualité / prix. Si l’objectif est d’en mettre plein la vue alors on fait l’inverse 😊. Si tu veux plus d’infos, n’hésites pas à commenter ou écrire en MP. ___________________________________________________________________________________ PS : ces propos ne font pas bien évidemment pas état de généralités. Il s'agit de questions survenues lors de dégustations avec mes clients. La même logique peut s'appliquer à d'autres appellation Châteauneuf-du-Pape, Barolo, etc.
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� Nouveau règlement en Charente-Maritime : Vers une meilleure régulation des cabanes ostréicoles � Guillaume Jacques, président de l’UMIH en Charente-Maritime, se félicite de l’arrêté préfectoral n° 24/23 du 11 juillet. Ce document vise à réglementer l’activité de dégustation de coquillages, mettant fin aux dérives observées dans certaines cabanes transformées en bars ou boîtes de nuit. L’objectif ? Assurer une concurrence loyale et préserver l’authenticité des cabanes ostréicoles, tout en permettant à la filière conchylicole de valoriser ses productions. Une mesure nécessaire pour que chacun puisse exercer son métier dans le respect des règles. #CharenteMaritime #Ostréiculture #Réglementation #UMIH #Tourisme
« Ça ne pouvait pas durer ! » : les dérives des cabanes à dégustation d’huîtres sont dans le viseur en Charente-Maritime
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[ Top départ de la production de la teinte #Tradiver à Saint-Romain-Le-Puy (Loire) ] 💡 Le saviez-vous ? La teinte de verre #Tradiver est celle des grands crus classés et des vins prestigieux. ✨ Synonyme d’excellence, cette couleur de verre se distingue par son élégance sombre et son pouvoir filtrant qui garantie la préservation des propriétés organoleptiques des grands vins. 🏭 Deux fois par an, le site forézien, mobilise l’un de ses deux fours pour produire cette célèbre teinte unique qui différencie ces vins d’exception, fleurons du savoir-faire viticole français. 🚀 La verrerie de Saint-Romain-Le-Puy est le seul site à fabriquer cette teinte spécifique aux grands crus. Les standards qualité de ces bouteilles exigent une production « 0 défaut ». Des tris sur-mesure sont effectués pour assurer une qualité irréprochable. Certaines bouteilles sont équipées de QR code garantissant la traçabilité de ces bouteilles d’exception. ♻️ Cette teinte est respectueuse de l’environnement car elle intègre plus de 85% de verre recyclé ! #verre #grandscrus #savoirfaire #fabriquéenfrance
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Comment réinjecter de la marge dans tous les maillons de la chaîne de valeur du vin, producteur, grossiste ou négociant-importateur et distributeur ? On en parle dans La Tribune Bordeaux avec Thomas HEBRARD, le directeur général de U'wine, qui a des idées sur le sujet.
ENTRETIEN. « La distribution du vin a oublié ses consommateurs ! » La crise dans le vin, Thomas HEBRARD l’a vue venir dans le cadre de son activité de négoce et de gestion d’actifs. Le dirigeant de U'wine cible particulièrement la problématique de la marge et réfléchit à des solutions pour réinventer la filière. Une stratégie « pour remettre de la marge dans la chaîne de distribution » qu’il présente à La Tribune alors que l’Assemblée nationale doit précisément lancer une mission d’information sur la distribution des vins. Un article d'Hélène Lerivrain #vin #viticulture #consommation #vigne #distribution
« Bordeaux est l'épicentre de la crise viticole et nous ne sommes qu'au début ! »
objectifaquitaine.latribune.fr
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De l'élevage bien entendu ! Des cuves, des foudres, des barriques, neuves ou d'occasion, ils sont des leviers importants pour garantir un intéressant potentiel de vieillissement aux vins 🍷 https://lnkd.in/dgyB87En FEDERATION DES TONNELIERS DE FRANCE Château Brane-Cantenac
Margaux : Brane-Cantenac, le château qui aime le bois
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