il y a des vrais différences entre l'assurance d'un immeuble ET l’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou encore celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre). L’assurance multirisques immeuble est encadrée par la règlementation. Il y a un « minimum syndical », disons. L’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre) est contractuelle. Autrement dit, ce qui ne figure pas au contrat n’est pas assuré. Le moindre lampadaire doit être dans le contrat. A défaut, il n'est pas couvert en cas de sinistre.
Post de Prestimm-Services
Plus de posts pertinents
-
il y a des vrais différences entre l'assurance d'un immeuble ET l’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou encore celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre). L’assurance multirisques immeuble est encadrée par la règlementation. Il y a un « minimum syndical », disons. L’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre) est contractuelle. Autrement dit, ce qui ne figure pas au contrat n’est pas assuré. Le moindre lampadaire doit être dans le contrat. A défaut, il n'est pas couvert en cas de sinistre.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
il y a des vrais différences entre l'assurance d'un immeuble ET l’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou encore celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre). L’assurance multirisques immeuble est encadrée par la règlementation. Il y a un « minimum syndical », disons. L’assurance d’une ASL (Association Syndicale Libre) ou celle d'une AFUL (Association Foncière Urbaine Libre) est contractuelle. Autrement dit, ce qui ne figure pas au contrat n’est pas assuré. Le moindre lampadaire doit être dans le contrat. A défaut, il n'est pas couvert en cas de sinistre.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
CLAIMZ - CEO Spécialiste en gestion externalisée des sinistres (MRI, MRH, PNO, AUTO) pour les compagnies d’assurances, courtiers, administrateurs de biens, TPA et particuliers.
𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐈𝐑𝐒𝐈 : 𝐔𝐧𝐞 𝐚𝐟𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞𝐬 ! Cette semaine, explorons comment la Convention IRSI catégorise les sinistres en trois tranches d'indemnisation. De la prise en charge rapide des sinistres inférieurs à 1 600€ aux démarches plus complexes pour ceux dépassant les 5 000€, voyons comment cette convention simplifie et sécurise la gestion des sinistres en immeuble. Claimz #degatdeseaux #conventionIRSI #Incendie #tranchesIRSI
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
#assurance #immobilier Lorsque l’on subit un dégât des eaux, ou lorsque son appartement est détérioré par les flammes, on espère pouvoir vite tourner la page. Notamment en étant rapidement indemnisé par son assurance ! Depuis 2018, c’est désormais possible grâce à la convention IRSI. Le détail de cette innovation en matière de gestion des sinistres dans cet article.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Maitre GWENAHEL THIREL AVOCAT dans le premier sinistre, les causes du mouvement de Sol n’ont ni été recherchées ni été expertisées. Pas sûr que cette construction ne fasse pas l’objet d’un sinistre de troisième génération, si l’Expert Judiciaire n’a pas lui aussi recherché, diagnostiqué les cinq pathologies les plus courantes déclenchant le retrait gonflement des argiles ! Il est temps de changer de paradigme face à la catastrophe financière et humaine annoncée avec la dérive climatique, et les épisodes de sécheresse et d’inondations, de plus en plus forts et récurrents.
Jugement la reprise partielle par injection engage la responsabilité de l assureur car nat et de l injecteur in solidum L origine du deuxième sinistre est directement lié à l’absence de consolidation de l’ensemble du sous-sol de l’habitation. La création d’un point dur sur le côté, Sud a généré le deuxième sinistre à l’opposé dont il est avéré qu’il présente un caractère Decennale. L’injecteur engage sa responsabilité en ce que ses travaux confortatifs sont à l’origine de dommages distinctes, apparu ultérieurement, mais présentant un lien causalité avec ses propres travaux. L’assureur engage sa responsabilité sur le fondement de l’article 1231 du Code civil, , en faisant réparer de façon partielle et Inefficace l’immeuble de son assuré, ce qui a créé un point dur et a contribué à faire faire apparaître un deuxième Sinistre
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📺 #JTCatNat : Comment la Mutuelle de Poitiers Assurances a-t-elle géré le séisme de La Laigne en interne ? Le témoignage d'Emilie TEXIER PICHAULT, Responsable de Service Sinistres IRD à la Mutuelle de Poitiers Assurances, nous éclaire sur la gestion sans précédent du séisme de La Laigne de juin dernier. Pour mieux servir les sociétaires, la Mutuelle a opté pour l'expertise de professionnels en #construction, fournissant ainsi des conseils plus adaptés et précis. En interne, une démarche méthodique a été adoptée pour analyser et répertorier les déclarations de #sinistres, en se concentrant d'abord sur les zones proches de l'épicentre. Pour les sinistres de moindre ampleur, agents et inspecteurs se sont déplacés pour #évaluer, #sécuriser et #rassurer les sociétaires. Cette adaptation rapide a été la clé de leur réponse efficace. Découvrez l'intégralité du JT 👉 https://lnkd.in/e2EQeRwu
Comment la Mutuelle de Poitiers a-t-elle géré le séisme de La Laigne en interne ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Saviez-vous que depuis la loi Alur du 24 mars 2014, c'est le syndicat de copropriétaires qui est tenu de souscrire une assurance responsabilité civile pour l'ensemble de l'immeuble ? Cette assurance, souvent désignée sous le terme d'Assurance Multirisque Immeuble (MRI), couvre des risques variés tels que l'incendie, les dégâts des eaux, et même les catastrophes naturelles, protégeant ainsi les parties communes de l'immeuble. 📜 Un aspect moins connu mais tout aussi important est la clause d’abandon de recours présente dans ces contrats. Elle empêche l’assureur de se retourner contre le copropriétaire responsable d’un sinistre, simplifiant les démarches en cas d’incident. De plus, la Convention IRSI, mise en place en janvier 2012, facilite et accélère le traitement des sinistres, en établissant des règles claires pour la gestion des incidents affectant les parties communes. 🔑 Pour les parties privatives, la responsabilité revient au copropriétaire du bien à l’origine du sinistre. Il est donc essentiel pour chaque propriétaire de bien comprendre son rôle et de s'assurer adéquatement, que ce soit en tant qu'occupant, non-occupant, ou locataire. Finalement, bien que la décision de souscrire l'assurance incombe au syndicat, c'est le propriétaire du bien qui doit s'acquitter des primes, ces dernières étant considérées comme des charges non récupérables du locataire. #Immobilier #GestionImmobilière #Propriétaires
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Saviez-vous que depuis la loi Alur du 24 mars 2014, c'est le syndicat de copropriétaires qui est tenu de souscrire une assurance responsabilité civile pour l'ensemble de l'immeuble ? Cette assurance, souvent désignée sous le terme d'Assurance Multirisque Immeuble (MRI), couvre des risques variés tels que l'incendie, les dégâts des eaux, et même les catastrophes naturelles, protégeant ainsi les parties communes de l'immeuble. 📜 Un aspect moins connu mais tout aussi important est la clause d’abandon de recours présente dans ces contrats. Elle empêche l’assureur de se retourner contre le copropriétaire responsable d’un sinistre, simplifiant les démarches en cas d’incident. De plus, la Convention IRSI, mise en place en janvier 2012, facilite et accélère le traitement des sinistres, en établissant des règles claires pour la gestion des incidents affectant les parties communes. 🔑 Pour les parties privatives, la responsabilité revient au copropriétaire du bien à l’origine du sinistre. Il est donc essentiel pour chaque propriétaire de bien comprendre son rôle et de s'assurer adéquatement, que ce soit en tant qu'occupant, non-occupant, ou locataire. Finalement, bien que la décision de souscrire l'assurance incombe au syndicat, c'est le propriétaire du bien qui doit s'acquitter des primes, ces dernières étant considérées comme des charges non récupérables du locataire. #Immobilier #GestionImmobilière #Propriétaires
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Saviez-vous que depuis la loi Alur du 24 mars 2014, c'est le syndicat de copropriétaires qui est tenu de souscrire une assurance responsabilité civile pour l'ensemble de l'immeuble ? Cette assurance, souvent désignée sous le terme d'Assurance Multirisque Immeuble (MRI), couvre des risques variés tels que l'incendie, les dégâts des eaux, et même les catastrophes naturelles, protégeant ainsi les parties communes de l'immeuble. 📜 Un aspect moins connu mais tout aussi important est la clause d’abandon de recours présente dans ces contrats. Elle empêche l’assureur de se retourner contre le copropriétaire responsable d’un sinistre, simplifiant les démarches en cas d’incident. De plus, la Convention IRSI, mise en place en janvier 2012, facilite et accélère le traitement des sinistres, en établissant des règles claires pour la gestion des incidents affectant les parties communes. 🔑 Pour les parties privatives, la responsabilité revient au copropriétaire du bien à l’origine du sinistre. Il est donc essentiel pour chaque propriétaire de bien comprendre son rôle et de s'assurer adéquatement, que ce soit en tant qu'occupant, non-occupant, ou locataire. Finalement, bien que la décision de souscrire l'assurance incombe au syndicat, c'est le propriétaire du bien qui doit s'acquitter des primes, ces dernières étant considérées comme des charges non récupérables du locataire. #Immobilier #GestionImmobilière #Propriétaires
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🔎 Les Hauts-de-France affichent l’une des fréquences de sinistres les plus élevées, 3,97 fois supérieure à la moyenne, sur les lots de Garantme. À l’inverse, en Bourgogne-Franche-Comté, en Normandie et en Corse, le taux de sinistralité est faible voire très faible. Les données sont plutôt rassurantes: sur 13 régions, 9 ont un taux de sinistralité faible. Comment expliquer cette disparité entre régions? Réponse dans notre article ⬇️ https://l.lefigaro.fr/5zW par Marine Richard-Delpech
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
8 abonnés