Post de André GOFFIN

Ce mardi matin, le Comité National de la Conchyliculture a participé à la réunion du Comité France Maritime, co-présidée par le Secrétariat général de la mer - Premier ministre (SGMer), Didier Lallement et la Présidente du Cluster Maritime Français, Nathalie Mercier-Perrin. Quatre sujets majeurs pour l'avenir de l'économie maritime française ont été abordés : ⚓ Le développement de l'économie portuaire ; ⚓ La décarbonation du transport maritime ; ⚓ Le développement du nautisme et de la plaisance ; ⚓ L'attractivité des métiers de l'économie bleue. Les différents acteurs se sont tous montrés proactifs et engagés sur ces grands enjeux. Les grands défis de la filière conchylicole concernaient plus particulièrement ici la décarbonation de la flotte et l'attractivité de nos métiers, notamment auprès du public jeune.

L'entretien : Christophe Castaner programme 100 M€ d'investissements en 2025 sur le port » ⚓️ Le président du conseil de surveillance du Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos répond à l'Essentiel Marseille sur les résultats 2024 et les perspectives 2025. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Marseille, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : marseille.lessentiel.fr • Comment va le port de Marseille-Fos ? « L'année 2024 a été marquée par un contexte international complexe, en particulier à cause des les tensions en mer Rouge. Malgré cela, le port a enregistré une hausse de 9 % du trafic conteneurs, atteignant 1,45 million d’Evp, et le chiffre d’affaires devrait s’élever à 225 M€, soit une augmentation historique de 7 %. En revanche, le trafic passagers est en léger recul, avec 3,9 millions de voyageurs, principalement en raison du repositionnement des paquebots en Asie après la fin de la crise sanitaire. » • Quels rendez-vous pour 2025 ? « Ce sera l’année de l’organisation d’un "débat sur les débats" pour questionner les citoyens, prendre de la hauteur et comprendre tous les enjeux dans les bassins Ouest. Les zones de Fos-sur-Mer, de Dunkerque et du Havre émettent la moitié du CO2 industriel en France. 2025 verra aussi le début de la construction du site d’assemblage des éoliennes flottantes. » • Où en sont les grands projets de Marseille-Fos ? « Avec 100 M€ d’investissements prévus en 2025, nous aurons le même niveau qu’en 2024. Nous allons poursuivre l’électrification à quai des navires de croisière, un projet de 170 M€ venant après celle des ferries de Corse et du Maghreb. Nous continuons l’aménagement des bassins Est avec un projet privé sur le J1 et le nouveau siège du port sur le J0. Nous voulons faire de Marseille la porte d’entrée maritime sur la Corse en travaillant sur un bâtiment d’une meilleure qualité pour faire une vitrine de la Corse ici à Marseille. À ce terminal en seront adossé d'autres gérés par Corsica Linea et La Méridionale. » ✍️ Journaliste Nathalie Bureau du Colombier 📸 Crédit photo : Nathalie Bureau du Colombier #Marseille #PortDeMarseilleFos #Investissements2025

📢 [𝗟'𝗮𝗰𝘁𝘂 𝗚𝗠𝗣] 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘂 𝗥𝗗𝗩 𝗕𝘂𝘀𝗶𝗻𝗲𝘀𝘀 𝗲𝘁 𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 🚢 Le 28 mai à Rouen, avait lieu la 2ème Edition de l’évènement 𝙈𝙪𝙡𝙩𝙞𝙢𝙤𝙙𝙖𝙡𝙞𝙩𝙚́ 𝘼𝙭𝙚 𝙎𝙚𝙞𝙣𝙚 – 𝘼𝙘𝙘𝙚́𝙡𝙚́𝙧𝙤𝙣𝙨 𝙡𝙖 𝙙𝙚́𝙘𝙖𝙧𝙗𝙤𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣, avec pour thème central la logistique fluviale et ferroviaire. Nathalie Wagner, Directrice Commerciale de la Générale de Manutention Portuaire est intervenue au cours de l’Atelier 4 sur la stratégie conteneurs sur l’axe seine. Lors de cette table ronde, l'intérêt d'un « 𝙩𝙖𝙥𝙞𝙨 𝙛𝙡𝙪𝙫𝙞𝙖𝙡 » entre Rouen et le Havre a été démontré. En collaboration avec SOGESTRAN Group, la Générale de Manutention Portuaire a mis en place un système de « rendez-vous » pour les barges fluviales : ✔ en consacrant des mètres linéaires de quai ✔ en réservant des séquences horaires ✔ en dédiant du matériel et des équipes spécifiques. Cette procédure opérationnelle permet de donner de la régularité et de la fiabilité à ce mode fluvial, et ainsi accueillir 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙨𝙚𝙧𝙫𝙞𝙘𝙚𝙨 𝙝𝙚𝙗𝙙𝙤𝙢𝙖𝙙𝙖𝙞𝙧𝙚𝙨 de Sogestran, avec une montée en puissance d’un service quotidien attendu; le Port de Rouen HAROPA PORT pouvant ainsi jouer pleinement son rôle de base avancée ou base arrière du port du Havre. #generaledemanutentionportuaire #logistiqueseinenormandie #decarbonation #multimodal #haropaport #axeseine #sogestrangroup

⚓ La dernière note de l'ISEMAR : Dynamique portuaire de l’axe Nord  https://lnkd.in/etzt7-zs - Un système portuaire et logistique très dense - Un dynamisme soutenu - Le GPMD fer de lance de la réindustrialisation - Les grands enjeux pour l’axe Nord - La déclinaison de la stratégie nationale portuaire... 

Massification du fret fluvial, digitalisation des échanges, modernisation des terminaux : l’axe Rhône-Saône accélère sa transformation. Entre enjeux fonciers, ambitions industrielles et défis politiques, ce corridor stratégique s’impose comme un levier clé pour la transition économique et écologique. 💼 On en parle ici ⤵️ Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos Hervé Martel Christophe Castaner CMA CGM CCI Aix Marseille Provence Aix-Marseille Université (AMU) Préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et des Bouches-du-Rhône Ville de Lyon Banque des Territoires CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur

Quand le Vieux-Port accueillait des navires de la marine marchande au début du XXe siècle… On a tendance à l’oublier, mais jusqu’aux années 1950, le Vieux-Port était un haut lieu de l’économie marseillaise. Des navires venus du monde entier y accostaient et y déchargeaient leurs marchandises. Celles-ci étaient ensuite stockées dans les nombreux entrepôts du périmètre, à commencer par ceux situés dans l’îlot Thiars que l’on voit à droite de l’image, aujourd’hui reconvertis en logements et en bureaux. Le nom de Vieux-Port fut donné à la calanque du Lacydon en 1853, lorsque le bassin portuaire de la Joliette fut ouvert, opposant de fait le bassin historique au nouveau. Pour autant, la création du nouveau port ne signa pas la fin de l’ancien. Reliés entre eux jusqu’en 1938, par un canal qui passait en contrebas du fort Saint Jean, ils fonctionnaient de façon concomitante. Le Vieux-Port continua d’ailleurs à s’imposer comme un haut-lieu de l’économie marseillaise jusqu’à ce que les autorités décident de le laisser à l’usage des plaisanciers… Ce changement trouve vraisemblablement ses racines dans la transformation de la chaine logistique liée à l’émergence des containers, dans la création des bassins portuaires successifs le long de la côte nord de Marseille jusqu’en 1976, ainsi que dans l’aménagement du port de Fos Lavera à partir de 1953, permettant aux navires de la marine marchande de disposer de tout l’espace nécessaires. C’est ainsi que le Lacydon nettement moins pratique en raison de sa taille et de l’urbanisation de son pourtour fut transformé pour devenir un espace dédié à la plaisance… Ce post est une dédicace à l’Union Maritime Fluviale qui a soufflé hier sa 120e bougie ! Merci pour ce beau gala et au passage… Quand l’histoire est bien racontée, elle n’est jamais soporifique. La preuve 😉 Union Maritime et Fluviale Marseille-Fos (UMF), Hervé Martel, Rémi Costantino, Grand Port Maritime de Marseille - Port de Marseille Fos, Frederic Dagnet, Christophe Castaner, Laurent Lhardit, Perrine Prigent, Aurélien Lécina, Bertrand RIGHO, Stéphane Boumendil, Ghizlène SINI, Jean- François Suhas, frederic AUBANTON et juste pour le voyage dans la rade marseillaise Franck Caro et Christopher Nobili 😉 Source de l'image: Collection privée (D.R)

📢 Après, il sera trop tard... Dernière ligne droite avant l'édition de ce magazine. Il est encore temps de vous associer aux médias français de référence sur le secteur portuaire Mer et Marine Hervé Deiss #port #maritime #portuaire #offshore #transport #groupetélégramme

Le groupement Valétudes Axonéo accompagne la CCI sur ce projet

𝐋𝐞 𝐇𝐚𝐯𝐫𝐞 : 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 "𝐜𝐡𝐚𝐭𝐢𝐞̀𝐫𝐞" 𝐝𝐞́𝐦𝐚𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫 𝐏𝐨𝐫𝐭 𝟐𝟎𝟎𝟎 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐒𝐞𝐢𝐧𝐞 Au Havre, le projet de la "chatière", un chantier stratégique de 197 millions d’euros, visant à relier Port 2000 au bassin de la Seine pour décarboner le transport fluvial, entre dans une phase concrète avec le début des travaux préparatoires. Actuellement, seuls 10 % des navires fluviaux peuvent accéder directement aux terminaux maritimes de Port 2 000, faute d’infrastructure adaptée. C’est pourquoi le projet de la « chatière » a été imaginé, pour décarboner la chaine logistique en sécurisant et multipliant le nombre de conteneurs transportés par voie fluviale au départ et à l’arrivée du Havre. Cet accès simplifié doit, tout simplement, permettre d’accroître et de sécuriser les flux fluviaux, rendant ce mode de transport plus compétitif et durable, face à la route. Un financement de 197 millions d’euros. Estimé à 197 millions d'euros, le projet bénéficie d’un financement partagé. La Région Normandie contribue à hauteur de 86,05 millions d’euros, suivie par l’État (23,6 millions), l’Union européenne (11 millions via le Mécanisme pour l’interconnexion en Europe) et Haropa Port (76,35 millions). Avec ce chantier, l'axe Seine se dote d’un outil stratégique pour renforcer son attractivité et répondre aux enjeux environnementaux. https://lnkd.in/e867Q-9j