Post de Origine France Garantie

J’ai pas 𝒓𝒂𝒎𝒆𝒏𝒆́ 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒖𝒑𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏 🎵 C’était mardi soir à l’occasion des trophées de la "Mayenne Innove", organisée par Ouest-France. Faut dire, la concurrence était rude. Bravo à toutes ces pépites mayennaises, misent en lumière pour leur travail du quotidien sur le territoire👇🏻 🏆 Innovation 𝐑𝐒𝐄 : la BLANCHISSERIE DU MAINE utilise déjà 2 fois moins d’eau par kg de linge traité que la moyenne nationale 🧺. La prochaine étape ? Réemploi des eaux de process, soit une économie de près de 30K litres d’eau potable par an 💦 🏆 Innovation 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜̧𝐚𝐧𝐭𝐬 : Hugo MOCQUES qui fédère une communauté de 26K followers grâce à sa communication décalée et à ses offres inventives. Il a augmenté son CA de 20% uniquement grâce à Facebook 👍 🏆 Innovation par l’𝐚𝐭𝐭𝐫𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́ : Airservices France, grâce à ses technologies de pointes avancées, révisent et contrôlent des hélices d’avion. Et ils ne sont que 2 en France à maîtriser la techno 👏 🏆 Innovation par la 𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐲𝐞𝐮𝐫 : la culture d’entreprise forte du groupe V and B lui a permis de se développer autour de son concept initial. Aujourd’hui, V&B c’est aussi un centre de formation, une société de transport, un organisateur de festival… Et pour avoir eu la chance de voir leurs nouveaux locaux récemment, c’est juste canon 🤩 🏆 Innovation par 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐢𝐭 𝐨𝐮 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 : MCTECHS qui transforme des véhicules de série en véhicule hors normes et qui ambitionne de devenir un constructeur à part entière ⚙️ 🏆 Innovation 𝐞́𝐭𝐮𝐝𝐢𝐚𝐧𝐭𝐬 : l'ESTACA - Ecole Supérieure des Techniques Aéronautiques et de Construction Automobile est à fond sur le projet Ouranos avec un projet de planeur autonome électrifié. Ils vont en plus bénéficier du dispositif impulsion de la Région Pays de la Loire 💶 Comme ça, ça me laisse tranquillement le temps de finir les étagères de la cheminée pour accueillir le beau trophée de LAMA'SCOTT l’année prochaine 😉 Département de la Mayenne Crédit Agricole Anjou Maine Le Village by CA Laval Agglomération Mayenne Communauté et Mayenne Ville Aime comme Mayenne Groupe actual Laval Économie CCI DE LA MAYENNE Réseau Initiative Mayenne Laval Mayenne Technopole

⛵ UN JOUR = UN ADHÉRENT ⛵ Naviguer aux côtés de Rivalin, le dernier fabricant de charentaises en France, c'est célébrer l'authenticité et l'artisanat d'exception ! 👞 Contez-nous l’histoire de Rivalin ? "Rivalin, le dernier fabricant de charentaises en France et l’un des trois derniers au monde, a été créé en 1925. A l’époque, on fabriquait beaucoup de sabots. Je représente la 4e génération de cette belle histoire familiale. Aujourd’hui, l’entreprise, labélisée « Produit en Bretagne », emploie 15 personnes. Valoriser le Made in France est très important pour nous. On travaille d’ailleurs avec des entreprises locales, régionales voire nationales. En tant qu’artisan, on privilégie la beauté du produit et le savoir-faire au rendement. On prend le temps de bien faire les choses. Avec le Covid-19, on revient à l’essentiel, à des belles valeurs, et je trouve que l’on tend à ne plus consommer vite, dans l’instant. Nos clients sont prêts à attendre un peu pour avoir de la qualité. Nos produits sont peut-être plus chers que d’autres, mais ils sont plus durables et sont fabriqués à la main en utilisant la technique du cousu-retourné. Rien n’est automatisé. Notre carnet de commandes est plein jusqu’à la fin de l’année !" Vous travaillez toujours comme autrefois… "On utilise des vieilles machines qui ont 50-70 ans. Notre savoir-faire se transmet avec beaucoup de formation en interne, sachant qu’il faut deux à trois ans pour être opérationnel à 100% sur une machine. Elles demandent beaucoup de minutie, de précision. Il faut toujours peaufiner les réglages, comme sur un bateau. Rivalin est également labélisée « Entreprise du patrimoine vivant » par le ministère de l’artisanat, du commerce et du tourisme. Ce label met en avant l’excellence du savoir-faire français." Vous rejoignez la French Touch Family. Pourquoi et qu’est-ce que cela représente pour vous ? "La voile, qui est un milieu que je connaissais peu, a des valeurs similaires à celles des entreprises artisanales. Chaque année, nous sommes confrontés au même défi : attaquer l’hiver et tout faire pour honorer nos commandes à temps. C’est un peu comme si on préparait une course. On a un objectif mais on ne sait pas comment ça va se passer. Et comme en mer, il faut savoir aussi se poser et ralentir un peu le rythme si besoin pour éviter tout problème. J’ai eu la chance de rencontrer Éric qui m’a parlé de son projet. J’aime l’état d’esprit French Touch, le côté famille, entraide…Au lieu d’avoir une seule marque sur le bateau, il y a plein de petits artisans de secteurs différents qui vont apporter leur pierre à l’édifice. Le projet ne vit pas que sur l’eau. C’est intéressant et cela va sûrement nous permettre de s’entraider entre adhérents, de nouer des partenariats entre nous." Un immense merci à Rivalin pour son engagement passionné au sein de la French Touch Family !💫 #Rivalin #seulonvaplusviteensembleonvaplusloin #frenchtouchoceansclub #adagioaparthotel #alpinawatches #fondsinnoveo

La FNTR œuvre pour contribuer à « une Europe du Transport forte, plus juste et durable » lors de cette nouvelle mandature européenne qui s’ouvre. Dans son Livre blanc, la Fédération partage ses 6 priorités européennes du transport routier de marchandises : ➡️ Application du Paquet Mobilité ➡️ Décarbonation du transport routier ➡️ Attractivité du secteur ➡️ Application harmonisée des règles dans le transport d’animaux vivants ➡️ Accès facilité à l’innovation ➡️ Préparation à l’élargissement de l’Union européenne

« Certaines collectivités locales se fichent complètement du Made in France. » Vous ne connaissez pas Emmanuel Musner ? Eh bien, vous allez pouvoir le découvrir le 3 octobre lors de notre événement au siège de la MACIF. Ce sympathique gaillard d’1m92 dirige VITABRI, une #PME de #Besançon qui fabrique des tentes et des abris à déploiement rapide. Si on ferme les yeux, on imagine bien la réunion qui a accouché du nom de l’entreprise. « Bon, les gars, on fait des abris ? » « Ouais ! » « Ils se déploient vite ? » « Ouais ! » « Alors on va s’appeler Vitabri ! » « Ouaaiiiiis ! » « OK. Maintenant, au boulot ! » Les fondateurs qui donnent à leur entreprise un nom qui décrit leur activité sont plus souvent des pragmatiques orientés produit que des marketeurs. Alors, quand la concurrence étrangère arrive avec ses prix cassés et ses belles promesses, il ne leur est pas facile de trouver la parade marketing adaptée. C’est dans ce genre de moment qu’Emmanuel a pris la direction de VITABRI. Il venait de vendre les parts de son imprimerie dont VITABRI était cliente. Quand il est allé voir Alain Stehly, son fondateur, pour lui proposer ses services, ce dernier a donc tout de suite accepté. Très vite, Emmanuel repositionne l’entreprise sur un segment premium. « Dès qu’on répond à un appel d’offres où le prix fait plus de 50 % de la note, on perd. Il a donc fallu faire des choix et n’adresser que les clients qui portent plus d’attention aux critères sociaux, environnementaux ou qui ont des exigences techniques plus importantes. » Les tentes de l’armée, de la sécurité civile, par exemple, où on ne peut pas plaisanter avec l’efficacité. Mais aussi un commerçant qui fait les marchés, un paddock d’équipe de rallye ou un stand d’exposition pour vélo sur une manifestation sportive… Des gens veulent un produit qui dure ou du spécifique. Vitabri peut faire du sur-mesure car elle a intégré toute son activité de production. Notamment celles déléguées chez des entreprises étrangères. Sur ses 6 M€ de CA, 70 % est produit en France et certifié Origine France Garantie. 40 des 55 employés sont en France. « On a investi pour réintégrer l’usinage de pièces en aluminium. Mon objectif est de faire toujours plus de #MadeinFrance, de circuit court et de personnalisation. » Cet épisode nous a valu l’une des conversations qui m’ont donné envie d’écrire « Réindustrialiser au pays des Shadocks ». Emmanuel m’avait appelé, un tantinet agacé, sur un air de : « Bon, Laurent, va falloir qu’on montre qu’aux FFI on sait gueuler. » Un Opco venait de refuser la prise en charge de la formation du personnel affecté à l’utilisation des outils de production qu’il avait relocalisés. L’histoire est rentrée dans l’ordre depuis. Il faut dire qu’Emmanuel a une grosse voix. Et ça, c’est un argument qu’on comprend assez vite. Même chez les Shadocks. « C’est dommage qu’on doive batailler pour obtenir des choses auxquelles on a droit. » Certes. Par Laurent Moisson

Le renouveau industriel de la lunetterie française n’est pas pour demain, mais il est en marche. Le Président Macron a fait de la réindustrialisation un de ses chevaux de bataille, avec son plan France Relance assorti d’une pluie de milliards d’euros de subventions. Il est temps. Le déclin de l’industrie représente 12 % de la valeur ajoutée totale avec pour conséquence une balance commerciale dans les abysses. Un affaissement lié à de nombreux handicaps dont une surenchère décourageante de normes et de lois produites par des gratte-papier en surnombre, une montée en gamme déficiente, des prix élevés, des entreprises de taille insuffisante… Des handicaps, parmi d’autres, qui ont touché la lunetterie française. Il ne faut pas « désespérer Billancourt » pour citer des apparatchiks fossilisés, des acteurs du secteur se bougent. Trois marques indépendantes, Theo, J.F.Rey et John Dalia se sont unies pour reprendre in extremis les activités de Cemo-Decovision, un de leur sous-traitant jurassien en liquidation, fabricant de montures en métal et acétate depuis 1965. Un sauvetage bienheureux, mais qui n’est pas sans risques, eu égard à la situation financière de l’entreprise, les nouveaux propriétaires ne vont préserver que 28 emplois sur 50, ce qui ne manquera pas d’interpeler les clients sur ses capacités de production… Dans un esprit d’alliance stratégique, deux PME aux expertises complémentaires, Opal Demetz et Roussilhe, ont annoncé leur union : la première gère un gros portefeuille de licences enfant et adulte, plus un savoir-faire dans le sport avec Demetz ; la seconde produit des montures labellisées OFG dans deux unités, à Nantes et Oyonnax, pour de nombreuses marques et pour ses marques propres. Ces entreprises sur le pied de guerre entendent dégourdir le Made in France et redimensionner une industrie dramatiquement réduite dans un pays où le travail est déprécié et les usines maudites depuis 40 ans. Dans une tribune récente, Laurent Moisson, entrepreneur et animateur des Forces Françaises de l'Industrie avait proposé au gouvernement Attal de regrouper plusieurs secrétariats d’État sous un ministère « des polémiques et des débats superflus ». Une proposition rejetée. « Il y avait pourtant là de quoi dépenser proprement de l’argent public ! » défendait Laurent Moisson. « Tout en détournant l’attention d’un peuple préférant généralement s’étriper sur des sujets futiles plutôt que de plancher sur des sujets douloureux et techniques. Notamment sur les conditions nécessaires au retour d'une industrie capable de relancer l’ascenseur social et l’intégration. » Tant il est vrai que la classe politique française préfère s’écharper entre elles avec des querelles infertiles et se complaire dans son miroir, plutôt qu’agir en regardant la France dans les yeux et en fronçant les sourcils pour la remettre au travail. Article paru sur Frequenceoptic : https://urlz.fr/pjyX #madeinfrance #industrielunetiere #lunettes #optique #optiquelunetterie 

**UNE GRANDE PREMIERE** Le Comité interprofessionnel des Vins d'Alsace signe une toute nouvelle campagne et offre un coup de projecteur inédit sur l’exceptionnelle richesse des terroirs alsaciens. Il s'agit d'une première en France ! Cette campagne est inédite en tous points. Par sa ligne créative bien sûr, mais également par le choix des médias qui la diffuseront. Soutenus par un plan média national sans précédent, deux films de 30 secondes vont promouvoir les terroirs d’Alsace : 📽 sur grand écran au cinéma, 📺 dans les écrans publicitaires en TV, 📱ou encore en digital. La volonté est de privilégier des emplacements où l’attention est forte, où la qualité audiovisuelle est excellente voire incomparable et qui permettent de s’adresser à un public très large. Produite par le CIVA, cette campagne révèle un style artistique une fois de plus très identitaire à l’Alsace, dans un traité alliant puissance et douceur, intemporalité et modernité. Les images alternent entre gros plans immersifs et vues du ciel captivantes qui intègrent les terroirs dans leur environnement. La promotion des appellations d’origine étant au cœur des missions du CIVA, il s’agit là de rendre justice à la beauté de ces terroirs, de promouvoir ce qui fait la magie des appellations alsaciennes et de valoriser les savoir-faire méticuleux qui s’y déploient depuis des siècles. Après avoir été pionnière en France en lançant la toute première campagne de communication sensibilisant à la consommation responsable, l’interprofession alsacienne continue d'impulser une dynamique forte & interpellante, audacieuse et innovante. 👇 Découvrez ici le 1er spot, baptisé "à l'abri", et restez connectés pour découvrir la splendeur du 2ème spot ! #Alsace #AlsaceRocks #innovation #marketing #communication

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🔔 Retrouvez STERKELEC dans le numéro de SEPTEMBRE (n°440) du Le Journal des Entreprises Pays de la Loire Francois Vinet y partage la vision stratégique de l'entreprise et nos objectifs pour les années à venir 🚀 #paysdelaloire #cobotique #IA

Navee et Zag au JT de 20h ! Un grand merci à Thomas Jarrion, Cléa Jouanneau, et Frédéric Mignard d'avoir rendu nos mamans très fières – et de les avoir enfin aidées à comprendre ce que nous faisons ! 😁 Souligner l'importance de la lutte contre la contrefaçon est crucial, surtout dans des secteurs qui y sont moins souvent associés, comme l'industrie du jouet. Avec Christophe, Ferdinand, Marie-Claire, Bei et le reste des équipes Zag, nous nous battons quotidiennement pour protéger la créativité de l'une des plus belles réussites françaises de ces dernières années. Voir notre travail mis en lumière devant des millions de téléspectateurs à travers la France est une grande satisfaction, mais aussi une occasion de sensibiliser davantage aux conséquences de la contrefaçon: si elle était un pays, elle serait le sixième plus grand émetteur de CO₂ au monde. Elle détruit la vie des personnes qui produisent ces marchandises, endommage l'environnement et impacte fortement les revenus des entreprises les plus vertueuses. Bref, il faut lutter pour l'arrêter, et chez Navee nous travaillons dur pour mettre toute la technologie possible entre les mains des entreprises les plus innovantes, comme ZAG STUDIOS. Le combat continue ! ✊ #Navee #Zag #Contrefaçon #LutteContreLaContrefaçon #IntelligenceArtificielle #Innovation #ProtectionDesMarques #IndustrieDuJouet #Environnement #ImpactSocial #ÉmissionsDeCO2 #MadeInFrance #Technologie #ResponsabilitéSociétale #AntiCounterfeiting #Sustainabilité #Créativité

⏰ J-6 🚀 Lancement de la plateforme Ma Boite Mon Équipe lors du salon Préventica #Strasbourg 👉 Un outil de la CPRIA — Commission Paritaire Régionale Interprofessionnelle de l'Artisanat, conçu par et pour les acteurs de l’artisanat, qu'ils soient chefs d'entreprises ou salariés ! Á découvrir 👀 #DialogueSocial #TPE #artisan #MBME