Post de Hervé BIGAL

De bons conseils...

« 1 minute, 1 min avant dépose » … 💭 «  on y est… ok, suis-je prêt? Suis-je bien réveillé? Qu’est-ce qu’il va se passer? Comment cela va t-il se passer? Qui vais-je trouver? …. Suis-je vraiment prêt à passer à l’action? » -> Un aperçu d’un panel de questions qui traversent notre esprit 🧠 juste avant de passer à l’action 💥 -> À chaque question, sa nouvelle dose de Stress ⚡️ qui peut se rajouter, s’empiler à l’ambiance du moment. Dose de Stress qui, si elle n’est pas maîtrisée ou réadaptée ✅, peut compromettre l’action à venir. Et ce, quelque soit ta mission 🚨 -> D’où l’importance d’apprendre à se connaître soit même 🙋🏼et d’apprendre des techniques d’Optimisation des Ressources des Forces Armées (ORFA®️) 📚 pour aborder chaque événement dans les meilleurs conditions possibles 👍🏽 #orfa #optimisation #ressources #armee #gendarmerie #france #stress #intervention #action #sommeil #developpementpersonnel #professionnel #mental #motivation

Je vais aujourd’hui vous livrer un secret. Mais, pour ce faire, je vais devoir très rapidement vous résumer mon parcours. J’ai été agent de sécurité à 17 ans, physionomiste et videur dans les plus grandes discothèques de Paris, directeur de ces mêmes discothèques à 21 ans, consultant pour plusieurs entreprises du CAC 40 et autres organisations internationales, quatre fois dirigeant d’entreprise avec 3 victoires et 1 KO, responsable de la sûreté de la présidence de la première entreprise de France (Elf Aquitaine) à 29 ans. J’ai géré des crises de basse et haute intensité, j’ai été garde de corps des plus grandes stars (de mon époque), directeur de la sûreté et de l’intelligence économique, secrétaire général, directeur des achats, de l’immobilier… et aujourd’hui directeur de la sûreté et FM d’un très grand groupe. Je suis aussi à mes heures perdues écrivain, « LinkedIneur » (j’espère que ce mot entrera dans le Larousse 😂), etc. Je ne vais pas tourner autour du pot, je vais vous livrer mon secret. Dans chacune de mes aventures, outre le fait de m’engager à 200 %, j’ai toujours visualisé le coup d’après. Et, très important, je ne me suis jamais pris au sérieux. De plus, je ne prends jamais rien pour acquis et je remercie au quotidien la vie de me permettre de poursuivre mon parcours. Alors que j’avais froid et parfois peur devant une porte de boîte de nuit, j’imaginais de quelle manière j'allais bien pouvoir reprendre mes études que j’avais savamment sabotées. Lorsque je marchais aux côtés de Sharon Stone et d’autres, j’imaginais (tout en étant extrêmement vigilant) l’entreprise que j’allais bien pouvoir bâtir. Lorsque j’ai eu la chance d’échanger avec des grands de ce monde, j’ai savouré chacune de leurs paroles et cherché à comprendre la manière dont ils bâtissaient leur raisonnement. J’ai eu la chance de faire une grande école dont la « base line » est Dare (oser). Et je suis convaincu que le secret est d’oser. Osez affronter l’adversité, osez briser les chaînes qui vous font dire que vous n’avez pas de chance. Osez repartir de zéro si nécessaire. N’attendez rien de ceux qui vous entourent et ne pensez surtout pas que vous êtes né sous une mauvaise étoile ⭐️ . N’ayez pas peur de bousculer les idées des uns et des autres (toujours avec respect). Nous sommes tous égaux (OK, certains ne le pense pas). Alors, projetez-vous et construisez votre avenir. J’ai vu des centaines et peut-être des milliers de personnes se transformer professionnellement parlant. 💪 Votre point de départ, les conditions sociales dans lesquelles vous avez grandi, ou bien encore votre âge… n’ont aucune forme d’importance, car ce sont votre détermination et votre engagement qui feront toute la différence. Rêvez, osez, foutez-vous du regard des autres et saupoudrez le tout d’un brin de folie, voilà le secret que je voulais vous transmettre aujourd’hui. #linkedineur

Dans cette période de transition professionnelle, me voilà embarqué dans le domaine de la sécurité. Le pays a besoin de personnel pour que cet événement mondial se passe dans les meilleures conditions, j’ai du temps devant moi, alors c'est parti ! 1ère étape : formation de 4 semaines. Au programme : secourisme (SST), cadre juridique, gestion de conflit, techniques de filtration palpation. 2ème étape : examen de fin de formation (70 QCU + épreuve pratique de mise en situation) 3ème étape : vu que la 2ème est réussie ce jour, en attente de la carte pro ! 4ème étape : carte pro reçu le 13/06, rendez-vous pour un entretien le 14/06. Contrat signé pour un poste au Paris Media Centre du Palais des Congrès à partir du 18/07. Première expérience histoire de se rôder. 3 jours de vacation, 12 heures par jour pour SOLIDAYS ! On en a palpé du monde. Une ambiance du tonnerre, des festivaliers compréhensifs, aucun incident majeur. Vivement l'édition 2025 !

Outil indispensable de ceux qui ont pour seul objectif de sauvegarder la vie humaine, c'est sur la voie de la négociation que je souhaite poursuivre mon chemin avec la Gendarmerie Nationale et c'est en ce sens que je vais travailler chaque jour pour atteindre mes objectifs.

c'est effectivement une démarche très importante que l'on associe à une démarche de gestion de risque et illustré par des cas d'usage en informatique. Cela permet de préparer les parties prenantes à anticiper les situations.

L’art de (se) diriger #46 – le « warning order » Le sujet du temps, du rythme, du tempo ou des différents horizons est d’un tout premier intérêt pour le dirigeant. Derrière l’axe temporel de son action se retrouve ce qui peut constituer un principe de management : tout ce qui peut s’anticiper doit être anticipé. Dit autrement : il convient de minimiser le champ des urgences au moins pour trois raisons : 1- L’urgence coûte toujours plus cher. 2- L’urgence détériore la liberté d’action qui constitue, rappelons-le, l’un des principes de la guerre – et il n’y a pas si loin entre la guerre des militaires et la guerre économique des entreprises. 3 -Enfin, l’anticipation permet à ses collaborateurs d’organiser leur travail. C’est une façon de les respecter. Les militaires utilisent un objet pour porter cette anticipation : le ‘warning order’ ou ordre préparatoire. Sa raison d’être est facilement compréhensible : si je ne sais pas tout et notamment pas le détail, j’en sais souvent néanmoins assez pour commencer à me projeter dans une action plus que probable. Donc ce que je sais, je le dis et le partage ; ce que je ne sais pas, je le dis aussi ; ce qui est sujet à caution ou à modification, je n’en parle pas pour ne pas troubler mes collaborateurs par de possibles changements de pied. La grande direction ou l’intention générale sert de colonne vertébrale pour commencer soit à réfléchir, soit à s’organiser, soit à rassembler les moyens nécessaires… et pour ne pas tout repousser au dernier moment. Il n’y a pas de formalisme. Il y a essentiellement un temps de déclenchement : lorsque j’en sais assez sur l’intention et sur le niveau de faisabilité. Si vous pensez avoir le choix entre ‘trop tôt’ ou ‘trop tard’ et sauf à ce que l’action en cause soit confidentielle, nous aurions tendance à vous recommander ‘trop tôt’. Il se peut alors que quelques ajustements soient apportés, mais le temps de préparation gagné sera indubitablement précieux. Souvent quelques mots suffisent : voilà ce qui a été décidé, ce que j’en sais, l’idée que je m’en fais, les mesures préparatoires qui s’imposent, la suite dès que j’en saurai plus. Travaillez chacun pour ce qui vous concerne sur ce sujet en priorité Et voilà, mon équipe est au courant, même si tout n’est pas encore ficelé - la note de cadrage arrivera plus tard. Le manager a fait son boulot ; il ne surprendra pas ses collaborateurs en précipitant toute son organisation dans le temps court et dévastateur de l’urgence absolue. Cet ordre préparatoire répond à un principe, celui d’anticiper. Il relève aussi de deux intuitions : le plus tôt possible et le plus probable (pour constituer une direction générale envisageable à plus de ….80%). Ces intuitions ne doivent pas vous tétaniser : l’anticipation prévaudra presque toujours sur l’excuse de l’indécision ("paralysis analysis") et de l’excessive précaution. #lartdesediriger

Maintenant que je suis dans la réserve j’ai un autre regard sur l’armée. Quand tu baignes dans un univers tout te parait normal, conforme. C’est quand tu en sors que tu te dis qu’il y a un truc de différent. Après plus de 20 ans d’armée, je suis devenu chef d’entreprise (👉 Team Spirit Academy). En parallèle je suis intervenant en école et bénévoles dans des associations. Du coup, je navigue dans plusieurs univers et j’entends les points de vue de chacun, je vois des comportements différents. Je suis en plus officier de réserve dans l'armée de terre. En avril j’ai fait une période de réserve où j’ai évalué une unité en manoeuvre. J’ai regardé cette phase avec un oeil différent, j’ai vu ce qui me paraissait normal avant: 👉 j’ai vu des hommes et des femmes vivre dehors, monter la garde sous la pluie avec le sourire, se lever en pleine nuit pour partir en mission et rester opérationnel malgré la fatigue; 👉 j’ai vu des cadres d’une vingtaine d’années commander leur groupe avec rigueur et bienveillance, prendre des initiatives . Premier levé, dernier couché et toujours sur le qui vive; 👉 j’ai vu des chefs vivre dans les même conditions que leurs hommes, faire preuve d’exemplarité et de remise en question permanente pour donner le meilleur d’eux-mêmes; 👉 j’ai vu des soldats qui étaient ensemble à s’entraider et faire en sorte que l’humain tienne pour mener la mission à bien. J’ai vu tout ça avec un oeil nouveau et je me suis dis: comment ça tient? comment on arrive à faire que ces soldats acceptent toutes ces contraintes? Certains diront le salaire et les primes, peut être mais pas que. D'autres diront, ils ont l’habitude… certes. Mais ça tient aussi aux chefs, aux camarades, à l’ambiance. A cette sensation que tu fais partie d’un tout. Ca tient au sens, à l’importance donné à la mission. On ne lâche rien, on doit être au niveau (il y a une culture, un état d’esprit derrière). Ca tient aussi aux regards échangés entre ceux qui se connaissent et qui savent compter les uns sur les autres. J’ai fini ma période de réserve avec encore plus de convictions qu’avant: 👉 oui la jeunesse n’est pas perdu, il faut savoir l’accompagner et la guider; 👉 donner du sens reste primordial car il permet d’aller plus loin ensemble. Tu cherches à développer ton collectif? Contactes moi en MP. --- Crédit photo - 515RT

Comment font les soldats pour réagir vite et bien dans le feu de l’action ? Outre la préparation mentale et l'entraînement intensif, ils scénarisent un maximum de cas non-conformes avant le début de chaque mission. Un cas non-conforme, c’est quelque chose qui a plus ou moins de chances de se produire et qui met en péril l’atteinte des objectifs. “Si le chef est hors de combat, qui prend le lead ?” “Si le véhicule de tête s’embourbe, comment on se réarticule ?” “Si la foule franchit l’entrée du camp, comment on réagit ?” “Si Grouchy ne reçoit pas les ordres de Napoléon et ne revient pas sur ses pas… oups !” 💯 Le secret des meilleures unités, c’est leur capacité à anticiper l’improbable. Mot d'ordre : garder l'initiative. “Si notre fournisseur a une rupture d’approvisionnement, a-t-on une solution de repli ?” “Si le chef de projet tombe malade, qui dispose des accès pour coordonner les équipes ?” “Si le logiciel de facturation plante, quelle solution choisit-on ?” “Si le prospect fait telle objection, qu’est ce qu’on lui répond ?” ✅ Prévoyez toujours un maximum de cas non-conformes avec votre équipe au lancement d’un projet ou d’une mission. ✅ Rédigez une procédure simple pour chacun d’entre eux et intégrez les à votre briefing. A l’armée, on parle de SOP (standard operational procedure). ✅ Confirmez avec vos collaborateurs que les SOP sont comprises et applicables. Ne vous contentez pas de poser la question. Faites reformuler. ✅ Mettez à jour les cas non-conformes au fur et à mesure de la mission et des retours d’expériences (retex). 💥 Les décisions rapides sont celles qui ont le plus d’impact. L’enjeu, dans le "brouillard de la guerre", c’est de préparer un maximum de décisions à l’avance. Qu’en pensez-vous ? #management #entrepreneuriat #leadership #rh

pas mal cette analyse, les managers doivent se l'approprier. cela requiert : - la décentralisation - la délégation des tâches - la multicompétence du manager - l'anticipation à l'avance sur les problèmes.... Ex: j'ai eu des soucis avec l'approvisionnement du courant électrique...le disjoncteur sautait chaque 10 à 15 minutes et il fallait à chaque fois remettre le compteur en marche...j'ai contacté un électricien de la société ENEO, qui m'a donné sa disponibilité dans l'après midi....au lieu de rester attendre pour résoudre le problème... - j'ai procédé à l'isolement de la prise qui causait ce saut de disjoncteur - j'ai acheté une nouvelle rallonge pour lier les machines à une autre prise libre et un peu éloigné du poste de la caisse le service a repri nonobstant le RDV du technicien qui se fera dans l'après midi... on note: l'identification du problème - l'anticipation - la promptitude - la compétence du manager.