Post de VINCI

🌆 L'art urbain à Antibes est devenu un élément vibrant et dynamique de la culture locale, transformant la ville en une galerie à ciel ouvert. Les rues d'Antibes se parent de fresques murales, de graffitis et d'installations artistiques qui ajoutent de la couleur et de l'énergie à l'environnement urbain. Cette forme d'expression artistique, autrefois marginale, est aujourd'hui largement reconnue et célébrée, attirant des artistes de renommée internationale ainsi que des talents locaux. 🎨 Chaque année, Antibes accueille divers festivals et événements dédiés à l'art urbain, notamment le festival Coul'Heures d'Automne, qui invite des artistes à investir les murs de la ville pour créer des œuvres éphémères et permanentes. Ces initiatives permettent non seulement de revitaliser les espaces publics, mais aussi de sensibiliser la population à l'importance de l'art dans la vie quotidienne. Les quartiers de la vieille ville et du port d'Antibes sont particulièrement célèbres pour leurs œuvres murales saisissantes, qui racontent des histoires locales et mondiales à travers des styles variés. 🌍 Les artistes qui contribuent à l'art urbain d'Antibes utilisent souvent leurs œuvres pour aborder des thèmes sociaux, environnementaux et culturels, reflétant les préoccupations contemporaines et engageant le public dans des réflexions profondes. Par exemple, des œuvres peuvent mettre en lumière la préservation de la mer Méditerranée, l'histoire locale ou encore les enjeux de la mondialisation. En plus des fresques murales, on trouve également des sculptures urbaines et des installations temporaires qui ajoutent une dimension interactive à l'expérience artistique dans la ville. #ArtUrbain #Local

🌆 L'art urbain à Antibes est devenu un élément vibrant et dynamique de la culture locale, transformant la ville en une galerie à ciel ouvert. Les rues d'Antibes se parent de fresques murales, de graffitis et d'installations artistiques qui ajoutent de la couleur et de l'énergie à l'environnement urbain. Cette forme d'expression artistique, autrefois marginale, est aujourd'hui largement reconnue et célébrée, attirant des artistes de renommée internationale ainsi que des talents locaux. 🎨 Chaque année, Antibes accueille divers festivals et événements dédiés à l'art urbain, notamment le festival Coul'Heures d'Automne, qui invite des artistes à investir les murs de la ville pour créer des œuvres éphémères et permanentes. Ces initiatives permettent non seulement de revitaliser les espaces publics, mais aussi de sensibiliser la population à l'importance de l'art dans la vie quotidienne. Les quartiers de la vieille ville et du port d'Antibes sont particulièrement célèbres pour leurs œuvres murales saisissantes, qui racontent des histoires locales et mondiales à travers des styles variés. 🌍 Les artistes qui contribuent à l'art urbain d'Antibes utilisent souvent leurs œuvres pour aborder des thèmes sociaux, environnementaux et culturels, reflétant les préoccupations contemporaines et engageant le public dans des réflexions profondes. Par exemple, des œuvres peuvent mettre en lumière la préservation de la mer Méditerranée, l'histoire locale ou encore les enjeux de la mondialisation. En plus des fresques murales, on trouve également des sculptures urbaines et des installations temporaires qui ajoutent une dimension interactive à l'expérience artistique dans la ville. #ArtUrbain #Local

@charlottecazenave - L'EXPOSITION Fragments de ville Si les grandes villes sont un tout, elles sont inévitablement un ensemble de petits riens. Une couleur, une ombre, un nouveau paysage se crée. Les géométries urbaines s'imbriquent pour créer une forme de poésie aux mille possibilités, en voilà une. https://urlr.me/4vB3d

🔶𝙇𝙚 𝟯𝟭 𝙟𝙪𝙞𝙡𝙡𝙚𝙩 𝙖̀ 𝙥𝙖𝙧𝙩𝙞𝙧 𝙙𝙚 𝟭𝟴𝙝𝟬𝟬 𝙖̀ 𝘾𝙖𝙡𝙡𝙚𝙣, 𝙧𝙚𝙣𝙙𝙚𝙯-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙖̀ 𝙡'œ𝙪𝙫𝙧𝙚 "𝙈𝙖𝙝𝙖𝙞𝙖 𝙡𝙖 𝘾𝙤𝙣𝙘𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣𝙩𝙚" 𝙙𝙚 𝙔𝙫𝙚𝙨 𝘾𝙝𝙖𝙪𝙙𝙤𝙪𝙚̈𝙩, 𝙖̀ 𝙘𝙤̂𝙩𝙚́ 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝘽𝙚𝙧𝙜𝙚𝙧𝙞𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙪𝙣𝙚 "𝘼𝙨𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙖𝙙𝙚" 𝙙𝙚 𝙇𝙖 𝙁𝙤𝙧𝙚̂𝙩 𝙙'𝘼𝙧𝙩 𝘾𝙤𝙣𝙩𝙚𝙢𝙥𝙤𝙧𝙖𝙞𝙣.🔶 ➡️ Depuis presque 15 ans La Forêt d'Art Contemporain œuvre sur le territoire du Parc naturel régional des Landes de Gascogne afin de créer un véritable outil de production et de diffusion d’art contemporain sous la forme d’une collection régionale. Par l’accueil d’artistes, la présentation de leur travail, la production d'un itinéraire d’œuvres en évolution, ce projet participe pleinement à l’aménagement culturel du territoire. Il s'agit d'une dynamique forte proposant événements, balades, ateliers, inaugurations, conférences, fêtes, publications, pour tous les publics tout au long de l’année. ➡️ Mais d'où vient cette idée? Comment ce programme s'est-il mis en place? Quel problématiques rencontrées depuis toutes ces années? ➡️ Alors que La Forêt d'Art vient d'inaugurer son tout nouveau programme estival, intitulé : "Escales Atypiques" et que l'association s'apprête a intégrer l'œuvre "Mahaia, la concordante" a son parcours, ses membres nous raconteront où en est le projet global aujourd'hui et comment ils envisagent la suite? ➡️ Créée après la dernière grande tempête pour aider à la reconstruction, la mission originelle de cette association n’en est que renforcée par l’épreuve des mégas feux de 2022. Le questionnement sur le territoire forestier non plus seulement écrin mais sujet même de la création artistique fait partie des réflexions. Ces changements importants du contexte imposent l’adaptation tant des modes de fonctionnement que des projets que La Forêt d'Art mène. ➡️ Venez partager ces sujets et débattre avec La Forêt d'Art pour que ce projet se nourrisse des échanges et partages de cette soirée.

Très bel article sur la clinique street art ! Merci france3. Historiquement l'une des plus belles opérations de la Set ; - que ce soit dans son process (succès fou de l'urbanisme culturel transitoire), - dans son objet (revitaliser une friche urbaine de plein centre ville ayant connu un squat lourd), - dans sa complexité juridique (deux ans de négociations avec la congrégation et l'ancien exploitant de la clinique), - dans sa complexité technique (réhabiliter 12000 m2 en plein centre ville) ou financière (bail emphytéotique de 20Meuros), - dans son objet (redynamiser la place de la cathédrale ; s'imposer 30% de surfaces à usage social au prix de loyer divisé par 4), - et enfin dans les moments de vie sociale qu'elle va apporter (combien de fois m'a-t-on dit que du logement aurait été plus facile à faire ? oui mais franchement... du logement ou des surfaces tertiaires, d'enseignement, des locaux sociaux, une double terrasse au 4eme étage pile à la hauteur de la rosace de la cathédrale...). Aucun promoteur ne pouvait y aller pour plein de raisons de procédures internes, de risques... A quoi servent les SEM ? A savoir faire ce que ni le privé ni le public ne peuvent faire aussi "facilement". https://lnkd.in/eFxtpMfp

𝐋'𝐚𝐫𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞 explore la manière dont les œuvres s’inscrivent dans nos espaces publics et transforment notre rapport à ce qui nous entoure. Cette première exploration est dédiée à 𝐋𝐚 𝐓𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐅𝐢𝐠𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐉𝐞𝐚𝐧 𝐃𝐮𝐛𝐮𝐟𝐟𝐞𝐭, œuvre monumentale, emblématique du paysage urbain. Réalisée à partir de 7 ateliers de médiation sonore, cette création donne la parole à des enfants, des familles et des groupes spécifiques. Elle évoque leurs ressentis face à cette œuvre unique. Leurs témoignages, mêlés aux sons de la Tour et à son environnement, ont été réunis pour composer une fresque sonore vivante et doucement immersive. Au-delà de l’exploration d’une œuvre, ce projet interroge la place de l’art dans nos vies quotidiennes et sa capacité à structurer autant nos paysages que notre imaginaire. Pour nous La Tour aux Figures, c’est aussi une réflexion sur l’introspection et le partage que nous ouvrons : comment une architecture devient-elle à la fois un repère urbain et une expérience profondément personnelle ? 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐧𝐨𝐬 𝐩𝐨𝐝𝐜𝐚𝐬𝐭𝐬, 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢-𝐜𝐢 𝐧'𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐚𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐩é𝐫𝐞𝐦𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧. 𝐈𝐥 𝐭é𝐦𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐢è𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐫é𝐜𝐢𝐭𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐦𝐩𝐨𝐫𝐞𝐥𝐬, à é𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐭 à 𝐫éé𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫, 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫 à 𝐞𝐱𝐩𝐥𝐨𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐮𝐥𝐭𝐢𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐦𝐞𝐧𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞. Cette création documentaire est à retrouver sur toutes les plateformes de Podcasts, aux abords de l'oeuvre ou à partir de ce lien https://lnkd.in/eMiPpgtg L'identité graphique de nos tous projets est confiée a Magali Brueder MonodCette fois, elle a utilisé la typographie inclusive imaginée par l'artiste Clara Sambot.

Très bel article sur la clinique street art ! Merci france3. Historiquement l'une des plus belles opérations de la Set ; - que ce soit dans son process (succès fou de l'urbanisme culturel transitoire), - dans son objet (revitaliser une friche urbaine de plein centre ville ayant connu un squat lourd), - dans sa complexité juridique (deux ans de négociations avec la congrégation et l'ancien exploitant de la clinique), - dans sa complexité technique (réhabiliter 12000 m2 en plein centre ville) ou financière (bail emphytéotique de 20Meuros), - dans son objet (redynamiser la place de la cathédrale ; s'imposer 30% de surfaces à usage social au prix de loyer divisé par 4), - et enfin dans les moments de vie sociale qu'elle va apporter sur le temps long (combien de fois m'a-t-on dit que du logement aurait été plus facile à faire ? oui mais franchement... du logement ou des surfaces tertiaires, d'enseignement, des locaux sociaux, une double terrasse au 4eme étage pile à la hauteur de la rosace de la cathédrale...). Aucun promoteur ne pouvait y aller pour plein de raisons de procédures internes, de risques... A quoi servent les SEM ? A savoir faire ce que ni le privé ni le public ne peuvent faire aussi "facilement". https://lnkd.in/eFxtpMfp

Territoires hétérotopiques, la dernière exposition du Centre Wallonie Bruxelles réunit neuf artistes et collectifs autour de la question de l’architecture et de sa potentielle déconstruction/reconstruction dans un versant autant imaginaire et onirique que frontal. (...) En effet, c’est un enjeu essentiel. Les champs artistique et philosophique entrent toujours en résonance avec l’architecture et doivent intégrer la vulnérabilité d’un monde en mutation. La portée de cette exposition, dans ce qu’elle peut contenir d’esprit critique et de créativité, inspire, je l’espère, un rapport différent au monde qui nous entoure et auquel nous appartenons pour faire face à la crise écologique. Quel que soit son degré, l’art est partie prenante de la transformation de notre environnement et son impact est certain. Il est, en tout cas, de notre devoir en tant qu’acteurs de la culture d’agir notamment dans le registre du sensible et des idées. (...)

𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 | « Concours photo | Saisir l’eau dans la ville » | 20/10 – 20/12 | Concours | En ligne Rendez-vous annoncé aujourd’hui dans l’agenda participatif de Topophile : https://lnkd.in/dEydZAgV Lieu : en ligne Proposé par : Rés-EAUx Paris X Nanterre, Laboratoire LAVUE La ville offre à voir et à vivre une multiplicité de lieux, d'usages, de pratiques, d'infrastructures, de relations, de réflexions, de rêveries où l'eau joue un rôle essentiel. Le concours photos proposé invite chercheurs, responsables associatifs, agents des collectivités, habitants, promeneurs... à offrir leur regard sur cette réalité souvent invisible mais bien présente dans le flux de nos vies respectives. Appel à participation (https://lnkd.in/dDZuSKbE) Les contributions sont invitées à explorer un ou plusieurs des axes suivants, sans nécessairement s’y restreindre : Axe 1. Capturer et révéler l'omniprésence discrète de l'eau dans la ville Axe 2. Le métabolisme urbain : flux et métiers Axe 3. #topophile #topophilia #ecologie #habiter #vernacular #geniusloci #architecture #ecoconstruction