La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
« Les traditions orales autochtones face à la présence européenne en Amérique : enjeux, méthodes et écueils », un évènement coorganisé par Matthieu Tardif, doctorant en histoire.
La Fondation pour la mémoire de l'esclavage est une institution privée et autonome qui agit pour l’intérêt général et la cohésion nationale. La Fondation est reconnue d’utilité publique. Son action est soutenue par l’Etat ainsi que par des partenaires privés qui partagent son projet de transmettre l’histoire, par la culture, pour la citoyenneté.
27 rue Oudinot
paris, FR
La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
« Les traditions orales autochtones face à la présence européenne en Amérique : enjeux, méthodes et écueils », un évènement coorganisé par Matthieu Tardif, doctorant en histoire.
Commémoration, colloque, cinéma autour de la mémoire de l’esclavage, de la révolution haïtienne et de l’indemnité d’Haïti, entre Massy, Paris et la Martinique.👇
Un mois d'avril passionnant Tout d'abord retrouvez la 9eme Édition du festival du film documentaire Les #Révoltés du monde en Martinique entre le 3 et le 12 avril 2025 . Un festival passionnant et citoyen qui offre de belles projections débats autour de l'histoire #coloniale, de #coloniale, des questions #écologiques et de #justice. Les scolaires seront également sensibilisés par des projections débats comme chaque année. A Massy, le 7 avril, nous commémorons la mort de #Toussaint Louverture, gouverneur général de #Saint-Domingue, arrêté et déporté lors de l'expédition Leclerc qui accéléra l'indépendance d'une nation nouvelle #Haïti. Cette année sera marquée par les commémorations autour des Indemnités de Charles x de 1825 contre la Révolution Haïtienne. Cette statue de Toussaint est la première inaugurée à Massy en septembre 1989 par l'initiative du #CIFORDOM fondé par José Pentoscrope , président et ami. Nous vous attendons nombreux à cette cérémonie fraternelle avec l'association haïtienne L'Arche et le Corecohf. Retrouvez le grand colloque international organisé par l'Apece dont je suis membre. Ce colloque s'inscrit dans une compréhension des indemnités imposées par la Monarchie de #Charles X contre la #Révolution française et #Haïtienne . Le 17 avril 1825, le roi Charles X signe l’ordonnance reconnaissant l’indépendance d’Haïti, moyennant le paiement par Haïti d’une indemnité de 150 Millions de Francs. Dix jours plus tard, la loi du 27 avril 1825 dite « du milliard aux #émigrés », indemnisant ceux qui avaient perdu leurs biens vendus comme biens nationaux sous la #Révolution française, est promulguée par le roi de France Charles X. En partenariat avec l’Institut d’histoire moderne et contemporaine (IHMC) et le Centre d’histoire du xixe siècle, l’Association Pour l’Etude de la colonisation Européenne (#APECE 1750-1850) a décidé de marquer le bicentenaire des indemnités décidées en 1825 par l’organisation d’un colloque international permettant de relier dans un même contexte ces deux questions. N'hésitez pas à faire circuler les différentes informations. Fraternité APHG Association des Professeurs d'Histoire Géographie ATREPA HAITI Jean Marie Théodat Bernard Gainot Académie de Versailles Université des Antilles Harvard University ZAMIA Sylvie Education nationale Ruth Pierre 🌍 Réseau Canopé TanListwa Yann Bouvier Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Jacques-Olivier BOUDON Palais de la Porte Dorée Musée du quai Branly - Jacques Chirac Mémorial ACTe (MACTe) Samuel THOMAS Stephanie MULOT EHESS - École des hautes études en sciences sociales Sciences Po Samia Chabani La fondation pour la mémoire de l’esclavage Gwladys Baudel Gilda Gonfier Histoire Géographie EMC - Académie de TOULOUSE Groupe de recherche Achac Soulé N'Gaïdé Son LAM Sem SUPRE Dr Maël Lavenaire Histoire Caraïbe Klara Boyer-Rossol Karine B Kévi Donat LAURA NAGAPIN LOURDY MORLAND Anne-laure arino Comité Contre l'Esclavage Moderne (CCEM)
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La Fondation pour la mémoire de l’#esclavage exhorte la France à reconnaître et réparer l’injustice de l’indemnité qu’#Haïti lui a versée pour son indépendance ➡️ https://lnkd.in/ecctgWbv ➡️ À l’occasion du bicentenaire de l’indemnité d’Haïti payée à la France, la La fondation pour la mémoire de l’esclavage (FME) publie un document exhaustif intitulé « La double dette d’Haïti (1825-2025) – Une question actuelle ». Rédigée par une dizaine de chercheurs, cette note revient sur l’histoire de ce tribut particulier imposé à Haïti durant plus de 60 ans, et appelle la France à reconnaître cette injustice et à s’engager dans une démarche de réparation, avec une série de propositions.
Coralie de Souza Vernay responsable Patrimoine & Recherche de la FME était présente au séminaire « Mémoire et EAC » du Programme national de formation, pour les personnels de l'éducation nationale 📍
Aujourd'hui à la FME 📍 Enregistrement de podcast Le Paris Noir par Kévi Donat avec Cécile Vidal, historienne, directrice d'études à l'EHESS. Le sujet : « le genre de l'esclavage », tiré de la revue Clio. Femmes, Genre, Histoire 👉 lien en commentaire Pour ne rien rater, abonnez-vous au podcast sur toutes les plateformes 👉 lien en commentaire
ESCLAVAGE & MUSIQUE - Une série de la FME présentée par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE boursière de thèse FME - Musée du quai Branly - Jacques Chirac. Aujourd'hui Eugène Mona, le chantre de la culture antillaise. Né en 1943, en Martinique, il débute sa carrière dans les années 1960. Son instrument emblématique est la fameuse flûte en bambou martiniquaise appelée en créole la toutoun’ banbou, la flûte des mornes. Il apprend à jouer et à exceller dans cet art grâce à son ami et frère d’armes le musicien martiniquais Max Cilla, surnommé le « père de la flûte des mornes ». La musique de Mona est profondément ancrée dans l’histoire et dans la culture martiniquaise. Son premier hit Boi Brilé, sorti en 1973, rend hommage à toutes les personnes noires nées dans les sociétés esclavagistes et coloniales des Amériques et de la Caraïbe. Découvrez tout son portrait sur le site de la FME 👉 lien en commentaire
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Pendant plus de 400 ans, jusqu’au XIXème siècle, plus de 15 millions d’hommes, de femmes et d’enfants ont été capturés, vendus, transportés dans des conditions effroyables puis, jusqu’à leur mort, réduits à l’état d’esclavages. Ce terrible passé est encore présent. Il faut continuer à se souvenir, à dénoncer pour construire un avenir de dignité et de justice. 🗓️ Aujourd'hui, c'est la journée internationale de commémoration des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves. ▶️ Certes l’esclavage a été aboli au niveau national (comme par la loi du 25 mars 1807 au Royaume-Uni), régional et international) mais dans le monde entier, des millions de personnes en sont encore victimes. Il nous faut donc sans cesse dénoncer les mécanismes, les situations qui permettent à des réseaux d’exploiter des personnes vulnérables. Dans le cadre de son mandat de rapporteur national indépendant, la CNCDH alerte sur les multiples formes de traite et d’exploitation des êtres humains qui existent aussi en France. 👉 https://lnkd.in/gxhwpsbz ▶️ Certes tout le monde condamne la tragédie vécue par des millions d’Africains, mais cette pratique a laissé des traces, elle marque l’imaginaire collectif et a encore un impact social fort. Les personnes noires sont victimes de préjugés, d’idées reçues et de discriminations. La CNCDH en avait parlé dans le focus du Rapport 2019 sur la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie consacré au racisme anti-Noirs. 👉 https://lnkd.in/gz7k9qCG La fondation pour la mémoire de l’esclavage Comité Contre l'Esclavage Moderne (CCEM) Geneviève COLAS MRAP Association
Le 17 avril 2025, cela fera 200 ans que la France a imposé à Haïti, son ancienne colonie, une indemnité exorbitante que ses habitants, les anciens esclaves vainqueurs de Bonaparte, ont dû payer pendant 60 ans à leurs anciens maîtres. A l'occasion de ce bicentenaire, la FME publie une Note sur cette histoire, et appelle la France à reconnaître l'injustice de cette décision. Découvrez le contenu de la Note et les recommandations de la Fondation. #cestnotrehistoire Découvrez la Note Haïti de la FME 👉 lien en commentaire
Aujourd'hui, 25 mars, c'est la journée internationale de la commémoration des victimes des victimes de l'esclavage et de la traite transatlantique des esclaves, instituée par l'ONU United Nations. A cette occasion, le secrétaire général de l'ONU António Guterres a appelé le monde dans son message annuel à « prendre conscience des horreurs de la traite transatlantique des esclaves pour faire face au passé, réparer le présent et bâtir un avenir où dignité et justice sont garanties pour tout le monde ». L'ONU propose plusieurs événements pour marquer cette journée : - une exposition de sculptures à son siège à New York, avec l’ONG The Stories of Us, avec des « tambours parlants » imaginés par cinq artistes afro-descendants Alanis Forde, Francks Deceus, Láolú, Leasho Johnson et Marryam Moma - un débat à l'assemblée générale des Nations Unies aujourd’hui avec le prix Nobel de littérature 1986 Wole Soyinka Le message d’Antonio Guterres et le programme des manifestations de l’ONU pour la journée du 25 mars 👉 lien en commentaire