Sami

🗓️ Rétrospective S1 2024. Tout au long de l’été, Sami revient sur les principales infos décarbonation et RSE du 1er semestre. Aujourd’hui, focus sur la SBTi et la polémique autour des crédits carbone. La SBTi fait marche arrière sur les crédits carbone ! Après des mois de controverse, les experts de la Science Based Targets initiative ont publié le 30 juillet dernier un document dans lequel ils jugent que de nombreux types de crédits carbones sont aujourd’hui inefficaces dans l’atteinte des objectifs de décarbonation des entreprises. La SBTi était sous le feu des critiques depuis le 9 avril et le souhait de son conseil d’administration d’autoriser l’utilisation de crédits carbone pour réduire le scope 3 des entreprises. Cette annonce avait aussi provoqué un tollé en interne, de nombreux salariés s’indignant de cette décision. Le directeur général de la SBTi, Luiz Amaral, a fini par quitter son poste fin juillet. Un nouveau référentiel Corporate Net-Zero est en cours de construction et est attendu fin 2025. Répondra-t-il aux autres critiques qui s’élèvent depuis plusieurs mois désormais sur la robustesse du cadre SBTi ? A ce sujet, nous vous invitons à lire l’analyse du responsable de notre équipe expertise, Guillaume Colin, dans ce post : https://lnkd.in/gwvBSpjx Vous retrouverez ce sujet sur la SBTi dans le numéro du mois de mai de notre newsletter Mission décarbonation : https://lnkd.in/erWckP94 Et pour ne rien manquer des prochaines actualités sur la décarbonation des entreprises, abonnez-vous : https://lnkd.in/ehNz5FJ8

📣 J-7 #UED24 : nous y serons et vous ? 📣 Retrouvez-nous, mercredi prochain, le 28 août 2024 à la Cité internationale universitaire de Paris pour une journée consacrée au thème #REDIRIGER. Nous serons présents au niveau de la helproom pour échanger sur vos problématiques et vous apporter notre expertise sur les sujets de décarbonation et de reporting CSRD. 💪 Depuis 6 ans, la dynamique des Universités d'Été de l'Économie de Demain rassemble aux côtés du Mouvement Impact France de plus en plus de réseaux d'entreprises et de dirigeants engagés dont nous faisons partie. Nous sommes toujours ravis de voir autant d’entreprises s’engager et participer à ce mouvement. Les #UED24 c’est aussi un beau programme : ✅ +45 sessions interactives pour s'inspirer, progresser et apprendre ✅ +230 speakers engagés pour impulser un changement de paradigme ✅ +4000 entrepreneur·e·s et dirigeant·e·s motivés pour accélérer la transformation de l'économie à impact Nous avons hâte de vous rencontrer, d'échanger et de collaborer sur les enjeux de demain ! Vous souhaitez participer ? Envoyez nous un message pour profiter de -30% ou prenez votre place ici 👉 www.ued24.eco #UED24 #EntreprisesEngagées

🗓️ Rétrospective S1 2024. Tout au long de l’été, Sami revient sur les principales infos décarbonation et RSE du 1er semestre. Aujourd’hui, focus sur les derniers documents publiés par l’EFRAG. La mise en œuvre de la CSRD s’accélère dans les entreprises. Les premières concernées vont devoir publier leur rapport de durabilité l’an prochain sur l’exercice 2024. Pour beaucoup d’autres, ce sera en 2026 sur l’exercice 2025. Et il est déjà l’heure de se préparer, notamment sur l’analyse de double matérialité. Cela tombe bien puisque l’EFRAG, mandaté par la Commission européenne pour la préparation des normes ESRS, a publié ces derniers mois plusieurs documents importants : 👉 Le 30 mai, publication de la mise à jour de la plateforme de questions/réponses sur les ESRS lancée par l’EFRAG avec désormais 68 questions/réponses 👉 Le 31 mai, publication de deux nouveaux guides : le Materiality Assessment Implementation Guidance pour aider les entreprises dans leur évaluation de la double matérialité et le Value Chain Implementation Guidance pour aider les entreprises dans le reporting des informations liées à leur chaîne de valeur 👉 Le 2 mai, l’EFRAG et l’IFRS Foundation publient un guide d’interopérabilité entre les normes ESRS et ISSB. Vous trouverez le lien vers ces documents et vers beaucoup d’autres contenus sur la CSRD dans le numéro du mois de juillet de notre newsletter Mission décarbonation : https://lnkd.in/ex_U4NBZ Pour ne rien manquer des prochaines actualités sur la CSRD, abonnez-vous : https://lnkd.in/ehNz5FJ8

🗓️ Rétrospective : tout au long de l’été, Sami revient sur les principales infos décarbonation et RSE du 1er semestre. Aujourd’hui, focus sur le verdissement des flottes des entreprises. 🚗 800 000 ventes de voitures électriques en France dès 2027. C’est l’objectif du nouveau contrat de filière signé le 6 mai dernier entre le gouvernement et la filière automobile française. Cela reviendrait à multiplier par presque 3 les ventes en 4 ans et les voitures électriques représenteraient alors 45% du marché. Pour atteindre cet objectif, les signataires du contrat insistent notamment sur la nécessité de créer un marché du véhicule électrique d’occasion. C’est aussi pour cette raison que la pression augmente ces derniers mois autour du verdissement des flottes automobiles d’entreprises. Le 8 juillet dernier, la Commission européenne a clôturé la consultation publique qui portait sur ce sujet du verdissement des flottes d’entreprises. L’enjeu est majeur puisque 58% des ventes de nouveaux véhicules sur le marché européen sont le fait d’entreprises. La Commission pourrait présenter un texte au second trimestre 2025. Un sujet dont certains parlementaires français se sont également emparés. Le 30 avril dernier, l’Assemblée devait en effet examiner une proposition de loi du député Damien Adam. Elle prévoyait des objectifs d’acquisition de véhicules électriques rehaussés à chaque renouvellement annuel. La proposition de loi a finalement été reportée. Mais c’est un sujet qui monte, en France comme en Europe, et qui devrait revenir dans l’actualité ces prochains mois. Une information à retrouver dans notre newsletter Mission décarbonation du mois de mai dernier : https://lnkd.in/erWckP94 Pour ne rien manquer des prochaines actualités sur la décarbonation des entreprises, abonnez-vous : https://lnkd.in/ekfxeMAZ Décarbonation&utm_source=hs_email&utm_medium=email&_hsenc=p2ANqtz--AxxfGsoKSXTzCFcDTXMhuoa_m3Y2AZdVEXmugK4ov_oH-HJMc5QOc0BChCZGRTtC-lpSt

🗓️ Rétrospective : tout au long de l’été, Sami revient sur les principales infos décarbonation et RSE du 1er semestre. Aujourd’hui, focus sur les financements pour la décarbonation. En mars dernier, Bpifrance annonce le lancement de 3 nouveaux dispositifs visant à accélérer la décarbonation des entreprises : 👉 Le Prêt Industrie Verte : le dispositif vise à encourager les PME et ETI industrielles à engager des projets de transition écologique et énergétique. Jusqu’à 10M€ financés sur 12 ans. 👉 Le Prêt Nouvelle Industrie : financement sous forme de prêt sans garantie, compris entre 3M€ et 15M€ sur une durée de 10 ans à 15 ans. 👉 La garantie verte : objectif, garantir le financement par les établissements bancaires de projets en lien avec la transition écologique et énergétique des TPE et PME. Une information à retrouver dans notre newsletter Mission décarbonation du mois d’avril dernier : https://lnkd.in/eq3cyWj6 Les dispositifs existants financés par la BPI sont maintenus, notamment le Diag Décarbon’Action. Ce dispositif permet d’accompagner les entreprises dans leur bilan carbone et un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre. A noter que les modalités de financement du Diag Décarbon’Action ont évolué récemment. Depuis le 1er juillet, pour les entreprises de moins de 250 salariés, sur un prix total de 10 000 euros, le Diag Décarbon’action coûte à l’entreprise 6 000 euros au lieu de 4 000 euros auparavant. Pour retrouver en détail les meilleurs financements pour structurer ou renforcer votre transition bas-carbone, vous pouvez consulter notre article dédié : https://lnkd.in/ejFeSk8n

🗓️ Rétrospective : tout au long de l’été, Sami revient sur les principales infos décarbonation et RSE du 1er semestre. Aujourd’hui, focus sur l’affichage environnemental. 👗 Après des années de concertations, le ministère de la transition écologique a dévoilé le 3 avril dernier la méthodologie retenue pour le calcul de l’affichage environnemental dans le textile. L’objectif de l’affichage environnemental, c’est de fournir aux consommateurs une information quantifiée sur les principaux impacts environnementaux des produits concernés. Concrètement, cette méthode se décompose en deux volets : 👉 d’abord une ACV pour quantifier les impacts environnementaux du produit tout au long de son cycle de vie. Ces ACV reposeront sur la méthodologie européenne PEF, Product Environmental Footprint. 👉 puis des critères additionnels pour prendre en compte notamment la durabilité physique et non physique des vêtements. Le déploiement de l’affichage environnemental textile doit avoir lieu dans les magasins et en ligne à partir de cet automne. Avant une obligation en 2025 ? Une information développée dans le numéro du mois de mai de Mission décarbonation, que vous pouvez retrouver ici : https://lnkd.in/erWckP94 Et pour tout comprendre à l’affichage dans le textile, la méthode de calcul et pour réussir son déploiement, retrouvez le replay de notre webinar organisé le 4 juin dernier avec Maurine Poirier de l’ADEME et Vanessa Pasquet : https://lnkd.in/eBAVT4FP

🏅 Plus de 10 500 athlètes attendus, 329 épreuves, 206 nations représentées et 17 jours de compétition 🏅 100 ans après, la France accueille de nouveau les Jeux Olympiques d’été. Des Jeux 2024 qui commencent ce soir avec la cérémonie d’ouverture sur la Seine à Paris. A cette occasion, Les Shifters et le Cercle Thématique Sport et Climat ont publié le rapport « Jeux Olympiques et Paralympiques : faire face au défi climatique et énergétique des déplacements internationaux ». Sami est très fier de soutenir le travail de ses deux auteurs, Alexis Lepage et Paul Delanoë. Selon ce rapport, les seuls déplacements des visiteurs internationaux pour se rendre aux Jeux de Paris devraient engendrer environ 1,1 million de tonnes d’équivalent CO2. C’est plus de 2 fois le budget carbone annoncé par Paris 2024 pour son volet déplacements (540 000 tonnes de CO2). Résultat, les Jeux Olympiques et Paralympiques devraient émettre au total près de 2,1 millions de tonnes de CO2e, bien plus que les 1,58 million de tonnes de CO2e prévus dans le budget carbone initial. Pour limiter les émissions associées aux déplacements internationaux et donc réduire l’empreinte carbone des prochaines éditions ou d’autres grands événements sportifs, les auteurs du rapport proposent : 👉 de maximiser la vente des billets aux spectateurs locaux et des pays limitrophes 👉 de mettre en place des fan-zones décentralisées sur tous les continents afin d’accueillir de nouveaux visiteurs se déplaçant sur de plus courtes distances Cela permettrait à la fois de répondre à l’enjeu climatique et d’accroître la ferveur populaire qui entoure les Jeux. Pour lire le rapport en détail : https://lnkd.in/eXb26_ER

“Il faut s’attaquer à des leviers plus ambitieux : la décarbonation de la chaîne de production et l’évolution du modèle d’affaires” En 2022, PICTURE ORGANIC CLOTHING a choisi Sami afin de l’accompagner dans la mesure de son empreinte carbone et la réalisation d’ACV. La marque de vêtements référence dans l’outdoor (ski, snowboard, surf) cherchait alors un partenaire de longue durée afin d’abord de “remettre à plat” son bilan carbone puis de poursuivre ces prochaines années avec une méthodologie unique. Depuis 2 ans maintenant, Picture a trouvé avec Sami : 👉 un partenaire de confiance pour calculer son empreinte carbone 👉 une plateforme afin de suivre tous les ans ses principaux indicateurs, ses leviers de décarbonation, ses trajectoires de réduction des émissions 👉 un partenaire pour des ACV sur presque toute sa collection En parallèle, bien que déjà très engagée depuis sa création en 2008, Picture continue de déployer une stratégie climat globale et ambitieuse. Dans cet entretien, Florian Palluel détaille les priorités de la marque pour les prochains mois et prochaines années : ⚡ décarbonation de ses fournisseurs grâce au travail de l’European Outdoor Group (EOG) ♻️ lancement d’un service de seconde main 📉 réduction du nombre de références ❄️ adaptation au changement climatique Pour découvrir ce témoignage : https://lnkd.in/dMaizjn3 Merci à Florian Palluel et à toutes les équipes de Picture pour leur travail enthousiasmant et leur confiance. Vanessa Pasquet Juliette Cubaud-Macherey

Comment s’y prendre pour calculer les émissions de son scope 3 ? Le scope 3 regroupe toutes les émissions indirectes autres que celles liées à l’énergie. On y retrouve donc les émissions liées aux achats de marchandises et de matières premières par exemple, aux déplacements domicile-travail ou encore à l’utilisation et à la fin de vie des produits. Autant dire que ce scope 3 représente bien souvent la très grande majorité des émissions des entreprises et qu’il est donc un enjeu majeur dans la décarbonation de celles-ci. Voilà pourquoi nous venons de publier un nouvel article consacré aux différentes approches possibles pour calculer les émissions de ce scope 3. Vous y trouverez notamment les détails entre les approches spécifiques, semi-spécifiques et génériques : 👉 l’approche spécifique : elle consiste à récupérer des données spécifiques aux fournisseurs de l'entreprise, donc des données carbones spécifiques. C’est l’idéal. 👉 l’approche semi-spécifique : à défaut de données spécifiques, il faut remonter la chaîne des fournisseurs pour obtenir les données les plus précises possibles. 👉 l’approche générique : c’est une donnée moyenne d’impact qui est prise en compte Quelles sont les données à aller chercher pour une approche semi-spécifique ? Quelles sont les limites de chaque approche ? Mais aussi quelles sont les recommandations secteur par secteur pour ce scope 3 ? Vous trouverez toutes les réponses dans cet article : https://lnkd.in/gPmjzFTR Et pour le détail du contenu des scopes 1, 2 et 3 : https://lnkd.in/eBEAgqwz Merci à Manon Dias pour son expertise !

L'été revient et avec lui le FNE-Formation ! Vous ne connaissez pas encore ce dispositif ? Pas de panique, on vous explique tout en toute simplicité 😉 Le FNE-Formation, c'est le fonds national de l'emploi dédié à la formation. Son but ? Permettre aux entreprises ayant un OPCO (opérateurs de compétences) de financer des formations liées à la transition énergétique sans puiser dans leur enveloppe budgétaire OPCO💡 Qui peut en bénéficier ? Tous les salariés, sauf ceux en contrat d'apprentissage, de professionnalisation, ou quittant l'entreprise via un plan de sauvegarde de l'emploi ou une rupture conventionnelle collective, sont éligibles. Aucun niveau de diplôme ou catégorie socio-professionnelle n'est requis. Comment en bénéficier ? Rien de plus simple ! Il suffit à l'entreprise de contacter son OPCO pour préparer la demande FNE-Formation et récupérer le dossier de subvention 📂 Concrètement, que vous ayez déjà épuisé votre budget formation ou non, vous pouvez bénéficier de ce dispositif et ainsi préserver votre enveloppe pour d'autres formations. Pour plus d'informations, rendez-vous sur : https://lnkd.in/ejD_3nV4 Attention, les enveloppes partent vite alors profitez de l’été pour développer les compétences de vos équipes ! Nous proposons avec Sami Academy, notre centre de formation 2 nouvelles sessions de formation qui pourraient vous intéresser : 📆 En septembre 2024 📏 Notre formation sur la comptabilité carbone, d’une durée de 18H30 réparties en 6 sessions 👉 Lien d’inscription : https://lnkd.in/ewQyu6AK 📆 En septembre 2024 📉 Notre formation à la stratégie climat, d’une durée de 12H réparties en 4 sessions 👉 Lien d’inscription : https://lnkd.in/edFzT8Ei