✨ Toute l'équipe Gloria est ravie de collaborer avec Gaël Duez ✨ 🔍 Gaël est un défenseur du numérique responsable. Il a dirigé des équipes Tech et business sur trois continents. Aujourd'hui, il se consacre à la sensibilisation et à la formation sur ce sujet. Gaël est le fondateur du podcast "Green IO" qui offre un lieu pour construire un monde numérique plus vert. 💡A travers sa conférence “Le numérique, une bombe climatique à retardement ?”, Gaël Duez lève le voile sur la vérité peu connue de l’empreinte environnementale de notre monde numérique et donne ensuite à son public toutes les cartes pour commencer à agir. 👉 N'hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez en savoir plus et/ou à consulter notre site internet : https://lnkd.in/edRfKXnj
Post de Gloria
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Numérique et environnement, un sujet difficile ? Alors que nous avons, en tant qu'entreprise de la tech et qu'entreprise citoyenne, un grand rôle à jouer dans la transition écologique, nous nous sommes penchés sur la manière dont la population française percevait le rôle du numérique et de l'IA dans la lutte contre le réchauffement climatique. Qu'en retenir ? -Une véritable prise de conscience quant à l'urgence climatique -La volonté d'agir pour réduire son impact sur l'environnement -Et pour ce faire, le besoin de se voir proposer des solutions. Logistiques (recyclage notamment), mais aussi technologiques, comme des IA qui peuvent aider à pour réduire son impact. 🙌 Et ça tombe bien, c'est l'une des missions que l'on s'est données dans le cadre de notre stratégie de responsabilité d'entreprise ➡️ Travailler avec l'ensemble de nos parties prenantes pour mettre le numérique au service de la construction d’un avenir positif. Une étude qui saura certainement intéresser les visiteurs et visiteuses de ChangeNOW ! https://lnkd.in/grF9UGrT
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Quelques infos intéressantes sur la perception de inintelligence artificielle en France , #AI
Numérique et environnement, un sujet difficile ? Alors que nous avons, en tant qu'entreprise de la tech et qu'entreprise citoyenne, un grand rôle à jouer dans la transition écologique, nous nous sommes penchés sur la manière dont la population française percevait le rôle du numérique et de l'IA dans la lutte contre le réchauffement climatique. Qu'en retenir ? -Une véritable prise de conscience quant à l'urgence climatique -La volonté d'agir pour réduire son impact sur l'environnement -Et pour ce faire, le besoin de se voir proposer des solutions. Logistiques (recyclage notamment), mais aussi technologiques, comme des IA qui peuvent aider à pour réduire son impact. 🙌 Et ça tombe bien, c'est l'une des missions que l'on s'est données dans le cadre de notre stratégie de responsabilité d'entreprise ➡️ Travailler avec l'ensemble de nos parties prenantes pour mettre le numérique au service de la construction d’un avenir positif. Une étude qui saura certainement intéresser les visiteurs et visiteuses de ChangeNOW ! https://lnkd.in/grF9UGrT
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Je booste vos performances & santés. Vers un humanisme éclairé et inspirant pour une excellence globale, équitable et durable. Coach pour dirigeant & manager, consultante & formatrice.
𝐈𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥'𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧 𝐚̀ 𝐥'𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐈𝐀? Je vous relaie cet article étayé de Marie ELOY ⚖️ Car effectivement une prise de conscience large est urgente et une vision systémique est aujourd'hui indispensable pour y parvenir. Ne pas investir sur l'humain sonne le glas de notre civilisation. Virginia Satir disait déjà "𝐂𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐞𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐮𝐧 𝐭𝐫𝐞́𝐬𝐨𝐫". Qu'attendons-nous pour investir dans l'humain puisque que nous avons besoin de trésor et de BGS (Bon Gros Sens) pour agir différemment?
Entrepreneure engagée | Présidente de Bouge ta Boite · Bouge ton Groupe · Femmes des Territoires | Chroniqueuse Les Échos | Podcast #EllesOntOsé | Forbes 2020 | Top 50 RSE | BCorp
✍ #MaDernièreChronique Les Echos va à contre-courant mais s'appuie sur des faits : "L’humain plus rentable que la tech ? " Extraits : " Vivons-nous réellement sur la même planète ? D'une part, l'urgence climatique exige une réduction drastique d’au moins 90% des émissions de gaz à effet de serre - et donc de notre consommation d’énergie - d'ici à 2040 . C’est demain. D'autre part, les fonds d’investissement privés comme publics continuent de diriger massivement leurs financements uniquement vers le développement des innovations technologiques. Or, si on regarde honnêtement les données, la grande majorité des innovations tech constituent des gouffres d’énergie, d’eau et de ressources naturelles comme l’a récemment admis Sam Altman, le père de ChatGPT. Même les solutions tech for good, si utiles pour l’humain ou l’environnement, nécessitent toujours plus de matières et d’énergie pour se déployer. Comment ferons-nous quand leur utilisation sera limitée par la force majeure ? Nous savons déjà qu’à elles seules les énergies vertes ne seront pas suffisantes pour soutenir notre rythme de consommation, qu’un quart de la population est en stress hydrique, et que l’approvisionnement d’éléments clés comme les semi-conducteurs ou les « terres rares » est incertain en raison de tensions géopolitiques. Parier uniquement sur des solutions dépendantes de ressources de plus en plus rares, exposées aux aléas géopolitiques et ayant un impact sur l’environnement ? N’avons-nous déjà pas vécu une situation similaire avec le pétrole ? Nous reproduisons malgré tout cette erreur dans une quête incessante de rentabilité immédiate. Nous vivons donc un grand écart presque schizophrénique. D’un côté, l’éveil des consciences grandit sur l’urgence absolue de transformer nos modes de vie, notre économie et notre relation à l’environnement. De l’autre côté, nous continuons de financer abondamment ce qui augmente notre empreinte carbone et épuise notre planète mais est rentable à court terme et nous maintient compétitifs. (...) Diversifions dès aujourd’hui nos thèses et nos critères d’investissements. Plus encore que de technologie, l'humanité aura alors besoin d'une alimentation accessible, de care, de systèmes de santé robustes, d'une éducation centrée sur l'environnement, l'adaptabilité et le vivre ensemble. Elle nécessitera aussi une économie résiliente, voire régénératrice, qui privilégie les interactions locales et les solutions bas carbone. Ces investissements, qui peuvent sembler moins financièrement attractifs, ont un temps d’avance. Sur le long terme, ils s’avéreront être les choix les plus rentables. Inspirés par Gandhi, engageons-nous à investir dans le changement que nous souhaitons voir dans le monde. Ce que nous finançons aujourd'hui façonnera notre futur. Ce que nous négligeons disparaîtra." Lire : 📰👇 lien en commentaire Merci Céline ANDRE, Julie Bodin, Maud Cotto 🙌, Julien Kerforn, Ingrid Certain et Caroline Duchêne #Environnement
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Entrepreneure engagée | Présidente de Bouge ta Boite · Bouge ton Groupe · Femmes des Territoires | Chroniqueuse Les Échos | Podcast #EllesOntOsé | Forbes 2020 | Top 50 RSE | BCorp
✍ #MaDernièreChronique Les Echos va à contre-courant mais s'appuie sur des faits : "L’humain plus rentable que la tech ? " Extraits : " Vivons-nous réellement sur la même planète ? D'une part, l'urgence climatique exige une réduction drastique d’au moins 90% des émissions de gaz à effet de serre - et donc de notre consommation d’énergie - d'ici à 2040 . C’est demain. D'autre part, les fonds d’investissement privés comme publics continuent de diriger massivement leurs financements uniquement vers le développement des innovations technologiques. Or, si on regarde honnêtement les données, la grande majorité des innovations tech constituent des gouffres d’énergie, d’eau et de ressources naturelles comme l’a récemment admis Sam Altman, le père de ChatGPT. Même les solutions tech for good, si utiles pour l’humain ou l’environnement, nécessitent toujours plus de matières et d’énergie pour se déployer. Comment ferons-nous quand leur utilisation sera limitée par la force majeure ? Nous savons déjà qu’à elles seules les énergies vertes ne seront pas suffisantes pour soutenir notre rythme de consommation, qu’un quart de la population est en stress hydrique, et que l’approvisionnement d’éléments clés comme les semi-conducteurs ou les « terres rares » est incertain en raison de tensions géopolitiques. Parier uniquement sur des solutions dépendantes de ressources de plus en plus rares, exposées aux aléas géopolitiques et ayant un impact sur l’environnement ? N’avons-nous déjà pas vécu une situation similaire avec le pétrole ? Nous reproduisons malgré tout cette erreur dans une quête incessante de rentabilité immédiate. Nous vivons donc un grand écart presque schizophrénique. D’un côté, l’éveil des consciences grandit sur l’urgence absolue de transformer nos modes de vie, notre économie et notre relation à l’environnement. De l’autre côté, nous continuons de financer abondamment ce qui augmente notre empreinte carbone et épuise notre planète mais est rentable à court terme et nous maintient compétitifs. (...) Diversifions dès aujourd’hui nos thèses et nos critères d’investissements. Plus encore que de technologie, l'humanité aura alors besoin d'une alimentation accessible, de care, de systèmes de santé robustes, d'une éducation centrée sur l'environnement, l'adaptabilité et le vivre ensemble. Elle nécessitera aussi une économie résiliente, voire régénératrice, qui privilégie les interactions locales et les solutions bas carbone. Ces investissements, qui peuvent sembler moins financièrement attractifs, ont un temps d’avance. Sur le long terme, ils s’avéreront être les choix les plus rentables. Inspirés par Gandhi, engageons-nous à investir dans le changement que nous souhaitons voir dans le monde. Ce que nous finançons aujourd'hui façonnera notre futur. Ce que nous négligeons disparaîtra." Lire : 📰👇 lien en commentaire Merci Céline ANDRE, Julie Bodin, Maud Cotto 🙌, Julien Kerforn, Ingrid Certain et Caroline Duchêne #Environnement
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Directrice conseil/ Transformation et accélération digitales / Data / Accélération E-commerce/ Stratégie IT
👀 J’ai participé à la Fresque du Numérique ! #fresquenumerique Basé sur la pédagogie de La Fresque du Climat, La Fresque du Numérique permet à toutes et tous de comprendre ces impacts environnementaux et de réfléchir à des actions pour réduire ces impacts tout en passant un bon moment. On entend encore trop souvent "c'est numérique, c’est virtuel, donc c'est green et positif" sans discernement. Le numérique peut nous apporter beaucoup de choses positives collectivement certes, mais il a aussi des impacts négatifs qu'il faut connaître pour prendre les bonnes décisions. N'arrêtons pas de faire du numérique mais alignons la transition numérique avec la transition écologique et sociale ! #hardisgroup #transitionecologique #numeriqueresponsable #rse
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🍺 PRESSION HYPERBAR : Numérique et transition écologique, un mariage impossible ? 🤔 📆 mardi 6 février 🕗 à partir de 19h 📍 Brasserie Zoumaï, 13006 Marseille Le #numérique est souvent valorisé pour son impact positif sur les différents problèmes que l’humanité a elle-même créés. Même si l’impact du numérique sur l’#environnement est assez compliqué à percevoir, il est pourtant bien réel. Alors existe-t-il une forme de « sobriété numérique », compatible avec la nécessaire #transitionécologique que nous devons mettre en œuvre pour protéger notre planète? 👉 L'OSU Institut Pythéas et Bleu Tomate vous donnent rendez-vous pour en discuter ! https://lnkd.in/d2wr3ii3 🗣️ Intervenants : Didier Mallarino – Ingénieur de recherche CNRS - Centre national de la recherche scientifique à l’OSU Pythéas Directeur Adjoint du GDS EcoInfo & cristal collectif du CNRS Christophe Hugon – Docteur en Physique Nucléaire et Physique des Particules, Elu Ville de Marseille délégué au Numérique Responsable. Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur #provencetransition #environnement #impacts #bardessciences #mediationscientifique
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🌍 Journée Mondiale de la Terre : Agir pour un Numérique Responsable 🌱 En cette Journée de la Terre, chez Adservio Group, nous sommes fiers de partager un article de notre filiale, adservio academy, sur le référentiel GR491 et son importance pour un numérique plus responsable. Le numérique a un rôle crucial à jouer dans la transition vers un monde plus durable. Le référentiel GR491 vise à encadrer les bonnes pratiques en matière d'éco-conception des services numériques, de réduction de l'empreinte carbone et de respect de l'environnement. 🔗 Découvrez comment ce référentiel peut vous aider à contribuer à un avenir plus vert : https://bit.ly/3UpSXTO Agir ensemble pour la planète, c'est aussi repenser notre manière de concevoir et d'utiliser la technologie. Chez Adservio Group, nous nous engageons à promouvoir un numérique éco-responsable et à soutenir les initiatives durables. #JournéeMondialeDeLaTerre #NumériqueResponsable #GR491 #AdservioAcademy #AdservioGroup #Durabilité
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Conseillère relation entreprises - Animatrice de la Halle de l’Emploi - Déploiement de projet - Consultante RH - CIP - CEP - Facilitatrice en intelligence collective chez France Travail
L' #humain, plus #rentable que la #tech ? Merci Marie ELOY ⚖️ pour cet article très intéressant qui doit tous nous faire réfléchir, prendre conscience et changer nos façons d’avancer avec la tech
Entrepreneure engagée | Présidente de Bouge ta Boite · Bouge ton Groupe · Femmes des Territoires | Chroniqueuse Les Échos | Podcast #EllesOntOsé | Forbes 2020 | Top 50 RSE | BCorp
✍ #MaDernièreChronique Les Echos va à contre-courant mais s'appuie sur des faits : "L’humain plus rentable que la tech ? " Extraits : " Vivons-nous réellement sur la même planète ? D'une part, l'urgence climatique exige une réduction drastique d’au moins 90% des émissions de gaz à effet de serre - et donc de notre consommation d’énergie - d'ici à 2040 . C’est demain. D'autre part, les fonds d’investissement privés comme publics continuent de diriger massivement leurs financements uniquement vers le développement des innovations technologiques. Or, si on regarde honnêtement les données, la grande majorité des innovations tech constituent des gouffres d’énergie, d’eau et de ressources naturelles comme l’a récemment admis Sam Altman, le père de ChatGPT. Même les solutions tech for good, si utiles pour l’humain ou l’environnement, nécessitent toujours plus de matières et d’énergie pour se déployer. Comment ferons-nous quand leur utilisation sera limitée par la force majeure ? Nous savons déjà qu’à elles seules les énergies vertes ne seront pas suffisantes pour soutenir notre rythme de consommation, qu’un quart de la population est en stress hydrique, et que l’approvisionnement d’éléments clés comme les semi-conducteurs ou les « terres rares » est incertain en raison de tensions géopolitiques. Parier uniquement sur des solutions dépendantes de ressources de plus en plus rares, exposées aux aléas géopolitiques et ayant un impact sur l’environnement ? N’avons-nous déjà pas vécu une situation similaire avec le pétrole ? Nous reproduisons malgré tout cette erreur dans une quête incessante de rentabilité immédiate. Nous vivons donc un grand écart presque schizophrénique. D’un côté, l’éveil des consciences grandit sur l’urgence absolue de transformer nos modes de vie, notre économie et notre relation à l’environnement. De l’autre côté, nous continuons de financer abondamment ce qui augmente notre empreinte carbone et épuise notre planète mais est rentable à court terme et nous maintient compétitifs. (...) Diversifions dès aujourd’hui nos thèses et nos critères d’investissements. Plus encore que de technologie, l'humanité aura alors besoin d'une alimentation accessible, de care, de systèmes de santé robustes, d'une éducation centrée sur l'environnement, l'adaptabilité et le vivre ensemble. Elle nécessitera aussi une économie résiliente, voire régénératrice, qui privilégie les interactions locales et les solutions bas carbone. Ces investissements, qui peuvent sembler moins financièrement attractifs, ont un temps d’avance. Sur le long terme, ils s’avéreront être les choix les plus rentables. Inspirés par Gandhi, engageons-nous à investir dans le changement que nous souhaitons voir dans le monde. Ce que nous finançons aujourd'hui façonnera notre futur. Ce que nous négligeons disparaîtra." Lire : 📰👇 lien en commentaire Merci Céline ANDRE, Julie Bodin, Maud Cotto 🙌, Julien Kerforn, Ingrid Certain et Caroline Duchêne #Environnement
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🌿 Soutien à l’initiative NumEcoeVal 🌿 Oodrive est ravi de vous partager son enthousiasme pour NumEcoeVal, un outil évaluant l’empreinte environnementale du numérique, jouant un rôle crucial dans la promotion de pratiques responsables dans notre secteur. Évaluer et comprendre l’impact écologique de nos activités numériques sont les mots d’ordre pour NumEcoeVal. En utilisant cet outil, nous pouvons prendre des décisions, informer et adopter des pratiques qui réduisent notre empreinte carbone. 👉 En tant que professionnels du numérique depuis plus de 23 ans, nous sommes convaincus que de telles initiatives sont essentielles pour promouvoir la durabilité dans nos activités quotidiennes. Pour en savoir plus : https://lnkd.in/eJckfqDg D'ailleurs, Oodrive à bientôt du nouveau en matière de Numérique Responsable 😉 #Numecoeval #DurabilitéNumérique #ResponsabilitéEnvironnementale #InnovationVerte Mission Interministérielle Numérique Écoresponsable | Direction interministérielle du numérique (DINUM) | Direction du numérique des Ministères Sociaux (DNUM) | Sopra Steria | IJO
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