Post de EcoAct France

Il y a plusieurs façons de se mettre au vert et celle-ci, je vous l'avoue, est complètement barge‼️🐄🐮 À chaque printemps, la transhumance de bovins est une tradition dans le Marais poitevin, en Deux-Sèvres. Contrairement à d’autres régions, où le parcours est très long, leur migration est assez brève, mais avec tout de même un obstacle : les vaches doivent traverser la Sèvre Niort-aise. 😉 Au début du XIXème siècle, on ne comptait pas moins de 60 marais communaux, sur plus de 6000 hectares❗Aujourd’hui, il reste un peu moins de 20 marais communaux, dont 38 hectares au Gué d’Alleré, et 55 hectares à Saint Sauveur d’Aunis. L’esprit maraîchin est imprégné d’un profond respect pour la nature et d’une fierté pour la culture et les traditions locales. Ils ont une relation étroite avec leur environnement naturel, qui est à la fois leur source de subsistance et leur source d’inspiration. Il faut savoir que les habitants du marais vivaient au gré des saisons puisque l’hiver, le marais inonde, c’est un phénomène qu’on appelle l’évaille, mot patois typiquement maraîchin pour évoquer la crue. Ce mot peut s’écrire de diverses façons : évail, évaille, évaie…📚 Dans le Marais poitevin, on ne parle pas de "bateau" mais plutôt de "plate" ou de "batai" et aujourd’hui de "barque". La majorité des barques étaient autrefois construites en bois ou en fer. Certaines étaient en ciment mais elles étaient destinées aux transports d’animaux et de matériel lourd. Pour avancer dans ce labyrinthe de verdure, les maraîchins utilisaient une pigouille, une sorte de grand bâton de bois permettant de propulser la barque dans les eaux peu profondes. On peut encore en voir quelques-unes aujourd’hui bien que l’utilisation de rame est privilégiée pour un côté plus pratique. 🚣 Les années ont passées et les plates ont perdues leur fonction première laissant ainsi place au tourisme dès les années 1920/1930. La construction des bateaux s’est modernisée en utilisant de nouvelles techniques comme l’utilisation de résine. Les coques sont moulées dans cette matière plus solide et persistante dans le temps pour ressembler en tout point aux plates traditionnelles de l’époque. Aujourd’hui, elles sont utilisées pour faire découvrir aux touristes, le temps d’une balade, l’histoire du Marais poitevin, sa faune, sa flore, ses us et coutumes. 👁️🗨️ Laissez-vous embarquer pour un moment magique❗Je vous promets que le spectacle est incroyable lorsque le soleil se couche et qu'il diffuse ses couleurs au ras-d'eau. 🤩 Une barque sur l'océan de Ravel : https://lnkd.in/eewMYKwe Source : https://lnkd.in/e7Ch-UjT #culture #histoire #partage #tradition #transhumance #escapade #Maraispoitevin #faune #flore #nature

Un beau projet en prévision 🍽️ Aidez-les à le concrétiser en participant à la campagne 🤝

🥂 "𝐄𝐭 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐞 𝐟𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧, 𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐯𝐨𝐬 𝐜𝐨𝐪𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐝𝐞𝐬 ?" 🦪 Ces stars des fêtes n'ont pas dit leur dernier mot. Une fois collectées en déchèterie, les coquilles d’huîtres et autres coquillages se réinventent ! En mode recyclage, nettoyées, broyées et valorisées, elles servent à : - Enrichir les sols agricoles grâce à leur calcium 🌱 - Compléter l'alimentation des volailles 🐔 - Entrer dans la fabrication de matières composites. - Devenir des objets design ou décoratifs. Et bien d'autres utilisations... 𝐀𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐭𝐞𝐚𝐮 𝐝𝐞 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐫, 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳 𝐚̀ 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐨𝐬𝐞𝐫 𝐞𝐧 𝐝𝐞́𝐜𝐡𝐞̀𝐭𝐞𝐫𝐢𝐞.

Au revoir

La RTE (Responsabilité Territoriale des Entreprises), vous connaissez ? Je me lance ! Extraits: “Il ne faut pas se raconter d’histoires, mais une histoire valorisant la géographie, les ressources, la gastronomie, en utilisant le fameux « biaïs ». Stéphane Linou, réalisant actuellement un tour de France où il propose des formations aux élus et dans le cadre des RTE (responsabilité territoriale des entreprises): « Avant, rien ne se perdait, et pour chaque aliment à transformer, il y avait un outil selon l’état de maturité : les dents pour les fruits juste à point, le rouleau à pâtisserie pour les tartes garnies de fruits plus mûrs, le couteau et le cuiseur pour la confiture réalisée avec des fruits juteux, Les fruits encore plus mûrs régalaient le cochon qui fournissait le jambon et toutes les réserves puisque, dans le cochon, tout est bon ! » «Enfin, les fruits pourris ou en surplus, qu’aujourd’hui on arrose de gas-oil avant de les écraser, finissaient à l’alambic pour l’eau-de-vie. » C’est à cette prise de conscience que sont invités tous ceux qui peuvent récolter des fruits, les bouilleurs de cru. qui sont devenus très rares à avoir le droit d’héritage pour distiller eux-mêmes, mais ils peuvent contribuer à maintenir le métier de bouilleur ou distillateur en leur apportant leurs fruits. Au cours de cette journée informative autour de l’alambic et gourmande autour d’un méchoui agneau, lui aussi, du Quercy, tous ceux qui le désireront repartiront avec des documents pour mieux connaître la législation qui donne à tout le monde le droit de transformer les fruits de son verger ou de son jardin en eau-de-vie. «Lo Biaís», c’est le bon sens paysan (gens du pays), la débrouille, le savoir-faire. Avec des outils de transformation liés à des métiers, de la convivialité, une assiette à remplir ensemble avec ce que l’on a autour, voilà comment se dire les choses et se préparer aux temps qui viennent autour de l’essentiel. «Bouilleurs de cru de tout le Quercy (réunifié pour une fête gourmande), unissez-vous !» «Cela ne s’était jamais fait, explique Stéphane Linou, fondateur de Cartes sur tables, mais j’ai décidé d’organiser le premier repas proposant de réunir ceux qui ramassent des fruits et ceux qui les transforment en eau-de-vie !» Cette fête n’est pas une incitation à l’alcoolisme mais l’occasion de promouvoir les métiers de distillateur (le bouilleur) et de cueilleur (le bouilleur de cru). «L’enjeu, explique Stéphane Linou (dont il ne faut pas oublier qu’il fut le premier locavore de France), est de faire la passerelle entre deux artisans, tout en faisant des économies et en entretenant de la convivialité sur le territoire en identifiant ses richesses !» Approvisionner l’alambic Suite en 1er commentaire.

🎉Cela fait désormais 4 ans que je travaille dans la production ostréicole ! MAISON DANGALY 🎉 À l'approche des fêtes, j’aimerais partager avec vous le chemin fascinant de la production de nos huîtres, celles que vous retrouverez bientôt sur les tables de Noël. 🎄 Qui parmi vous connaît vraiment l’histoire de ces huîtres qui s’invitent à nos tables festives ? Saviez-vous qu’avant d’atteindre cette perfection, elles passent trois années entières en mer ? 🔹 Étape 1 : La réception du naissain Le naissain est le terme utilisé pour désigner les bébés huîtres, à peine formés, qui entament leur parcours vers la taille adulte. Cette étape cruciale consiste à recevoir ces jeunes coquillages, qui ont été élevés dans des conditions spécifiques en écloserie pour assurer leur robustesse et leur croissance optimale. Une fois réceptionnés, ils sont soigneusement triés et préparés avant d’être mis dans des poches adaptées, pour ensuite être stocké sur les parcs en mer où ils continueront leur développement. ‼️La qualité du naissain est capitale, car c'est elle qui influence la qualité finale de l’huître que vous dégusterez. C'est à partir de là que le processus commence, porté par le travail de nos équipes et le respect des cycles naturels (principalement celui des marées). 👉 Dans les prochains jours, je vous ferai découvrir d’autres étapes de ce métier passionnant, pour que vous puissiez apprécier pleinement chaque huître en sachant tout le travail et le soin qu’il y a derrière. Merci de suivre ce voyage ostréicole ! 🌊 #maisondangaly #HuîtresDeNoël #Naissain #SavoirFaire #AgricultureMaritime #Productionostreicole #Reconnaissance #Transmission #SustainableSeafood #SeafoodLovers

Vingt dieux que c'est chouette !!! J'adore cette super idée, de faire déguster du #Comté dans les cinémas qui passent ce film dédié à la fabrication de ce fromage si spécial. J'adore cette idée de la jeune réaliste du cru, de donner leur chance à des comédiens amateurs. Tout est juste dans ce film, et quand je dis juste, je fais référence à l'identité de ce territoire, à l'accent de ses habitants, à leur savoir faire, et à ce "vingt dieux", sorte d'exclamation locale, qui était aussi la mienne quand j'étais jeune! Moi le Franc comtois, je raconte toujours avec une vraie fierté l'histoire de ce fromage, qui fort de sa spécificité, de sa valeur culturelle et de son importance économique pour sa région, fut, en 1958, l’un des premiers fromages à se voir attribuer une Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), puis l’un des premiers à recevoir l’AOP (Appellation d’Origine Protégée) européenne en 1996. Mais le Comté c'est surtout un cadre de gouvernance historique qui a toujours fait la part belle à la coopération. Ici pas de Lactalis pour appauvrir les agriculteurs, mais des Frutières (des coopératives) qui sont nées au moyen âge et qui perdurent encore aujourd'hui. Les Fruitières, comme preuve que le modèle coopératif est non seulement possible, mais qu'il est performant. Bref ce fromage porte les valeurs de son territoire, et ça aussi ça aide à construire des récits qui transforment le territoire en destination touristique, et c'est ce que fait très bien le collectif de Montagnes du Jura. Depuis tjs je défends l'idée de réunir dans une seule et même structure, la promotion du terroir, la promotion des destinations et la promotion de la culture des territoires. Il faut créer le cadre de coopération du triptyque "TERROIR - TERRITOIRE-DESTINATION", et à ce sujet il est interessant de noter que le CRT Bourgogne-Franche-Comté Tourisme 360° est le seul à avoir intégrer en son sein la mission d'accompagnement de tournage de films. Le #Gers se souvient combien il doit au film "le bonheur est dans le pré", qui nous a inspiré le concept d'Occitalité afin de faire prendre position à la destination #Occitanie. "TERROIR - TERRITOIRE-DESTINATION", la voilà LA vraie stratégie du nouveau récit, une autre approche du marketing territorial, une vision plus coopérative du sujet. Et puis vingt dieux que le Comté c'est bon, et que la Franche Comté est belle surtout en ce moment sous la neige. Bon réveillon à toutes et tous Sophie Ollier Daumas Département du Doubs Jura Tourisme COMITE DEPARTEMENTAL TOURISME DOUBS Office de Tourisme du Pays du Haut-Doubs OFFICE DE TOURISME DU PAYS HORLOGER Lionel Petite Institut national de l'origine et de la qualité (INAO) #fromage #AOC #AOP Jean-Pascal Chopard Marie-Guite Dufay Emilie Rolandez Patrick Ayache Occitanie Films Karim Ghiyati Vincent Garel ESTHUA - Faculté de Tourisme, Culture et Hospitalité ISTHIA - Université Toulouse - Jean Jaurès Rémy Knafou #géographie #tourisme #culture Xavier de Fouchécour

🌟 Un jour ma grand-mère m’a dit “Ils ont l’heure et moi j’ai le temps”. 🌟 Ce dimanche 8 décembre, j’ai participé au Marché de Noël de la Villa Gaby à Marseille, aux côtés de mon frère Bastien Gaubens, pour présenter les produits du Domaine de Vautubière ! Vautubière, tiré du provençal “Vau tubiero” qui signifie vallée brumeuse, est notre exploitation oléicole familiale depuis 8 générations située à Coudoux. Le Moulin de Coudoux est le dernier moulin à l’ancienne de la région provençale ! 😍 Pendant ce rendez-vous annuel, j’ai réalisé l’importance de faire perdurer ce savoir-faire provençal et je me suis dit… Pourquoi ne pas rappeler l’importance de consommer des produits #MadeInFrance ? Faire rayonner ce domaine que ma grand-mère chérit depuis toutes ces années est pour moi un vrai challenge ! Depuis que je suis enfant, je la vois planter, traiter, tailler, arroser les oliviers, les amandiers et les vignes. Un travail difficile et physique qui nécessite de s’adapter chaque jour à ce que nous offre la nature. Je me rends compte que les exploitations familiales ont du mal à s’imposer face à la concurrence de la mondialisation. RAPPEL : les meilleurs produits sont ceux produits chez vos voisins. 🫒 Alors pourquoi ne pas changer son mode de penser et tenter de consommer plus local ? Pourquoi chercher ailleurs quand la #Provence offre déjà ce qu’il y a de meilleur ? 😉 En cette période de fêtes, pensez #local, pensez #durable et surtout pensez avec #amour. ❤️

LE PORTRAIT DE LA SEMAINE 🎙️ Valentin Ramel, parisien d’origine, a répondu à une annonce pour prendre la gestion du domaine viticole de Jaunay-Marigny. Il crée en bînome avec German Mulet, la marque Paon Perché, ils relancent la production de vin sur place et ouvrent les portes du domaine pour proposer de l’hébergement ainsi que de l’événementiel. Paon Perché est une marque solidaire, avec des valeurs sociales fortes puisqu’il s’agit d’un tremplin pour la réinsertion professionnelle. L’ensemble des salariés embauchés sont dans un parcours de réinsertion de différentes périodes selon les profils, et Valentin leur donne le coup de pouce qu’il leur manquait pour se relancer dans le monde du travail. Il est accompagné par une conseillère en insertion socio-professionnelle ainsi qu’un éducateur spécialisé pour aider les salariés à retrouver le chemin du travail. 🍷 Valentin et German ont commercialisé leur première cuvée de vin blanc et laissent en élevage bois, inox et béton, leur première cuvée de vin rouge, grâce à l’aide de leurs salariés qu’ils ont formés aux métiers de la vigne, mais aussi aux métiers de l’hôtellerie, de l’événementiel et de l’œnotourisme, qui font aujourd’hui vivre le domaine. Valentin et German souhaitent développer l’œnotourisme, éduquer autour du vin et proposer un nouveau modèle de gestion d’entreprise intégrant une forte valeur sociale. Valentin n’aurait jamais pensé atterrir proche de Poitiers, surtout en ayant fait des études dans le vin. Et pourtant, le climat frais, la pluviométrie contrôlée, ainsi que l’exposition font de notre région, une très belle région pour faire de très bons vins. Valentin n’a pas encore beaucoup de temps pour explorer le département, mais il en apprécie le cadre de vie agréable, l’accueil et l’accompagnement qu’on lui offre, ainsi que le patrimoine historique. Son adhésion à l’association La Vienne Destination Affaires lui permet de participer à un projet d’entraide, dynamique, qui offre un réseau de professionnels aux compétences qui s’allient et se complètent. LE MOT DE LA FIN 📢 La première vendange de septembre 2023 a permis de produire 40 000 bouteilles, mais une grande partie du raisin a été vendu, faute de structure de production assez conséquente. Les deux gérants souhaitent agrandir leur chai et produire davantage de cuvées différentes et de bouteilles pour les futures vendanges.

Alors que nous célébrons les 100 ans de la Société Internationale d’Arboriculture, une question s’impose: A quoi ressemblera les 100 prochaines années? C’est à notre tour de laisser notre marque et de mouler l’industrie arboricole aux défis et objectifs de nos communautés. C’est donc un moment de célébration, mais surtout, un moment de réflexion.