Post de Groupement Lacroix & Savac

JO 2024 : le plein de transports décarbonés 💪🏆 Le Ministère de la Transition Écologique s’est engagé à rendre les Jeux Olympiques 2024 plus vertueux et durables. ➡ Le défi est important : accueillir 15 millions de visiteurs tout en limitant les émissions de carbone. Ainsi, 95 % des sites sportifs existent déjà ou ont une vocation éphémère, 30 disciplines sont accessibles dans un rayon de 10 km autour du Village des athlètes et 85 % des sportifs sont logés à moins de 30 minutes de leurs sites de compétition. Une décision contribuant à limiter les déplacements tout en instaurant une mobilité durable : ✅ 100% des sites de compétition accessibles en transports en commun ✅ 400 km de pistes cyclables relient les sites olympiques, dont 120 ont été créés spécialement pour l’occasion ✅ 46 000 cycles en libre-service (Vélib et opérateurs privés) ✅ 27 000 places de stationnement sécurisées provisoires pour les vélos autour des sites (dont 10 000 à Paris) ✅ 1000 taxis verts (électriques ou hybrides) accessibles aux PMR ✅ 800 bornes de recharge pour véhicules électriques mises à disposition des organisateurs et des délégations pendant les compétitions ✅ 20 bateaux équipés d’un moteur électrique défileront lors de la cérémonie d’ouverture Des innovations qui prouvent que nous sommes sur la bonne voie de la transition écologique. Continuons d'accélérer les choses !   Et vous, allez-vous assister à une épreuve ? Dites-nous comment vous avez prévu de vous y rendre ! 🚈🚲🚕 #JO2024 #mobilité #transition

Il y aurait bien à redire sur l’impact environnemental d’une compétition comme les JO 2024 à Paris (sponsors peu écoresponsables, impact des arrivées en avion etc...).  Cela dit, EDF a frappé très fort avec la nouvelle flamme olympique sui s’élève chaque soir au sommet du jardin des Tuileries. Un magnifique hommage au premier ballon qui renoue avec l’esprit pionnier de notre beau pays : en 1783, le premier ballon à hydrogène s’élevait du champ de mars. Une flamme qui n’en était pas une  L’énergéticien EDF a réalisé une illusion parfaite : une flamme olympique qui brûle sans combustible. En réalité, il s'agit d'un anneau lumineux éclairant de la vapeur d'eau. Cet anneau de 7 mètres de diamètre est équipé de 40 projecteurs LED illuminant l'eau vaporisée par environ 200 buses. Les LED, avec une intensité de 400 lumens, sont conçues pour que la flamme électrique illumine le ciel parisien, même en plein jour. Le dispositif consomme 25 kilowatts d'électricité. « C'est l'équivalent de 25 fours électriques », souligne Luc Rémont, le PDG d'EDF. « Ce n'est vraiment pas grand-chose. » Le système utilise entre 2 et 3 mètres cubes d'eau par heure, dont une partie est récupérée sous forme de gouttelettes retombant dans le bassin sous la vasque. Dommage toutefois que les promeneurs se voient refuser l’accès à la flamme à mains d’être doté du sacro-saint QR code. Mais si d’aventure vous flânez dans les rues parisiennes, armez vous de patience, la flamme s’élève dans la nuit. Appréciez vous ces JO ? Peut-on s’entousiasmer malgré la crise écologique ? On vous attend dans les commentaires. 

La tenue des événements sportifs de grande envergure, tels que la Coupe d'Afrique des Nations (CAN), avec la protection de l'environnement est un défi passionnant et crucial. Ces compétitions rassemblent des équipes nationales, des supporters enthousiastes et des médias du monde entier, créant un impact significatif sur l'environnement. Cependant, plusieurs stratégies peuvent être adoptées pour concilier ces événements majeurs avec la protection de notre planète. Premièrement, la planification durable est essentielle. Les organisateurs de la CAN peuvent privilégier des sites respectueux de l'environnement, favorisant la biodiversité locale et utilisant des infrastructures existantes pour minimiser la destruction de l'écosystème. La conception des stades peut également intégrer des technologies écoénergétiques et des matériaux durables. La gestion des déchets constitue une priorité. Des systèmes de recyclage efficaces et des programmes de compostage peuvent être mis en place dans les stades et les zones environnantes. Encourager les supporters à adopter des pratiques éco-responsables, comme l'utilisation de contenants réutilisables, contribue également à la réduction des déchets. En ce qui concerne le transport, promouvoir des options durables est essentiel. Mettre en place des navettes, des transports publics efficaces et des infrastructures adaptées aux vélos encourage les participants et les spectateurs à choisir des modes de déplacement respectueux de l'environnement. En outre, encourager le covoiturage peut réduire l'empreinte carbone associée aux déplacements. L'aspect énergétique joue un rôle majeur. Les organisateurs peuvent opter pour des sources d'énergie renouvelable pour alimenter les stades, comme l'énergie solaire ou éolienne. La sensibilisation à l'efficacité énergétique auprès des équipes, des officiels et des supporters peut également contribuer à minimiser la consommation d'énergie. Les initiatives de responsabilité sociale et environnementale peuvent être intégrées. Des partenariats avec des organisations écologiques et des projets de reboisement peuvent compenser les émissions de carbone générées par l'événement. Les sponsors et les équipes peuvent être encouragés à soutenir des causes environnementales. Enfin, la communication et l'éducation sont essentielles. Les organisateurs peuvent sensibiliser les participants, les médias et les supporters aux enjeux environnementaux, en mettant en avant les actions positives entreprises. Les athlètes peuvent être des ambassadeurs de la durabilité, transmettant des messages écologiques aux fans du monde entier. En somme, concilier les événements sportifs de grande envergure comme la CAN avec la protection de l'environnement nécessite une approche holistique, impliquant la planification, la gestion des déchets, le transport durable, l'utilisation d'énergies renouvelables, la responsabilité sociale et la sensibilisation.

Mobilité routière : un éventail de solutions hydrogène Depuis le 26 juillet, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 ont placé la France sous le feu des projecteurs. Cet évènement mondial, au-delà de sa dimension sportive, constitue une occasion unique pour le pays de montrer son engagement en faveur de la transition écologique et énergétique. C’est également une formidable opportunité de visibilité pour la filière hydrogène, mise en l’honneur lors de cette édition. Le comité d’organisation de Paris 2024 a exprimé l’ambition de proposer des Jeux Olympiques à la fois spectaculaires et responsables, alignés pour la première fois sur l’Agenda Olympique établi en 2020 par le Comité International Olympique. Paris 2024 s’est ainsi engagé à réduire l’impact écologique d’un tel évènement en adoptant une approche plus durable, plus responsable et plus inclusive. Avec de nombreuses applications déployées, les solutions hydrogène se sont particulièrement illustrées dans le domaine de la mobilité.

JOURNEE MONDIALE SANS VOITURE. MERCI DE BIEN VOULOIR PARTAGER LARGEMENT CETTE PUBLICATION; Châteauroux Métropole enchaine les évènements, après les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, place à la journée mondiale sans voiture. La « Journée Mondiale sans Voiture », née en France en 1998, est aujourd’hui largement déployée par les métropoles en France, ainsi que par de plus en plus de villes moyennes. La proposition d’un dimanche sans voiture à Châteauroux a émergé de citoyens, ainsi que dans le cadre du programme « Tous à vélo 2024-2025 ». La Ville de Châteauroux a donc décidé de participer à l’édition 2024 de cette initiative, qui aura lieu le dimanche 22 septembre prochain. Une zone de la Ville sera donc fermée aux voitures individuelles, entre 10h et 17h, et des animations seront proposées par des associations sportives et culturelles sur les places et lieux de la Ville fermées aux voitures. Les Journées européennes du Patrimoine ayant lieu le même weekend, une programmation culturelle spéciale sera également mise en place. Les principaux objectifs de cette journée sont : 1. 1. de permettre aux habitants de découvrir l'espace urbain d'une manière nouvelle : sans bruit, avec une meilleure qualité de l’air, en déambulant sur des espaces dégagés de voitures ; 2. 2. de promouvoir les modes de transports alternatifs (transports en commun, vélo et marche notamment) ; 3. 3. de profiter d’un temps festif et convivial en plein air, où les castelroussins pourront découvrir leur ville autrement. L’initiative fera également la promotion du sport et de la convivialité portés autour des JOP 2024. Nous avons besoin de bénévoles, ces derniers seront nécessaires pour : • Renforcer les associations participantes, • Préparer les installations, • Sécuriser le périmètre interdit aux véhicules. Vous pouvez me contacter par e-mail ou bien en laissant un message sur mon répondeur. #departementindre #chateaurousmetropole #indreenberry #36sorties #Rensho #ecomobilité #mobilitedurable #vélo #véloécoleinclusive #formation #apprentissage #perfectionnement #circulationaveloenville #circuleraveloauxabordsdelentreprise #Rencontresduvélo #mobilitésdouces #mobilitésactives #sécuritéroutière #cyclisme #indretourisme

Le monde du sport est en première ligne face au réchauffement climatique, et la question de l’eau est au cœur des enjeux. Ce matin, à l’Académie du climat, j’ai pu discuter des différentes initiatives de la Ville de Paris visant à répondre à ces défis climatiques à travers le sport lors de la conférence eau & sport dans la Ville. Selon le rapport WWF 2021, les Français pourraient perdre jusqu'à 24 jours de pratique sportive par an dans un monde où la température augmente de 2°, et jusqu'à deux mois dans un monde à +4°C. Le sport, à travers ses événements et ses athlètes, représente néanmoins un moyen efficace d'accélérer la transition écologique et de limiter l'impact du changement climatique. C’est pourquoi, en accueillant les Jeux de Paris 2024, la Ville de Paris a cherché à transformer le modèle des grands événements en se basant sur les objectifs établis lors des accords de Paris, afin de réduire son empreinte carbone : L'accueil de cet événement exceptionnel a permis à la Ville d'accélérer considérablement ses transformations : ✅ La sortie de l’utilisation du plastique à usage unique est déjà une réalité concrète, et cette politique sera appliquée à toutes les courses sur route à Paris à partir de septembre 2024. Cette initiative majeure permettra d'éviter la consommation de 800 000 bouteilles par an, soit 12 tonnes de plastique par an. Les points de ravitaillement seront désormais alimentés par le réseau d'eau de Paris. ✅ Les Jeux ont également favorisé le développement des mobilités douces, avec la pérennisation de plus de 60 km de pistes cyclables et la mise en place de 185 km de voies olympiques sur le périphérique dont 35 km seront, pérennisées et réservées aux transports en commun, covoiturage et véhicules propres. ✅ En accueillant les Jeux, l'assainissement de la Seine a été accéléré de 10 ans, symbolisant un héritage emblématique des Jeux. Dès cet été, les athlètes pourront y nager lors des compétitions. De plus, trois sites de baignade seront ouverts au grand public dans la Seine dès 2025. ✅ Nous avons aussi entrepris des travaux d'amélioration thermique dans cinq sites : Jeux, Poissonniers, Max Rousié, Vallerey, Dauvin, et Coubertin. ✅ L'Adidas Arena, avec ses deux gymnases de proximité, représente la seule construction parisienne spécifiquement prévue pour les Jeux de Paris 2024. Elle illustre l'héritage matériel désiré pour la Ville et constitue un exemple de construction à faible empreinte carbone, intégrant des équipements thermiques novateurs, une installation de froid géothermique, ainsi que des panneaux solaires. Des mesures nécessaires pour assurer un futur viable à la pratique sportive tout en démontrant l’impact majeur de ce monde dans le changement des mentalités et les transformations concrètes pour les habitants.

Je n’en ai pas toujours eu conscience, mais mon secteur d’activité (l’événementiel) est extrêmement polluant. Cela fait un certain temps que je souhaitais écrire sur l’impact environnemental des grands rassemblements sans trop savoir par quel bout le prendre. A la veille de l’arrivée de la flamme olympique à Marseille, je me lance. 🔥 Qu’il s’agisse d’événements sportifs ou non, réunir des milliers de personnes du monde entier, au même endroit, pendant une courte période a un coût écologique énorme : déchets, consommation d’énergie ou d’eau, alimentation… Tout en haut de la liste : le transport du public, des équipes et des artistes/athlètes. En même temps, ces rassemblements nous unissent et nous procurent de la joie. Alors comment conjuguer avec cette dualité ? Le Marathon du Mont-Blanc propose une réponse qui devrait prendre de l’ampleur dans les années à venir. 40% des dossards seront réservés aux participants ayant choisi le train comme moyen de transport (https://lnkd.in/eT9vfASi). Alors certes il y a encore du travail. Mais c’est un début prometteur qui devrait amener les acteurs de l’événementiel à repenser leurs politiques en matière d’acheminement du public. Ps : Bravo à Clean my Calanques (Céline Albinet) qui refusent de porter la flamme sponsorisée par le champion du monde de la pollution, Coca-Cola. (https://lnkd.in/ezpUNbBC) Pps : Bravo aussi à tous les athlètes et sportifs engagé.es qui travaillent à changer les imaginaires du sport pour réduire l’impact de ces rassemblements. Matthieu Witvoet, Benjamin de Molliens, Perrine L., Alexis Pinturault, Innes FitzGerald, Kilian Jornet, Isabelle Autissier et beaucoup d'autres ! —- 🗣 Si vous me découvrez, j’ai co-fondé l’agence d’intervenant.es et événementielle dédiée aux bouleversements écologiques Les Rêveilleurs.

A part celui contenu dans le souffle rauque du pratiquant, il y aurait des émissions de CO2 dans le sport ? En fait, dans le monde moderne dopé aux combustibles fossiles, la bonne question serait plutôt de savoir quelle activité peut prendre place sans apporter, ici ou là, une contribution plus ou moins significative à la dérive climatique ! Dans le cas particulier de l'exercice physique (le vôtre ou celui des autres), les émissions, insignifiantes ou pas, peuvent provenir des postes suivants : - les déplacements des pratiquants (quand vous prenez la voiture pour emmener votre bambin ou votre propre carcasse jusqu'au stade de foot, à la piscine ou au début du parcours de footing, ou, plus émissif, quand vous prenez l'avion pour aller encourager votre équipe préférée dans un pays étranger) - les déplacements des spectateurs s'il y en a - la fabrication des équipements, des chaussures et vêtements appropriés aux stades et aux remontées mécaniques, sans oublier les vélos et les raquettes de tennis - le fonctionnement de ces mêmes équipements quand il y a besoin d'énergie pour cela (chauffage des piscines, des stades, ou... refroidissement de la piste de ski indoor de Dubai !) - la nourriture et les boissons lors des virées au stade - la logistique d'une manifestation (le marathon de Paris demande toute une organisation qui va avec des émissions : il faut déplacer du personnel, le loger et le nourrir, tracer le parcours...) - et encore quelques bricoles qu'il serait fastidieux d'énumérer ici. En ligne avec son mandat habituel, The Shift Project s'est posé la question de savoir comment il est possible de continuer à célébrer le sport tout en émettant de moins en moins pour répondre à cet usage. Comme il y a une grande diversité de pratiques sportives, nous avons démarré par les "grandes manifestations", qui concentrent une part non négligeable des émissions. Pour ces dernières, outre tout ce qui précède (et ce qui va peser en premier est généralement les déplacements des spectateurs), il faut rajouter les retransmissions télévisées, qui utilisent une partie du système digital mondial, lequel commence à avoir une empreinte carbone respectable. Le rapport dit "intermédiaire" sera présenté le 19 mars prochain, en présentiel pour celles et ceux qui habitent la Capitale des Gaules, et en visio sinon. Un "rapport intermédiaire" expose nos réflexions en cours, sans que nous considérions le travail comme terminé. C'est pour nous l'occasion de soumettre nos constats et propositions à toute personne intéressée, afin d'obtenir des retours (critiques, suggestions, questions) qui permettront d'enrichir la démarche, pour faire une version définitive idéalement plus pertinente. L'un des intérêts - et pas le moindre - du sport est que tout le monde voit de quoi il retourne. Comme pour le climat c'est déjà un peu moins vrai, le fait d'associer les deux permettra peut-être de toucher un nouveau public, du moins nous l'espérons.

La Mobilité Douce : Déjà médaille d'or des JO en France 🥇 🏆 🎯 À l'approche des Jeux Olympiques, une nouvelle tendance s'annonce comme le tube de l'été : la Mobilité Douce ! 🌍🌞 La France, célèbre pour sa culture, son histoire, et bien sûr, sa passion pour le sport, accueillera bientôt des milliers de visiteurs pour les Jeux Olympiques. Cette affluence exceptionnelle souligne la nécessité de repenser notre façon de nous déplacer au cœur des métropoles et à travers notre pays de manière plus globale. La Mobilité Douce, englobant les vélos, trottinettes électriques, scooter électriques et autres moyens de transport doux , se positionne comme le véritable Athlète Olympique de cet été. Ces solutions non seulement réduisent notre empreinte carbone, mais offrent également une réponse intelligente à la densité de population accrue pendant l'événement. Imaginons des rues animées par des flottes de vélos partagés, des trottinettes électriques élégamment parcourant les ruelles et des citoyens optant pour des modes de déplacement respectueux de l'environnement. Non seulement cela contribuera à réduire les embouteillages, favorisera un mode de vie sain et actif pour les résidents et les visiteurs et permettra une multitude de rencontres et d'échanges entre passionnés olympiques de tout horizon. Les Jeux Olympiques nous offrent l'opportunité unique de mettre en avant la Mobilité Douce, de montrer au monde entier que des alternatives durables existent et peuvent être adoptées massivement. C'est un moment propice pour sensibiliser, éduquer et inspirer chacun d'entre nous à repenser notre façon de se déplacer au quotidien. Alors, en cette saison estivale, engageons nous à faire de la Mobilité Douce notre alliée privilégiée. Ensemble, faisons de nos centres-villes des espaces où l'effervescence des Jeux Olympiques se marie harmonieusement avec des modes de déplacement respectueux de notre planète. #JeuxOlympiques #VéloEnVille #DéplacementsDurables #Environnement 🌐🚲

🚗 Post-JO 2024 : Voies Olympiques Reconverties en Voies de Covoiturage 🚦 Après les Jeux Olympiques de Paris 2024, certaines voies réservées, comme le boulevard périphérique, seront transformées en voies de covoiturage. 🌿Cette initiative fait partie du Plan Climat de Paris, visant à réduire la pollution et les embouteillages. 📊 Points clés : - Nouvelles règles pour les gestionnaires de parc - Promotion du covoiturage pour une mobilité durable - Utilisation d'outils comme Pilote 6.0 pour gérer les amendes et optimiser la flotte 💡 Préparez-vous dès maintenant pour cette transition et profitez des avantages du covoiturage. 👉 En savoir plus sur ces nouvelles règles et solutions : https://lnkd.in/emus5waY #MobilitéDurable #JO2024 #Covoiturage #GestionDeFlotte #Paris