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Travailleur indépendant

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    Belle réussite de recyclage ! Quand les 380 tonnes de carton utilisées pour concevoir les lits de nos champions olympiques sont transformées encore à bon escient !

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    Les 16 000 lits en carton des 25 000 athlètes du monde entier qui ont logé au village olympique pendant les J0 de Paris 2024, du 26 juillet au 8 septembre 2024, vont être recyclés et transformés en cartons d’emballage pour des produits de consommation courante ! Au total, ils représentent 380 tonnes de carton. C’est le leader mondial de l’emballage, l’irlandais Smurfit Westrock, qui a lui-même produit ces fameux sommiers qui va s’en charger. 🎤 Andrew Coffey, PDG de Smurfit Westrock France depuis 2022 : «Notre objectif : récupérer tous les lits que nous avons fabriqués et les recycler pour en faire des emballages ». Ces couchages ont été assemblés sans vis ni agrafes, n’ont pas été collés, et ont été récupérés en parfait état, comme neufs. «Avec un seul lit, nous pouvons faire 80 à 100 caisses de vin par exemple, et un carton peut-être recyclé jusqu’à 25 fois».

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    «𝑶𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒆𝒏 𝒕𝒓𝒂𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒄𝒓𝒆́𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒔𝒕𝒂𝒏𝒅𝒂𝒓𝒅 𝒅𝒐𝒏𝒕 𝒐𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒆𝒓𝒔𝒖𝒂𝒅𝒆́ 𝒒𝒖’𝒊𝒍 𝒂𝒖𝒓𝒂 𝒍𝒂 𝒎𝒆̂𝒎𝒆 𝒂𝒎𝒑𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆 𝒄𝒆𝒍𝒖𝒊 𝒅𝒖 𝒃𝒊𝒐 𝒂̀ 𝒍’𝒂𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓» : la start-up Hubcycle, spécialisée dans la vente d’ingrédients auparavant gaspillés dans les usines lève 15 millions d’euros pour valoriser les déchets de l’industrie alimentaire. L’entreprise qui a été fondée en 2016 emploie à ce jour 15 personnes. Mais d’ici trois ans, le nombre de salariés devrait être dix fois plus important. Il s’agit de sa troisième levée de fonds soutenue par trois nouveaux investisseurs (ENVIRONMENTAL TECHNOLOGIES FUND GP LIMITED, RAISE et Techmin) en plus des quatre investisseurs historiques, (daphni, Citizens, SWEN Capital Partners et Bleu Capital). 🎤 Julien Lesage, le fondateur et PDG d’Hubcycle : «Ce qui est super intéressant et excitant, c’est de se demander qui a une bonne raison de jeter tel ou tel produit. C’est normal que ces “coproduits” existent, ce qui n’est pas normal c’est de ne pas les réutiliser (…) Le gaspillage c’est la poubelle, on doit prouver que c’est tout sauf ça». Ces "coproduits", peuvent être des peaux de fruits, des légumes moches, des résidus de pressage des huiles ou encore des poudres trop fines ou trop épaisses. Ces déchets alimentaires sont transformés par la startup en ingrédients cosmétiques et alimentaires. 9,4 millions de tonnes de déchets alimentaires ont été produites en France en 2022 sur l’ensemble de la chaîne alimentaire, dont 25 % pour les industries agroalimentaires soit 2,35 millions de tonnes. Les ménages engendrent 42 % des déchets alimentaires totaux. « La partie la plus critique de notre activité est d’être capable d’identifier ce qui est aujourd'hui gaspillé et pourrait demain devenir de la matière utile", souligne Julien Lesage. La startup a déjà revalorisé 600 tonnes de coproduits en ingrédients à forte valeur ajoutée en 2023, générant une économie d'environ 4 000 tonnes de CO2. « Chaque tonne d’ingrédient vendue équivaut à une économie allant de 4 à 10 tonnes de CO2 ». Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, La communauté du Coq Vert, La French Fab,

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    Spécialisé dans les produits de soins et d'hygiène et notamment dans la production d'écouvillons et de masques lors de la crise covid, le Groupe Lemoine a le vent en poupe. Récemment Lemoine a racheté 6.000 m² de bâtiments, soit un tiers du site du sous-traitant automobile Marelli d'Argentan pour y produire des disques à démaquiller en coton "made in France » que le groupe fabriquait dans ses usines aux Pays-Bas, en Estonie et en Espagne. Le production est donc relocalisée en Normandie, dans l'Orne, terre historique du groupe Lemoine. Ouest France, rapporte que le groupe va intensifier sa fabrication de cotons-tiges papier sur son site d’Athis-Val-de-Rouvre et recruter 25 personnes dans un premier temps. Le groupe qui a été fondé en 1978 à Flers, a réalisé un chiffre d’affaires de 170 millions d’euros en 2023 et emploie 900 salariés. Il compte dix usines sur les cinq continents. Alexandre Lemoine - également président du Medef Orne : « Nous avons relocalisé l’activité en 2023. L’industrialisation devrait commencer dès le premier semestre 2025 à Argentan ». Un bel exemple d'une relocalisation. Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, La communauté du Coq Vert, UIMM, Antoine Armand, Marc Ferracci, France Industrie, La French Fab, Bpifrance, Région Normandie, Mouvement des Entreprises de France

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    « 𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒗𝒂𝒊𝒏𝒄𝒖𝒔 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́ 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒄𝒉𝒂𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒔𝒕 𝒍𝒆 𝒃𝒐𝒏 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒂𝒊𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒅𝒆́𝒄𝒂𝒓𝒃𝒐𝒏𝒆𝒓 𝒍’𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆 » : fournir aux industriels de la chaleur décarbonée à moindre coût, en remplaçant les brûleurs à gaz par des générateurs thermiques basés sur un micro-réacteur nucléaire, c’est l’ambition de la jeune startup Jimmy qui a installé sa plateforme industrielle au Creusot et qui a été créée en 2020 par Antoine Guyot et Mathilde Grivet L’objectif est de livrer les premiers réacteurs en 2027 et de devenir un acteur clé dans la réindustrialisation verte. 🎤 Antoine Guyot : " Chez Jimmy, nous concevons des générateurs thermiques basés sur la fission nucléaire qui n’émettent pas de CO2 pour remplacer les brûleurs fossiles. Ces générateurs s’installent sur les sites industriels existants et utilisent une technologie de mini-réacteurs sûrs intrinsèquement, qui fonctionnent à l’uranium. Nous voulons ainsi proposer aux industriels de la chaleur décarbonée et moins chère que les énergies fossiles. Notre ambition est de nous appuyer sur le savoir-faire industriel français pour décarboner massivement l’industrie." ➡️ « Le Creusot offre un écosystème industriel riche, avec une chaîne de sous-traitants locaux et des compétences techniques essentielles pour notre projet. De plus, Le Creusot est relativement proche de Paris : cela permet de conserver une homogénéité des équipes. Nous trouvions important que ceux qui ont conçu restent proches du terrain. » La structure compte aujourd’hui 80 salariés. Jimmy a déjà levé 17 millions d’euros en 2022 et en 2023, l’État lui a accordé une subvention de 32 millions d’euros dans le cadre du plan France 2030. Antoine Guyot sur le site de Bpifrance observe, toutefois, : « C’est une chance, mais au lieu de faire de la subvention, l’État pourrait aussi passer des commandes publiques. Ainsi, il retrouverait la valeur dans laquelle il investit, tout en forçant les startups industrielles à être opérationnellement excellentes ». Le débat est lancé... Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, La communauté du Coq Vert, UIMM, Antoine Armand, Marc Ferracci, France Industrie, La French Fab,

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    Interview remarquée de Mathilde Lemoine (PhD), chef de la banque Edmond de Rothschild, au Le Figaro. « Si Trump est élu, la désindustrialisation de l’Europe accélérera ».

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    Chef Economiste Groupe | Directeur de la Recherche Economique | Global Strategy | Transformation | Board member

    Si rien n’est fait, la désindustrialisation de l’Europe risque de s'accélérer, mettant en péril notre souveraineté économique. Dans mon entretien avec Fabrice Nodé-Langlois Le Figaro, je souligne l'impact économique potentiellement dévastateur d'une réélection de Donald Trump pour l'Europe. Alors que les États-Unis continuent d'investir massivement dans leur industrie et leur technologie, notre continent pourrait se retrouver marginalisé, face à des politiques protectionnistes exacerbées par Washington. L'investissement, les mesures coercitives, restrictives et les sanctions sont mis au service de l'objectif des États-Unis de devenir le leader mondial des technologies, devant la Chine, le plus vite possible. Donald Trump serait encore plus offensif en imposant des droits de douane de 10% sur les importations. Avec l'ajout énergétique en plus, cela affecterait gravement la compétitivité européenne, en particulier dans les secteurs de la chimie, l'agriculture et de l'agroalimentaire. Une telle politique risque d'accentuer la dépendance de l'Europe aux importations et de renchérir les coûts de production. Face à cette menace, il est crucial pour l'Europe de repenser ses stratégies industrielles et économiques afin de rester compétitive sur la scène mondiale. Plus que jamais, l'innovation verte et les investissements doivent devenir nos priorités.

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    « 𝑳𝒂 𝒄𝒂𝒑𝒂𝒄𝒊𝒕𝒆́ 𝒅’𝑶𝒓𝒊𝒖𝒔 𝒂̀ 𝒎𝒐𝒅𝒖𝒍𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒐𝒔𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒕𝒕𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒍’𝒂𝒕𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆́. 𝑨𝒗𝒆𝒄 𝒏𝒐𝒕𝒓𝒆 𝒑𝒊𝒍𝒐𝒕𝒆 𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆𝒍, 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒆𝒓𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒏 𝒎𝒆𝒔𝒖𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒅𝒖𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒍𝒖𝒎𝒆𝒔 𝒔𝒊𝒈𝒏𝒊𝒇𝒊𝒄𝒂𝒕𝒊𝒇𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒂𝒕𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒗𝒆́𝒈𝒆́𝒕𝒂𝒍𝒆𝒔, 𝒐𝒖𝒗𝒓𝒂𝒏𝒕 𝒂𝒊𝒏𝒔𝒊 𝒍𝒂 𝒗𝒐𝒊𝒆 𝒂̀ 𝒖𝒏𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒇𝒊𝒍𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒅’𝒂𝒑𝒑𝒓𝒐𝒗𝒊𝒔𝒊𝒐𝒏𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔𝒆, 𝒊𝒏𝒏𝒐𝒗𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒉𝒂𝒖𝒕𝒆 𝒒𝒖𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆́" :  Paul-Hector Oliver est le PDG d’Orius, start-up toulousaine basée à Escalquens (Haute-Garonne) spécialisée dans les matières premières botaniques de haute qualité et qui espère réaliser une levée de fonds d’ici la fin de l’année. La pépite d’Escalquens a été fondée en 2021. Orius répond aux besoins des industries pharmaceutiques, cosmétiques et nutraceutiques en recherche de matières premières botaniques de qualité. ➡️ «Plantes à fleurs ou à feuilles, champignons, racines, plantes tropicales ou rares : l’industrie peut réenvisager l’utilisation de molécules naturelles (…) Tout est dans la plante, on peut aller y chercher les molécules qui nous intéressent». ➡️ « Ce qui distingue Orius, c'est l'utilisation de la technologie comme un outil puissant pour explorer le potentiel de la nature et obtenir des produits d’une qualité supérieure. Orius est animé par la volonté d’optimiser les ressources de la manière la plus efficace possible, en employant précisément la bonne quantité - ni plus ni moins. » L’enjeu est de financer l’ouverture d’une future usine de 20 000 m² d’ici à la fin 2028. Elodie Rallo, responsable marketing et communication d’Orius : « l’an dernier, nous avons fait 500 000 € de chiffre d’affaires et nous prévoyons 1 M€ de chiffre d’affaires cette année ». Une startup à suivre ! Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, Bpifrance, La communauté du Coq Vert, UIMM, Antoine Armand, Marc Ferracci, France Industrie, La French Fab, Toulouse Team Invest (ex-Invest in Toulouse), Capsum, La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, AD'OCC

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    Save the Date ! Le congrès Horizon Hydrogène tiendra sa quatrième édition les 13 et 14 novembre 2024. Il s’agit d’un événement B2B de référence qui réunit quelque 800 experts, industriels et décideurs autour des dernières avancées en matière d’hydrogène et de ses technologies dérivées. Cet événement qui s’est tenu les trois premières années au Congrès Rive Montparnasse se déroulera au Centre de Congrès Cœur Défense à Paris La Défense. Pour s’inscrire et découvrir le programme : Sont également annoncés plus de 500 rendez-vous d’affaires, 10 tables rondes, 8 ateliers de formation, 15 retours d’expériences concrets, 20 sessions de benchmarks & d’échanges avec les professionnels du marché. Hydrogène France, France Hydrogène, FEDEREC, Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, Bpifrance, La communauté du Coq Vert, UIMM, Antoine Armand, Marc Ferracci, France Industrie, La French Fab, .Sébastien ROUSSEL 🇫🇷, David Marchal, Nicolas Deloge, LAURE ROSENBLIEH, Cannelle Martinelli, Pierre Laboué, Stéphane Villalonga, Abbas TCHARKHTCHI, Thérèse Sliva-Marion, Pierre Jeremie, Anne-Sophie Corbeau, Pierre-Alain Lambert

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    OrCHyDé pour "Origny Carburant et Hydrogène Décarboné ». Utiliser les rejets du sucrier TEREOS afin de fabriquer un carburant réservé au transport maritime : c’est le projet porté par Verso Energy qui est en passe de devenir réalité en 2029. L’usine d'e-méthanol pourrait être créée à Origny-Sainte-Benoîte, dans l'Aisne. Elle pourrait entre 50 et 70 emplois. "Le CO2 utilisé pour le projet proviendra de la sucrerie-distillerie de Origny-Sainte-Benoîte (Aisne) et de l’amidonnerie de Mesnil-Saint-Nicaise (Somme)" Antoine Huart, directeur général de Verso Energy : « Ce projet va créer de l’emploi et permettre au pays, au territoire et à la filière d’être au rendez-vous de cette nouvelle révolution industrielle. » Victor Lévy-Frébault, directeur du développement des projets industriel Verso energy : "L’objectif, c’est de produire du 'e-méthanol', du méthanol de synthèse, du méthanol vert, à partir d’hydrogène vert et de CO2 chimique, issu de la biomasse. Cette molécule va ensuite nous permettre de décarboner l’industrie maritime et sera réutilisée dans les cargos ». Des réunion publiques d’information seront organisées avec le maire de la commune Dominique Burillon. L’investissement est estimé à 850 millions d’euros. Le transport maritime représente aujourd'hui "3% des émissions mondiales" de gaz à effet de serre. Le groupe Verso Energy a été fondé en 2021 par le polytechnicien Xavier Caïtucoli (TotalEnergies, DIRECT ENERGIES) FEDEREC, Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La French Tech, Bpifrance, La communauté du Coq Vert, UIMM, Antoine Armand, Marc Ferracci, France Industrie, La French Fab,

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    Un jean made in France vendu au prix de 35 euros ! C’est le pari de KIABI. Pour le produire, la célèbre enseigne s’est associée au "Denim Center" de Neuville-en-Ferrain (Nord). Une usine ouverte en 2022 par la famille Mulliez, qui est propriétaire des deux entreprises. Ce jean composé de 31% de coton recyclé, de 67% de coton vierge cultivé en Espagne et de 2% d’élasthanne a été fabriqué à 15 000 pièces. Fanny Desmazière, chef de marché Denim chez Kiabi : « Nous voulons monter en puissance sur le jean dans ce partenariat avec le Denim Center ». Kiabi a une vraie volonté de s’associer à des partenaires locaux. A suivre, donc. ➡️ L'enjeu est bien là, mais bien compliqué encore à transformer : Olivier DUCATILLION, président de l'Union des Industries Textiles (UIT).a récemment estimé que "relocaliser 1% des vêtements achetés par les Français génèrerait 4.000 emplois". Thomas Huriez, le dynamique pionnier du jean 100% français - 1083 - :"Nos coûts ont augmenté de 20% par rapport à l'année dernière, alors que nous n'avons pas augmenté nos prix de vente". Dans un autre domaine vestimentaire, Le Slip Français a récemment décidé de casser ses prix de près de 40 % pour compenser une activité qui faiblit de 10 % par an.  Guillaume Gibault : "80 usines travaillent pour nous, cela fait 300 emplois indirects. Avec 20 millions d'euros de chiffre d'affaires, nous sommes la plus grande marque du Made in France. Le champion, mais un tout petit champion ! (…) Notre entreprise est devenue un symbole, nous nous battons tous les jours, mais sans aucun avantage et dans un contexte économique très compliqué." Retour de l'Industrie en France, Forces Françaises de l'Industrie, Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, Collectif Startups Industrielles France, Territoires d'industrie, France Cleantech Industries (FCI), La communauté du Coq Vert, France Industrie, Fédération Nationale de l'Habillement

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    Du verre issu de panneaux photovoltaïques en fin de vie va être utilisé pour la fabrication de verre plat destiné principalement aux secteurs du bâtiment et de l'automobile. La start-up industrielle grenobloise @Rosi Solar, basée sur le site de La Mure, est spécialisée dans le recyclage de matières premières issue des panneaux solaires/ Elle indique qu’elle va fournir du calcin de verre photovoltaïque au Belge AGC Glass Europe, leaders européens de la production de verre plat. Antoine Chalaux, directeur général de Rosi Solar :« Avec la mise en place de la REP (Responsabilité Élargie du Producteur), la situation va évoluer mais aujourd'hui, la production de verre plat intègre encore peu de verre recyclé. Cela s'explique par la faiblesse de la collecte de ce type de verre, mais aussi par le niveau de qualité exigé par le verre plat, on ne peut pas utiliser n'importe quel source de recyclage. Aucun industriel n'avait encore intégré du verre issu de panneaux photovoltaïques ». Marc Foguenne, vice-président chargé du développement durable chez AGC Glass Europe : « Le verre photovoltaïque est très transparent et propre, ce qui en fait une source précieuse de matière recyclée pour nos usines. Cependant, sa composition est différente de celle de nos produits standards, ce qui signifie qu'une innovation technique est nécessaire pour permettre le recyclage au sein de nos processus. C'est précisément là que Rosi intervient en tant que partenaire technique ». En France, on estime en effet que 250.000 panneaux environ arriveront en fin de vie en 2030. Rosi Solar recycle 3.000 tonnes de panneaux par an (soit l'équivalent de 150.000 panneaux environ). L'année prochaine, Rosi Solar a l’ambition de doubler sa capacité de traitement sur son usine iséroise, grâce à des investissements industriels et à une optimisation de ses procédés. La start-up devrait aussi inaugurer bientôt une deuxième usine, en Espagne, avec une capacité de 10.000 tonnes de panneaux recyclés par an. Après avoir levé 10 millions d'euros en 2022 auprès du groupe japonais ITOCHU Corporation, d'InnoEnergy et de l'EIC (Energy Industries Council) , Rosi Solar travaille sur une nouvelle levée de fonds. Yun Luo,

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